mercredi 21 octobre 2015

Projet Morgane 13 – phrases 81-86

Junto a los huecos de las fosas estaba mi madre, firme, silenciosa, con su tapado gris y su vestido negro, como si fuese mi padre al que estuviesen bajando al hoyo. No sé qué habrían pensado los asistentes al funeral. A lo mejor que el próximo enterrado sería mi padre. Todos vieron a mi madre con una expresión de lástima Hasta ahora he podido comprender el sufrimiento de mi madre. En mis años infantiles apenas podía intuirlo. Por las fotografías del cumpleaños de la abuela y el funeral de Luís Serrano -hijo del Alcalde y el siguiente caído en combate- pude darme cuenta, cómo el dolor había erosionado su belleza. Estaban hundidos sus ojos y cruzada de arrugas la frente.

Traduction temporaire :
Ma mère, raide, silencieuse, dans son manteau gris et sa robe noire, se tenait près des fosses comme si c'était mon père qu'on était en train de mettre dans le trou. J'ignore ce que les personnes qui assistaient aux funérailles pouvaient bien penser. Peut-être que le prochain cadavre serait celui de mon père. Tous lurent de la peine sur le visage de ma mère.

13 commentaires:

Unknown a dit…

Ma mère se tenait près des fosses, solide, silencieuse, avec son manteau gris et sa robe noire, comme s'il s'agissait de mon père qu'ils étaient en train d'installer dans les tombes. J'ignore ce que les personnes qui assistaient aux funérailles auraient pu penser. Peut-être que le prochain cadavre serait celui de mon père. Tous virent ma mère avec une expression de peine.
Jusqu'alors, je n'avais pas pu comprendre la souffrance de ma mère. [Je sais que ce n'est pas ce qui est écrit, mais dans la VO, ça ne me semble pas logique avec la suite ... ?]Dans ma jeunesse, je pouvais à peine la deviner. Grâce aux photos de l'anniversaire de ma grand-mère et des obsèques de Luís Serrano – fils du Maire et mort lui aussi au combat –, je réalisai combien la douleur avait érodé sa beauté. Ses yeux étaient cernés et son front rempli de rides.

Tradabordo a dit…

Ma mère se tenait près des fosses, solide [dans le sens « raide » ?], silencieuse, avec son manteau gris et sa robe noire, comme s'il s'agissait de mon père qu'ils étaient [la construction ne va pas] en train d'installer dans les tombes [pas ce qui est dit]. J'ignore ce que les personnes qui assistaient aux funérailles auraient pu [temps] penser. Peut-être que le prochain cadavre serait celui de mon père. Tous virent ma mère avec une expression de peine [très mal dit].

Ça demande à être repris.

Jusqu'alors, je n'avais pas pu comprendre la souffrance de ma mère. [Je sais que ce n'est pas ce qui est écrit, mais dans la VO, ça ne me semble pas logique avec la suite ... ?]Dans ma jeunesse, je pouvais à peine la deviner. Grâce aux photos de l'anniversaire de ma grand-mère et des obsèques de Luís Serrano – fils du Maire et mort lui aussi au combat –, je réalisai combien la douleur avait érodé sa beauté. Ses yeux étaient cernés et son front rempli de rides.

Unknown a dit…

Ma mère, raide, silencieuse, avec son manteau gris et sa robe noire, se tenait près des fosses comme s'il s'agissait de mon père qu'on était en train de mettre dans le trou. J'ignore ce que les personnes qui assistaient aux funérailles pouvaient penser. Peut-être que le prochain cadavre serait celui de mon père. Tous lurent de la peine sur le visage de ma mère.

Tradabordo a dit…

Ma mère, raide, silencieuse, avec [« dans » / « vêtue de » ?] son manteau gris et sa robe noire, se tenait près des fosses comme s'il s'agissait [« c'était » ici ?] de mon père qu'on était en train de mettre dans le [« de » ?] trou. J'ignore ce que les personnes qui assistaient aux funérailles pouvaient [cheville : « bien » ? Comme tu veux…] penser. Peut-être que le prochain cadavre serait celui de mon père. Tous lurent de la peine sur le visage de ma mère.

