vendredi 13 novembre 2015

Projet Danny 1 – phrases 7-10

Y sí Alfredo, cuánta razón, a nosotros, que somos de Indias, nunca nos descubrieron, a nosotros nos inventaron. Al final de la conferencia subí al estrado a pedirle una firma a Alfredo. Tuve que comprarme “Un Mundo para Julius” antes de ir al Teatro Colón porque todos mis libros están en Lima. Al fin llego hasta él, le digo que soy peruana, me dice que con razón soy desfachatada, que los peruanos somos así.

Traduction temporaire :

Oh oui, Alfredo, tu es dans le vrai ! Nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne et il me rétorque que ce n’est pas étonnant que je sois une effrontée, car nous, les Péruviens, sommes comme ça.

17 commentaires:

Unknown a dit…

Et oui, Alfredo, tu as tout à fait raison, car nous, qui sommes d’Amérique, on nous a jamais découverts, on nous a créés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. J’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius » avant de me rendre au théâtre Colón puisque tous mes livres sont à Lima. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis Péruvienne, il me rétorque à juste titre que je suis sans gêne et que nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Tradabordo a dit…

Et oui, Alfredo, tu [ennuyeux, parce que ça n'est pas compris dans la phrase… et ça change le ton] as tout à fait raison, car [ajout nécessaire ?] nous, qui sommes d’Amérique [il ne le met pas volontairement, sans doute… Pourquoi changer ?], on nous a jamais découverts, on nous a créés [pas ce qui est écrit // vous changez trop = réécriture et ça, ça ne passe pas au CAPES]. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. J’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius » [virgule] avant de me rendre au théâtre Colón puisque [« vu que » ?] tous mes livres sont à Lima. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis P[grammaire]éruvienne, il me rétorque à [CS] juste titre que je suis sans gêne et que nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Unknown a dit…

Et oui, Alfredo, c’est tellement ça, car nous, qui sommes des Indes, on nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. J’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón vu que tous mes livres sont à Lima. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne, il me rétorque, à ce propos, que je suis sans gêne et que nous, les Péruviens, sommes comme ça.



1. L’ajout de “car” me semble non pas nécéssaire mais intéréssante dans la mesure ou cela renforce le pronom personnel “nous”
2. J’ai voulu mettre « Amérique » au lieu d’ »Indes » car on traduit pour un lecteur français et il me semblait plus juste de situer géographiquement les péruviens…
3. Je pensais que « créé » était similaire à « inventer » et ce dernier me semblait bizarre dans la formulation
4. Je n’arrive pas à comprendre lorsque l’on doit mettre une majuscule pour les nationalités ?, étant donné que vous ne m’avez rien dit par exemple, avant et ici pour la dernière phrase.
5. « que con razon » j’avais pensé à : « à ce propos », « injustement » (mais c’est le contraire donc je ne suis pas sûr…), « raisonnablement »

Tradabordo a dit…

Y sí Alfredo, cuánta razón, a nosotros, que somos de Indias, nunca nos descubrieron, a nosotros nos inventaron. Al final de la conferencia subí al estrado a pedirle una firma a Alfredo. Tuve que comprarme “Un Mundo para Julius” antes de ir al Teatro Colón porque todos mis libros están en Lima. Al fin llego hasta él, le digo que soy peruana, me dice que con razón soy desfachatada, que los peruanos somos así.

Et oui, Alfredo, c’est tellement ça [vous vous éloignez trop], car [supprimez] nous, qui sommes des Indes [dans ce cas, ajoutez « de Castille » ; il faut être fidèle à la V.O. // c'est volontaire de la part de l'auteur, précisément pour rattacher la démonstration de l'auteur à un contexte historique plus qu'à une réalité géographique…], on [manque la négation] nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. J’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón vu que tous mes livres sont à Lima [peut-être serait-il bien de commencer la phrase par ça ; essayez voir ce que ça donne]. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne, il me rétorque, à ce propos [??????], que je suis sans gêne [pour cette petite section, revenez à la V.O.] et que nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Unknown a dit…

Et oui, Alfredo, aussi vrai soit-il, nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne, il me rétorque que, par nature, je suis effrontée et que nous, les Péruviens, sommes comme ça.


