mardi 10 novembre 2015

Projet Loïck 9 – phrases 71-78

-Pero ¿tú -le dije- no piensas que en cualquiera de estos viajes tus hijos van a quedarse sin padre?
Él sonreia con confianza. Entendia muy bien aquel negocio. No le asustaba el tren cuando llegaba como caballo desbocado, bufando y echando chispas; era ágil y sereno; un salto, y arriba; y en cuanto a bajar, podria darse algún coscorrón contra los desmontes, pero lo im­portante era no caer bajo las medas.
No le asustaba el tren, sino los que iban dentro. Buscaba los co­ches de primera porque en ellos encontraba departamentos yacios, ¡ Qué de aventuras! Una vez abrió, sin saberlo, el reservado de señoras: Dos monjas que iban dentro gritaron: «~Ladrones!», y él, asustado, se arrojó del tren y tuvo que hacer a pie el resto del camino.

Traduction temporaire :
— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il savait parfaitement ce qu'il faisait. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.

Ce n'était pas le train qui lui faisait peur, mais les gens qui voyageaient dedans. Il sélectionnait les voitures de premières parce qu'il y trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il avait ouvert sans le savoir celui réservé aux dames. Deux religieuses qui étaient à l'intérieur crièrent : “aux voleurs !” Et lui, apeuré, avait sauté du train et avait dû faire le reste du chemin à pied.

20 commentaires:

Loïck Ths a dit…

- Mais, lui dis-je, tu ne penses pas qu'un jour, lors d'un de ces voyages, tu vas finir par rendre tes enfants orphelins de père ? Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement les risques de ce travail. Le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, il aurait pu se cogner la tête contre les déblais, mais ce qui importait c'était de ne pas tomber sous les roues.
Ce n'était pas les trains qui lui faisaient peur, mais plutôt les gens qui voyageaient dedans. Il cherchait les voitures de premières parce qu'il trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il ouvrit sans le savoir celui réservé aux dames : Deux religieuses qui étaient à l'intérieur s'écrièrent : " voleurs !" et lui, apeuré, sauta du train et dut faire le reste du chemin à pied.

Tradabordo a dit…

- [tiret long pour les dialogues : —] Mais, lui dis[un verbe plus intéressant ici ?]-je, tu ne penses pas qu'un jour, lors d'un de ces voyages, tu vas finir par rendre tes enfants orphelins de père [manque de naturel // il faut vraiment que vous ayez le critère de la fluidité toujours bien présent à l'esprit. Reprenez cette phrase-ci et appliquez cette consigne au reste de votre section] ? Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement les risques de ce travail. Le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, il aurait pu se cogner la tête contre les déblais, mais ce qui importait c'était de ne pas tomber sous les roues.
Ce n'était pas les trains qui lui faisaient peur, mais plutôt les gens qui voyageaient dedans. Il cherchait les voitures de premières parce qu'il trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il ouvrit sans le savoir celui réservé aux dames : Deux religieuses qui étaient à l'intérieur s'écrièrent : " voleurs !" et lui, apeuré, sauta du train et dut faire le reste du chemin à pied.

Loïck Ths a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours tes enfants vont finir par perdre leur père avec ces voyages ? Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement les risques de ce travail. Le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, il aurait pu se cogner la tête contre les déblais, mais ce qui importait c'était de ne pas tomber sous les roues.

Tradabordo a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours [virgule] tes enfants vont finir par perdre leur père avec ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement les risques de ce travail [pas ce qui est dit ; surtraduction]. Le train qui arrivait comme un cheval au galop [et le début de cette phrase ?], s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, il aurait pu se cogner la tête contre les déblais, mais ce qui importait c'était de ne pas tomber sous les roues.

Loïck Ths a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants vont finir par perdre leur père avec ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement cette affaire. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, il aurait pu se cogner la tête contre les déblais, mais ce qui importait c'était de ne pas tomber sous les roues.

Tradabordo a dit…

-Pero ¿tú -le dije- no piensas que en cualquiera de estos viajes tus hijos van a quedarse sin padre? Él sonreia con confianza. Entendia muy bien aquel negocio. No le asustaba el tren cuando llegaba como caballo desbocado, bufando y echando chispas; era ágil y sereno; un salto, y arriba; y en cuanto a bajar, podria darse algún coscorrón contra los desmontes, pero lo im­portante era no caer bajo las medas.

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants vont finir par perdre leur père avec [« au cours d'un de » ? J'hésite] ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement cette affaire [je ne crois pas que ce soit le sens]. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, il aurait pu [temps ?] se cogner la tête contre les déblais, mais ce qui importait [virgule] c'était de ne pas tomber sous les roues.

Loïck Ths a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants vont finir par perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement ce qu'impliquait ce travail. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, il pourrait se cogner la tête contre les déblais, mais ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.

Tradabordo a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants vont finir par perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement ce qu'impliquait ce travail [pas au sens littéral… C'est de son petit trafic avec le train]. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, il pourrait [« peu importe s'il »] se cogner la tête contre les déblais, mais ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.

Loïck Ths a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants vont finir par perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement ce qu'impliquait ce type de trafic. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.

Ce n'était pas les trains qui lui faisaient peur, mais plutôt les gens qui étaient dedans. Il cherchait les voitures de premières parce qu'il trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il ouvrit sans le savoir celui réservé aux dames : Deux religieuses qui étaient à l'intérieur s'écrièrent : " voleurs !" et lui, apeuré, sauta du train et dut faire le reste du chemin à pied.

