–Esto te pasa por creerte la viva –dice–. Ya vi lo que hiciste con mi tunera.
La niña llora escandalosamente y Julio aprovecha para estamparle ahora una coz en el centro de la cabeza. Ella ahora llora con más vehemencia.
–Cállate, burra –ordena Julio, y a continuación comienza a patear las muñecas, a terminar de desmembrarlas. También coge los tenedores y cucharas y los rompe con las manos–. Cállate o rompo todo.
Traduction temporaire :
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les broie entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les broie entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
12 commentaires:
— ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie. La petite pleure scandaleusement et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure avec plus de véhémence.
— Tais-toi, bourrique, ordonne Julio, puis commence à piétiner les poupées, à finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les casse avec ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— ç[majuscule]a t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite pleure scandaleusement [vous le diriez ?] et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure avec plus de véhémence [vous le diriez ?].
— Tais-toi, bourrique, [point d'exclamation] ordonne Julio, puis commence à piétiner les [de qui ?] poupées, à finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les casse avec [« entre » ?] ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite pleure et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure encore plus.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, puis commence à piétiner ses poupées, à finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les casse entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite pleure [en supprimant l'adverbe, vous trichez] et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure encore plus [il y a mieux].
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, puis commence [mal dit le « puis… »] à piétiner ses poupées, à [????] finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les casse entre ses mains. Tais-toi ou je casse [un moyen de ne pas répéter « casser » ?] tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite pleure déplorablement et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure avec plus d'ardeur.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite pleure déplorablement [FS] et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure avec plus d'ardeur [ici, OK, je vous aide : « ses pleurs redoublent » / pour l'autre, je vous laisse chercher].
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite fond en larme et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant ses pleurs redoublent.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite fond en larme [« éclate en sanglots »] et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant [virgule] ses pleurs redoublent.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit [« broie » ?] entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les broie entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les broie entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.
OK.
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