1. mettre "Mais" au lieu de "Et" au tout début ne serait pas plus judicieux?

Tradabordo a dit…

Je crois qu'on peut supprimer tout court. Pour la fin, vous êtes trop loin de la V.O. ; pas de raison de réécrire comme ça.

Unknown a dit…

Oui, Alfredo, aussi vrai soit-il, nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne, il me dit que par nature je suis effrontée et que nous, les Péruviens, sommes comme ça.


Tradabordo a dit…

Y sí Alfredo, cuánta razón, a nosotros, que somos de Indias, nunca nos descubrieron, a nosotros nos inventaron. Al final de la conferencia subí al estrado a pedirle una firma a Alfredo. Tuve que comprarme “Un Mundo para Julius” antes de ir al Teatro Colón porque todos mis libros están en Lima. Al fin llego hasta él, le digo que soy peruana, me dice que con razón soy desfachatada, que los peruanos somos así.

Oui, Alfredo, aussi vrai soit-il [CS], nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne, il me dit que par nature [c'est le « con razón » qu'il faut traduire autrement] je suis effrontée et que nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Unknown a dit…

Y sí Alfredo, cuánta razón, a nosotros, que somos de Indias, nunca nos descubrieron, a nosotros nos inventaron. Al final de la conferencia subí al estrado a pedirle una firma a Alfredo. Tuve que comprarme “Un Mundo para Julius” antes de ir al Teatro Colón porque todos mis libros están en Lima. Al fin llego hasta él, le digo que soy peruana, me dice que con razón soy desfachatada, que los peruanos somos así.

Oui, Alfredo, tu es dans le vrai, nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne et il me rétorque que ce n’est étonnant que je sois une effrontée, car nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Si je dois changer ‘’juste’’ « con razón » je peux donc laisser « rétorquer » au lieu de « il me dit » comme avant ?

Tradabordo a dit…

Y sí Alfredo, cuánta razón, a nosotros, que somos de Indias, nunca nos descubrieron, a nosotros nos inventaron. Al final de la conferencia subí al estrado a pedirle una firma a Alfredo. Tuve que comprarme “Un Mundo para Julius” antes de ir al Teatro Colón porque todos mis libros están en Lima. Al fin llego hasta él, le digo que soy peruana, me dice que con razón soy desfachatada, que los peruanos somos así.

Oui, Alfredo, tu es dans le vrai [ça, c'est bon, mais il manque l'exclamation], nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne et il me rétorque que ce n’est [« pas »] étonnant que je sois une effrontée, car nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Unknown a dit…

Oui, Alfredo, tu es dans le vrai ! Nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne et il me rétorque que ce n’est pas étonnant que je sois une effrontée, car nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Unknown a dit…

?

Tradabordo a dit…

Oui, Alfredo, tu es dans le vrai ! [pas avec un !, mais une formulation] Nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne et il me rétorque que ce n’est pas étonnant que je sois une effrontée, car nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Unknown a dit…

Oh que oui, Alfredo, tu es dans le vrai ! Nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne et il me rétorque que ce n’est pas étonnant que je sois une effrontée, car nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Tradabordo a dit…

Oh que [dans ce cas, supprimez le « que » ; ça donne un ton / accent… qui ne va pas] oui, Alfredo, tu es dans le vrai ! Nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne et il me rétorque que ce n’est pas étonnant que je sois une effrontée, car nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Unknown a dit…

Oh oui, Alfredo, tu es dans le vrai ! Nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne et il me rétorque que ce n’est pas étonnant que je sois une effrontée, car nous, les Péruviens, sommes comme ça.

Tradabordo a dit…

Oh oui, Alfredo, tu es dans le vrai ! Nous, qui sommes des Indes de Castille, on ne nous a jamais découverts, on nous a inventés. À la fin de la conférence, je suis monté sur l’estrade pour demander un autographe à Alfredo. Vu que tous mes livres sont à Lima, j’ai dû m’acheter « Un monde pour Julius », avant de me rendre au théâtre Colón. Enfin, j’arrive jusqu’à lui, je lui dis que je suis péruvienne et il me rétorque que ce n’est pas étonnant que je sois une effrontée, car nous, les Péruviens, sommes comme ça.

OK.