Tradabordo a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants vont finir par perdre leur père au cours d'un de ces voyages ? [passez par « risquer » ; je suis sûre que ce sera plus naturel…]
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement ce qu'impliquait ce type de trafic [surtraduit]. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.

Loïck Ths a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement ce qu'impliquait ce trafic. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.

Tradabordo a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement ce qu'impliquait ce trafic [« Il savait parfaitement ce qu'il faisait »]. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.

Loïck Ths a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait parfaitement ce qu'il faisait. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.
Ce n'était pas les trains qui lui faisaient peur, mais plutôt les gens qui voyageaient dedans. Il cherchait les voitures de premières parce qu'il trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il ouvrit sans le savoir celui réservé aux dames : Deux religieuses qui étaient à l'intérieur s'écrièrent : " voleurs !" et lui, apeuré, sauta du train et dut faire le reste du chemin à pied.

Tradabordo a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il comprenait [« savait »] parfaitement ce qu'il faisait. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.

No le asustaba el tren, sino los que iban dentro. Buscaba los co­ches de primera porque en ellos encontraba departamentos yacios, ¡ Qué de aventuras! Una vez abrió, sin saberlo, el reservado de señoras: Dos monjas que iban dentro gritaron: «~Ladrones!», y él, asustado, se arrojó del tren y tuvo que hacer a pie el resto del camino.

Ce n'était pas les trains qui lui faisaient peur [pourquoi un passage au pluriel ?], mais plutôt les gens qui voyageaient dedans. Il cherchait [adapté ?] les voitures de premières parce qu'il trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il ouvrit [temps ?] sans le savoir celui réservé aux dames : [il y a deux points après // il faut en supprimer] Deux religieuses qui étaient à l'intérieur s'é[?]crièrent : “[il manque quelque chose ici]voleurs !" et lui, [avec un simple point] apeuré, sauta du train et dut faire le reste du chemin à pied.

Loïck Ths a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il savait parfaitement ce qu'il faisait. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.
Ce n'était pas le train qui lui faisait peur, mais plutôt les gens qui voyageaient dedans. Il sélectionnait les voitures de premières parce qu'il y trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il avait ouvert sans le savoir celui réservé aux dames. Deux religieuses qui étaient à l'intérieur crièrent : aux voleurs !". Et lui, apeuré, sauta du train et dut faire le reste du chemin à pied.

Tradabordo a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il savait parfaitement ce qu'il faisait. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.
Ce n'était pas le train qui lui faisait peur, mais plutôt [nécessaire ?] les gens qui voyageaient dedans. Il sélectionnait les voitures de premières parce qu'il y trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il avait ouvert sans le savoir celui réservé aux dames. Deux religieuses qui étaient à l'intérieur crièrent : “aux voleurs !” Et lui, apeuré, sauta [temps] du train et dut [temps] faire le reste du chemin à pied.

Loïck Ths a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il savait parfaitement ce qu'il faisait. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.
Ce n'était pas le train qui lui faisait peur, mais les gens qui voyageaient dedans. Il sélectionnait les voitures de premières parce qu'il y trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il avait ouvert sans le savoir celui réservé aux dames. Deux religieuses qui étaient à l'intérieur crièrent : “aux voleurs !” Et lui, apeuré, a sauté du train et a dû faire le reste du chemin à pied.

Tradabordo a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il savait parfaitement ce qu'il faisait. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.
Ce n'était pas le train qui lui faisait peur, mais les gens qui voyageaient dedans. Il sélectionnait les voitures de premières parce qu'il y trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il avait ouvert sans le savoir celui réservé aux dames. Deux religieuses qui étaient à l'intérieur crièrent : “aux voleurs !” Et lui, apeuré, a sauté [temps] du train et a dû [temps] faire le reste du chemin à pied.

Loïck Ths a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il savait parfaitement ce qu'il faisait. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.
Ce n'était pas le train qui lui faisait peur, mais les gens qui voyageaient dedans. Il sélectionnait les voitures de premières parce qu'il y trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il avait ouvert sans le savoir celui réservé aux dames. Deux religieuses qui étaient à l'intérieur crièrent : “aux voleurs !” Et lui, apeuré, avait sauté du train et avait dû faire le reste du chemin à pied.

Tradabordo a dit…

— Mais, lui lançai-je, tu ne penses pas qu'un de ces jours, tes enfants risquent de perdre leur père au cours d'un de ces voyages ?
Il souriait avec confiance. Il savait parfaitement ce qu'il faisait. Il ne craignait pas le train qui arrivait comme un cheval au galop, s'ébrouant et crachant des étincelles ; il était agile et serein ; un saut, et hop, il était monté ; quant à ce qui était de descendre, peu importe s'il se cognait la tête contre les déblais, ce qui importait, c'était de ne pas tomber sous les roues.
Ce n'était pas le train qui lui faisait peur, mais les gens qui voyageaient dedans. Il sélectionnait les voitures de premières parce qu'il y trouvait des compartiments vides. Quelles aventures ! Une fois, il avait ouvert sans le savoir celui réservé aux dames. Deux religieuses qui étaient à l'intérieur crièrent : “aux voleurs !” Et lui, apeuré, avait sauté du train et avait dû faire le reste du chemin à pied.

OK.