A los pocos días de inaugurar el nuevo puesto comenzó a rechazar las medialunas y a protestar por la cantidad de azúcar que le echaban al café. Exigió que le cambiaran el pisapapeles de Marilyn Monroe por uno con la cabeza de Madonna y que limpiaran dos veces al día la oficina. La arquitecta de escenas comenzó a aburrirlo, ya los orgasmos sobre el sofá no lo complacían y la revista The Sex Machine llegaba con tal atraso, que en las tiendas se agotaban los productos antes de que ellos pudieran comprarlos.
Su vida comenzaba a sucumbir bajo el peso de la monotonía, cuando un día lo llamaron de la segunda planta.
Subió la escalera con cuidado, a medida que ascendía se volvían más estrechos los escalones. Se paró junto a la puerta, alisó la camisa, miró el brillo de sus zapatos y dio tres toques con mesura.
Traduction temporaire :
Quelques jours après avoir étrenné son nouveau poste, il commença à refuser les croissants et à se plaindre de la quantité de sucre qu'on mettait dans le café. Il exigea que l'on remplace le presse-papiers avec le visage de Marilyn Monroe par un autre avec celui de Madonna, et que l'on nettoie son bureau deux fois par jour. L'architecte de séquences finit par l'ennuyer ; les orgasmes sur le canapé ne le satisfaisaient plus et le magazine The Sex Machine arrivait avec tellement de retard, que dans les boutiques, les produits étaient épuisés avant qu'on puisse les acheter. Sa vie succomba peu à peu sous le poids de la monotonie, lorsqu'un jour, on l'appela du deuxième étage. Il monta avec précaution les escaliers, dont les marches devenaient de plus en plus étroites à mesure qu'il les gravissaient. Il s'arrêta près de la porte, défroissa sa chemise, regarda l'éclat de ses chaussures et frappa trois coups avec retenue.
Quelques jours après avoir étrenné son nouveau poste, il commença à refuser les croissants et à se plaindre de la quantité de sucre qu'on mettait dans le café. Il exigea que l'on remplace le presse-papiers avec le visage de Marilyn Monroe par un autre avec celui de Madonna, et que l'on nettoie son bureau deux fois par jour. L'architecte de séquences finit par l'ennuyer ; les orgasmes sur le canapé ne le satisfaisaient plus et le magazine The Sex Machine arrivait avec tellement de retard, que dans les boutiques, les produits étaient épuisés avant qu'on puisse les acheter. Sa vie succomba peu à peu sous le poids de la monotonie, lorsqu'un jour, on l'appela du deuxième étage. Il monta avec précaution les escaliers, dont les marches devenaient de plus en plus étroites à mesure qu'il les gravissaient. Il s'arrêta près de la porte, défroissa sa chemise, regarda l'éclat de ses chaussures et frappa trois coups avec retenue.
6 commentaires:
Il y a beaucoup de répétitions ici. J'ai essayé de les contourner, j'espère ne pas avoir été trop loin.
Quelques jours après avoir étrenné son nouveau poste, il commença à refuser les croissants et à se plaindre de la quantité de sucre que l'on mettait dans le café. Il exigea que l'on remplace le presse-papiers avec le visage de Marilyn Monroe par un autre avec celui de Madonna, et que l'on nettoie son bureau deux fois par jour. L'architecte de séquences finit par l'ennuyer ; les orgasmes sur le canapé ne le satisfaisaient plus et le magazine The Sex Machine arrivait avec tellement de retard que dans les boutiques les produits étaient épuisés avant que l'on puisse les acheter. Sa vie dépérit peu à peu sous le poids de la monotonie, lorsqu'un jour on l'appela du deuxième étage. Il monta avec précaution les escaliers, dont les marches devenaient de plus en plus étroites au fur et à mesure qu'il les gravissaient. Il s'arrêta tout près de la porte, défroissa sa chemise, regarda l'éclat de ses chaussures et frappa trois coups avec retenue.
Quelques jours après avoir étrenné son nouveau poste, il commença à refuser les croissants et à se plaindre de la quantité de sucre que l'on [« qu'on »] mettait dans le café. Il exigea que l'on remplace le presse-papiers avec le visage de Marilyn Monroe par un autre avec celui de Madonna, et que l'on nettoie son bureau deux fois par jour. L'architecte de séquences finit par l'ennuyer ; les orgasmes sur le canapé ne le satisfaisaient plus et le magazine The Sex Machine arrivait avec tellement de retard [virgule ?] que dans les boutiques [virgule] les produits étaient épuisés avant que l'on [« qu'on » ?] puisse les acheter. Sa vie dépérit [pas ce que dit la V.O.] peu à peu sous le poids de la monotonie, lorsqu'un jour [virgule] on l'appela du deuxième étage. Il monta avec précaution les escaliers, dont les marches devenaient de plus en plus étroites au fur et [supprime] à mesure qu'il les gravissaient. Il s'arrêta tout [nécessaire ?] près de la porte, défroissa sa chemise, regarda l'éclat de ses chaussures et frappa trois coups avec retenue.
