Lo primero que hice nada más levantarme fue llamar a mi amante, que no tardó en venir. Es cierto que me escuchaba a mí misma y me parecían excusas huecas, pero se lo conté todo. Pero, ¿en qué quedamos?, me preguntaba, ¿te la ha robado o la ha dejado escapar? Me puse frente a él y me crucé de brazos: para el caso, ¿no es lo mismo? Se encogió de hombros y yo me puse a exprimir naranjas hasta que llenar una jarra. Me dolían un poco los tríceps y las muñecas a pesar de haber ido cambiando de mano. Mi amante no tenía hambre, así que me bebí el zumo yo sola en dos o tres tragos. Entero, con todos los grumos. Y después fuimos a uno de esos centros de recogida de animales, el que más cerca estaba de mi casa según una guía que mi amante encontró bajo un montón de cajas: adoptaría un gato adulto, un macho, aun a riesgo de que marcara el territorio con su orina. Mi amante prefirió esperarme fuera con el trasportín. Esto es cosa tuya, me dijo.
Traduction temporaire :
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, alors, il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées. Entièrement, avec tous les grumeaux. Ensuite, nous allâmes dans un de ces centres d'accueil pour animaux, le plus proche de chez moi, selon un guide que mon amante trouva sous une tonne de cartons : j'adopterais un chat adulte, un mâle, au risque qu'il marque son territoire de son urine. Mon amante préféra m'attendre dehors avec la boîte de transport. C'est ton problème, me lança-elle.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, alors, il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées. Entièrement, avec tous les grumeaux. Ensuite, nous allâmes dans un de ces centres d'accueil pour animaux, le plus proche de chez moi, selon un guide que mon amante trouva sous une tonne de cartons : j'adopterais un chat adulte, un mâle, au risque qu'il marque son territoire de son urine. Mon amante préféra m'attendre dehors avec la boîte de transport. C'est ton problème, me lança-elle.
21 commentaires:
La première chose que je fis à peine levée fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses vides mais je lui racontai tout. Mais, finalement, c'est quoi le résultat ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me mis face à elle et croisai les bras : quel est l'intérêt, c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une carafe. J'avais un peu mal aux triceps et aux poignets même si j'avais changé de main. Mon amante n'avait pas faim, je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées. Entièrement, avec tous les grumeaux. Ensuite, nous allâmes dans un de ces centres d'accueil pour animaux, le plus proche de chez moi selon un guide que mon amante rencontra sous une tonne de cartons : j'adopterais un chat adulte, un mâle, au risque même qu'il marque son territoire de son urine. Mon amante préféra m'attendre dehors avec la boîte de transport. C'est ton problème, me dit-elle.
La première chose que je fis [virgule] à peine levée [virgule] fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses vides [« creuses » ?] [virgule avant « mais » !] mais je lui racontai tout. Mais [tu l'as juste avant], finalement, c'est quoi le résultat [pas vraiment le sens] ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me mis [« postai » / « plantai »] face à elle et croisai les bras : quel est l'intérêt [texte ?], c'est pas la même chose ?
Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une carafe. J'avais un peu mal aux triceps et aux poignets même si j'avais changé de main. Mon amante n'avait pas faim, je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées. Entièrement, avec tous les grumeaux. Ensuite, nous allâmes dans un de ces centres d'accueil pour animaux, le plus proche de chez moi selon un guide que mon amante rencontra sous une tonne de cartons : j'adopterais un chat adulte, un mâle, au risque même qu'il marque son territoire de son urine. Mon amante préféra m'attendre dehors avec la boîte de transport. C'est ton problème, me dit-elle.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Finalement, on en est où ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et par hasard, c'est pas la même chose ?
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Finalement, on en est où [« Bon, mais alors il s'est passé quoi »] ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et par hasard [naturel ?], c'est pas la même chose ?
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, mais alors il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et ce serait pas la même chose, par hasard ?
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, mais alors il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et ce serait [temps ?] pas la même chose, par hasard ?
