Cada vez que tiene precisión de caminar dentro de la oficina, — dos pasos, cinco metros, — el hormigueo en la rodilla se acentúa. Renuncia a algunas diligencias. Concluída la labor diaria, el hombre sale a la calle. Ahora camina despacio. Baja hasta la Avenida; cruza el espejado asfalto y desciende los escalones del subterráneo. 174 | Mariani Avanza la culebra de madera y vidrio; entra el hombre en el vientre del coche. Arranca rechinante el fragor del convoy que lleva una movible masa inquieta y negra. Media hora después, el hombre se apea del coche y está otra vez en la calle. No quiere, no quiere hacerle caso al dolor de la rodilla; no quiere hacerle caso, pero camina más despacio.
Traduction temporaire :
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. La couleuvre en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans son ventre. Le fracas du convoi portant une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à sa douleur au genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. La couleuvre en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans son ventre. Le fracas du convoi portant une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à sa douleur au genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
11 commentaires:
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Le travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue ; traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. 174 | Mariani. La couleuvre en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans le ventre de la voiture. Le fracas du convoi qui porte une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à la douleur du genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Le [possessif ?] travail quotidien achevé, il regagne [« retrouve » ? J'hésite…] la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue ; [si tu ne remets pas le « il », pas plutôt une virgule ?] traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. 174 | Mariani. La couleuvre [« serpent » ? Vérifie…] en bois et en verre approche [pourquoi la majuscule en V.O. ?] ;
l'homme pénètre dans le ventre de la voiture. Le fracas du convoi qui porte une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à la douleur du genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. 174 | Mariani. La couleuvre ["culebra" signifie "couleuvre" ou "serpent"] en bois et en verre approche [pourquoi la majuscule en V.O. ?/ C'est le début de la phrase, mais je pense qu'il faudrait enlever ces nombres "174" etc. suivis du nom de l'auteur. Dans la suite du texte, il y a "176 | Mariani" en plein milieu d'une phrase… Ils semblent indiquer des pages] ;
l'homme pénètre dans le ventre de la voiture. Le fracas du convoi qui porte une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à la douleur du genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. 174 | Mariani. La couleuvre ["culebra" signifie "couleuvre" ou "serpent" /// pour le pays de ton auteur aussi ? Juste au cas où…] en bois et en verre approche [pourquoi la majuscule en V.O. ?/ C'est le début de la phrase, mais je pense qu'il faudrait enlever ces nombres "174" etc. suivis du nom de l'auteur. Dans la suite du texte, il y a "176 | Mariani" en plein milieu d'une phrase… Ils semblent indiquer des pages] ;
Oui, tu as raison. Supprime. Je ferai le nettoyage du début dans la version def.
l'homme pénètre dans le ventre de la voiture. Le fracas du convoi qui porte une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à la douleur du genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. La couleuvre ["culebra" signifie "couleuvre" ou "serpent" /// pour le pays de ton auteur aussi ? Juste au cas où…/Je suppose car je ne trouve pas de spécificité argentine] en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans le ventre de la voiture. Le fracas du convoi qui porte une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à sa douleur au genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. La couleuvre ["culebra" signifie "couleuvre" ou "serpent" /// pour le pays de ton auteur aussi ? Juste au cas où…/Je ne trouve pas de spécificité argentine] en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans le ventre de la voiture. Le fracas du convoi portant une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à la douleur du genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. La couleuvre en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans le ventre de la voiture [?]. Le fracas du convoi portant une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon [juste : « descend », voire « en descend » ?] et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à la douleur du [?] genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. La couleuvre en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans le ventre du wagon. Le fracas du convoi portant une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il en sort [juste : « descend », voire « en descend » ?/ Il y a "descend jusqu'à l'Avenue" au-dessus] et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à sa douleur au genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. La couleuvre en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans le ventre du wagon [juste « dans son ventre » ?]. Le fracas du convoi portant une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il en sort et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à sa douleur au genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. La couleuvre en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans son ventre. Le fracas du convoi portant une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à sa douleur au genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
Chaque fois qu'il doit se déplacer – deux pas, cinq mètres – le fourmillement s'accentue dans son genou. Il renonce à quelques démarches. Son travail quotidien achevé, il regagne la rue. Il marche lentement. Il descend jusqu'à l'Avenue, traverse l'asphalte réfléchissant et prend les escaliers du métro. La couleuvre en bois et en verre approche ; l'homme pénètre dans son ventre. Le fracas du convoi portant une masse mobile, inquiète et noire, démarre en grinçant. Une demi-heure plus tard, il sort du wagon et se retrouve dans la rue. Il refuse, il refuse de prêter attention à sa douleur au genou ; il refuse de lui prêter attention, mais il avance moins vite.
OK.
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