Quelques jours après avoir étrenné son nouveau poste, il commença à refuser les croissants et à se plaindre de la quantité de sucre qu'on mettait dans le café. Il exigea que l'on remplace le presse-papiers avec le visage de Marilyn Monroe par un autre avec celui de Madonna, et que l'on nettoie son bureau deux fois par jour. L'architecte de séquences finit par l'ennuyer ; les orgasmes sur le canapé ne le satisfaisaient plus et le magazine The Sex Machine arrivait avec tellement de retard, que dans les boutiques, les produits étaient épuisés avant qu'on puisse les acheter. Sa vie succomba peu à peu sous le poids de la monotonie, lorsqu'un jour, on l'appela du deuxième étage. Il monta avec précaution les escaliers, dont les marches devenaient de plus en plus étroites à mesure qu'il les gravissaient. Il s'arrêta près de la porte, défroissa sa chemise, regarda l'éclat de ses chaussures et frappa trois coups avec retenue.
Quelques jours après avoir étrenné [au fait, ça se dit couramment dans ce contexte ? Je n'avais pas fait attention la première fois] son nouveau poste, il commença à refuser les croissants et à se plaindre de la quantité de sucre qu'on mettait dans le café. Il exigea que l'on remplace le presse-papiers avec le visage de Marilyn Monroe par un autre avec celui de Madonna, et que l'on nettoie son bureau deux fois par jour. L'architecte de séquences finit par l'ennuyer ; les orgasmes sur le canapé ne le satisfaisaient plus et le magazine The Sex Machine arrivait avec tellement de retard, que dans les boutiques, les produits étaient épuisés avant qu'on puisse les acheter. Sa vie succomba peu à peu sous le poids de la monotonie, lorsqu'un jour, on l'appela du deuxième étage. Il monta avec précaution les escaliers, dont les marches devenaient de plus en plus étroites à mesure qu'il les gravissaient. Il s'arrêta près de la porte, défroissa sa chemise, regarda l'éclat de ses chaussures et frappa trois coups avec retenue.
Quelques jours après avoir étrenné [au fait, ça se dit couramment dans ce contexte ? Je n'avais pas fait attention la première fois// après recherches, "étrenner un nouveau poste" apparaît à la fois dans des textes littéraires et journalistiques] son nouveau poste, il commença à refuser les croissants et à se plaindre de la quantité de sucre qu'on mettait dans le café. Il exigea que l'on remplace le presse-papiers avec le visage de Marilyn Monroe par un autre avec celui de Madonna, et que l'on nettoie son bureau deux fois par jour. L'architecte de séquences finit par l'ennuyer ; les orgasmes sur le canapé ne le satisfaisaient plus et le magazine The Sex Machine arrivait avec tellement de retard, que dans les boutiques, les produits étaient épuisés avant qu'on puisse les acheter. Sa vie succomba peu à peu sous le poids de la monotonie, lorsqu'un jour, on l'appela du deuxième étage. Il monta avec précaution les escaliers, dont les marches devenaient de plus en plus étroites à mesure qu'il les gravissaient. Il s'arrêta près de la porte, défroissa sa chemise, regarda l'éclat de ses chaussures et frappa trois coups avec retenue.
Quelques jours après avoir étrenné son nouveau poste, il commença à refuser les croissants et à se plaindre de la quantité de sucre qu'on mettait dans le café. Il exigea que l'on remplace le presse-papiers avec le visage de Marilyn Monroe par un autre avec celui de Madonna, et que l'on nettoie son bureau deux fois par jour. L'architecte de séquences finit par l'ennuyer ; les orgasmes sur le canapé ne le satisfaisaient plus et le magazine The Sex Machine arrivait avec tellement de retard, que dans les boutiques, les produits étaient épuisés avant qu'on puisse les acheter. Sa vie succomba peu à peu sous le poids de la monotonie, lorsqu'un jour, on l'appela du deuxième étage. Il monta avec précaution les escaliers, dont les marches devenaient de plus en plus étroites à mesure qu'il les gravissaient. Il s'arrêta près de la porte, défroissa sa chemise, regarda l'éclat de ses chaussures et frappa trois coups avec retenue.
OK.
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