Corrige ça et ajoute un peu de la suite.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, mais alors il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et c'est pas la même chose, par hasard ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une carafe. J'avais un peu mal aux triceps et aux poignets même si j'avais changé de main. Mon amante n'avait pas faim, je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, mais alors il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et c'est pas la même chose, par hasard [pour « para el caso » ?] ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une [cheville : « pleine » ?] carafe. J'avais un peu mal aux triceps et aux poignets même si j'avais changé de main [mets ça au début]. Mon amante n'avait pas faim, [point ?] je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, mais alors il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et c'est pas la même chose, en fait ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, mais alors il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et c'est pas la même chose, en fait [« en l'occurrence » ? Vérifie] ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, mais alors il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et, en l'occurrence, c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, mais alors il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et, en l'occurrence, c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait être [nécessaire ? J'hésite] des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, mais [tu en as un juste avant] alors [virgule] il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et, en l'occurrence [j'hésite, parce que je me rends compte que c'est pas très naturel dans un dialogue, si ?], c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, alors, il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et, dans ce cas, c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, alors, il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : et, dans ce cas, [supprime ; vraiment pas naturel] c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, alors, il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
La première chose que je fis, à peine levée, fut d'appeler mon amante, qui ne tarda pas à venir. C'est sûr qu'en m'écoutant moi-même parler, tout cela me semblait des excuses creuses, mais je lui racontai tout. Bon, alors, il s'est passé quoi ? me demandait-elle, on te l'a volée ou tu l'as laissée s'échapper ? Je me plantai face à elle et croisai les bras : c'est pas la même chose ? Elle haussa les épaules et je me mis à presser des oranges jusqu'à remplir une pleine carafe. Même si j'avais changé de main, j'avais un peu mal aux triceps et aux poignets. Mon amante n'avait pas faim. Je bus donc le jus d'orange toute seule en deux ou trois gorgées.
OK.
Il y a la suite aussi :
Entièrement, avec tous les grumeaux. Ensuite, nous allâmes dans un de ces centres d'accueil pour animaux, le plus proche de chez moi, selon un guide que mon amante rencontra sous une tonne de cartons : j'adopterais un chat adulte, un mâle, au risque même qu'il marque son territoire de son urine. Mon amante préféra m'attendre dehors avec la boîte de transport. C'est ton problème, me dit-elle.
Ah zut !
Entero, con todos los grumos. Y después fuimos a uno de esos centros de recogida de animales, el que más cerca estaba de mi casa según una guía que mi amante encontró bajo un montón de cajas: adoptaría un gato adulto, un macho, aun a riesgo de que marcara el territorio con su orina. Mi amante prefirió esperarme fuera con el trasportín. Esto es cosa tuya, me dijo.
Entièrement, avec tous les grumeaux. Ensuite, nous allâmes dans un de ces centres d'accueil pour animaux, le plus proche de chez moi, selon un guide que mon amante rencontra [???????????] sous une tonne de cartons : j'adopterais un chat adulte, un mâle, au risque même [lourd !] qu'il marque son territoire de son urine. Mon amante préféra m'attendre dehors avec la boîte de transport. C'est ton problème, me dit[un verbe plus intéressant ?]-elle.
Entièrement, avec tous les grumeaux. Ensuite, nous allâmes dans un de ces centres d'accueil pour animaux, le plus proche de chez moi, selon un guide que mon amante trouva sous une tonne de cartons : j'adopterais un chat adulte, un mâle, au risque qu'il marque son territoire de son urine. Mon amante préféra m'attendre dehors avec la boîte de transport. C'est ton problème, me lança-elle.
Entièrement, avec tous les grumeaux. Ensuite, nous allâmes dans un de ces centres d'accueil pour animaux, le plus proche de chez moi, selon un guide que mon amante trouva sous une tonne de cartons : j'adopterais un chat adulte, un mâle, au risque qu'il marque son territoire de son urine. Mon amante préféra m'attendre dehors avec la boîte de transport. C'est ton problème, me lança-elle.
OK.
Enregistrer un commentaire