Unknown a dit…

Ma mère, raide, silencieuse, dans son manteau gris et sa robe noire, se tenait près des fosses comme si c'était mon père qu'on était en train de mettre dans le trou. J'ignore ce que les personnes qui assistaient aux funérailles pouvaient bien penser. Peut-être que le prochain cadavre serait celui de mon père. Tous lurent de la peine sur le visage de ma mère.

Tradabordo a dit…

Ma mère, raide, silencieuse, dans son manteau gris et sa robe noire, se tenait près des fosses comme si c'était mon père qu'on était en train de mettre dans le trou. J'ignore ce que les personnes qui assistaient aux funérailles pouvaient bien penser. Peut-être que le prochain cadavre serait celui de mon père. Tous lurent de la peine sur le visage de ma mère.

OK.

Tradabordo a dit…

Tu peux mettre la suite – pas besoin de reprendre le début, je l'ai déjà collé.

Unknown a dit…

Jusqu'alors, je n'avais pas pu comprendre la souffrance de ma mère. [Je sais que ce n'est pas ce qui est écrit, mais dans la VO, ça ne me semble pas logique avec la suite ... ?]Dans ma jeunesse, je pouvais à peine la deviner. Grâce aux photos de l'anniversaire de ma grand-mère et des obsèques de Luís Serrano – fils du Maire et mort lui aussi au combat –, je réalisai combien la douleur avait érodé sa beauté. Ses yeux étaient cernés et son front rempli de rides.

Tradabordo a dit…

En mis años infantiles apenas podía intuirlo. Por las fotografías del cumpleaños de la abuela y el funeral de Luís Serrano -hijo del Alcalde y el siguiente caído en combate- pude darme cuenta, cómo el dolor había erosionado su belleza. Estaban hundidos sus ojos y cruzada de arrugas la frente.

Jusqu'alors, je n'avais pas pu comprendre la souffrance de ma mère. [Je sais que ce n'est pas ce qui est écrit, mais dans la VO, ça ne me semble pas logique avec la suite ... ? Pourquoi ?]Dans ma jeunesse, je pouvais à peine la deviner. Grâce aux photos de l'anniversaire de ma grand-mère et des obsèques de Luís Serrano – fils du Maire et mort lui aussi au combat –, je réalisai combien la douleur avait érodé sa beauté. Ses yeux étaient cernés et son front rempli de rides.

Unknown a dit…

Ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai réussi à comprendre la souffrance de ma mère. Dans ma jeunesse, je pouvais à peine la deviner. Grâce aux photos de l'anniversaire de ma grand-mère et des obsèques de Luís Serrano – fils du Maire et mort lui aussi au combat –, je réalisai combien la douleur avait érodé sa beauté. Ses yeux étaient cernés et son front rempli de rides.

Tradabordo a dit…

Ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai réussi à comprendre la souffrance de ma mère. Dans ma jeunesse [pas assez précis par rapport à la V.O.], je pouvais à peine la deviner. Grâce aux photos de l'anniversaire de ma grand-mère et des obsèques de Luís Serrano – fils du Maire et mort lui aussi au combat –, je réalisai combien la douleur avait érodé sa beauté. Ses yeux étaient cernés et son front rempli [« parcouru »] de rides.

Unknown a dit…

Ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai réussi à comprendre la souffrance de ma mère. Quand j'étais enfant, je pouvais à peine la deviner. Grâce aux photos de l'anniversaire de ma grand-mère et des obsèques de Luís Serrano – fils du Maire et mort lui aussi au combat –, je réalisai combien la douleur avait érodé sa beauté. Ses yeux étaient cernés et son front parcouru de rides.

Tradabordo a dit…

Ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai réussi à comprendre la souffrance de ma mère. Quand j'étais enfant, je pouvais à peine la deviner. Grâce aux photos de l'anniversaire de ma grand-mère et des obsèques de Luís Serrano – fils du Maire et mort lui aussi au combat –, je réalisai combien la douleur avait érodé sa beauté. Ses yeux étaient cernés et son front parcouru de rides.

OK.