Dobla una calle. Se apoya en una pared; aguarda unos minutos. Continúa caminando. Ahora entra en su casa. El médico. Al día siguiente, el hombre no va a la oficina. Es más intenso el dolor. Su mujer le da masajes y después le pinta con tintura de yodo. Por la noche, como continúa el dolor y se ha hinchado “eso”, la mujer le coloca un emplastro caliente: azufre, aceite y unas hojas vegetales. El hombre no puede dormir. La mujer despierta varias veces en la noche y pregunta invariablemente: —¿Te sigue doliendo? Amanece. El hombre advierte que no puede levantarse de la cama. La mujer, entonces, sale a la calle para cumplir dos diligencias: primero — ¡ya lo creo que primero! — hablará por teléfono — 7376 Avenida — con el jefe de la oficina. Segundo: irá a buscar a un médico. El médico está ahora con el enfermo.
Traduction temporaire :
Il tourne au coin d'une rue. Il s'appuie contre un mur, attend quelques minutes. Il reprend sa route. Il entre à présent chez lui. Le médecin. Le lendemain, l'homme ne se rend pas au bureau. La douleur est plus intense. Sa femme le masse et lui passe de la teinture d'iode. La nuit, comme le mal persiste et que « ça » a enflé, elle lui applique un emplâtre chaud : du soufre, de l'huile et des feuilles de végétaux. Il ne trouve pas le sommeil. Elle se réveille plusieurs fois dans la nuit et lui demande invariablement : Ça ne va pas mieux ? Le jour se lève. L'homme s'aperçoit qu'il ne peut pas sortir de son lit. Alors, sa femme s'en va effectuer deux actions : d'abord, – et c'est bien normal ! – elle téléphonera – au 7376 Avenue – pour prévenir son chef de bureau. Ensuite, elle ira chercher un médecin. Il se trouve maintenant auprès du malade.
9 commentaires:
Il tourne au coin d'une rue. Il s'appuie contre un mur, attend quelques minutes. Il continue à marcher. Il entre à présent dans sa maison. Le médecin. Le lendemain, l'homme ne se rend pas au bureau. Sa douleur est plus intense. Sa femme le masse et lui passe de la teinture d'iode. Le soir, comme la douleur continue et que « ça » a enflé, elle lui applique un emplâtre chaud : du soufre, de l'huile et des feuilles de végétaux. Il ne trouve pas le sommeil. Elle se réveille plusieurs fois dans la nuit et lui demande invariablement : Tu as encore mal ? Le jour se lève. L'homme s'aperçoit qu'il ne peut pas se lever de son lit. Sa femme part alors accomplir deux démarches : d'abord, – je pense bien ! – elle téléphonera – 7376 Avenue – au chef du bureau. Ensuite, elle ira chercher un médecin. Il se trouve maintenant auprès du malade.
Il tourne au coin d'une rue. Il s'appuie contre un mur, attend quelques minutes. Il continue à marcher [« reprend sa route » ou un truc comme ça ?]. Il entre à présent dans sa maison [« chez lui » ?]. Le médecin. Le lendemain, l'homme ne se rend pas au bureau. Sa [possessif ?] douleur est plus intense. Sa femme le masse et lui passe de la teinture d'iode. Le soir [« nuit » ?], comme la douleur [nécessaire de répéter ?] continue et que « ça » a enflé, elle lui applique un emplâtre chaud : du soufre, de l'huile et des feuilles de végétaux. Il ne trouve pas le sommeil. Elle se réveille plusieurs fois dans la nuit et lui demande invariablement : Tu as encore mal ? Le jour se lève. L'homme s'aperçoit qu'il ne peut pas se lever [tu l'as dans la phrase précédente] de son lit. Sa femme part alors accomplir deux démarches [phrase naturelle ?] : d'abord, – je pense bien [naturel ?] ! – elle téléphonera – 7376 Avenue [naturel ?] – au chef du bureau. Ensuite, elle ira chercher un médecin. Il se trouve maintenant auprès du malade.
Il tourne au coin d'une rue. Il s'appuie contre un mur, attend quelques minutes. Il reprend sa route. Il entre à présent chez lui. Le médecin. Le lendemain, l'homme ne se rend pas au bureau. La douleur est plus intense. Sa femme le masse et lui passe de la teinture d'iode. La nuit, comme le mal persiste et que « ça » a enflé, elle lui applique un emplâtre chaud : du soufre, de l'huile et des feuilles de végétaux. Il ne trouve pas le sommeil. Elle se réveille plusieurs fois dans la nuit et lui demande invariablement : Tu as encore mal ? Le jour se lève. L'homme s'aperçoit qu'il ne peut pas sortir de son lit. Sa femme s'en va alors accomplir deux actions : d'abord, – et c'est bien normal ! – elle téléphonera – au 7376 Avenue – pour prévenir le chef du bureau. Ensuite, elle ira chercher un médecin. Il se trouve maintenant auprès du malade.
Bonjour Caroline,
As-tu vu ce commentaire ?
J'ai été très occupée… et je n'ai pas pu venir pendant longtemps. J'espère que maintenant, ça va aller mieux. Je déteste m'absenter…
D'accord, pardon ! Ce n'est pas grave, je ne suis pas pressée. C'était juste au cas où ;-)
Il tourne au coin d'une rue. Il s'appuie contre un mur, attend quelques minutes. Il reprend sa route. Il entre à présent chez lui. Le médecin. Le lendemain, l'homme ne se rend pas au bureau. La douleur est plus intense. Sa femme le masse et lui passe de la teinture d'iode. La nuit, comme le mal persiste et que « ça » a enflé, elle lui applique un emplâtre chaud : du soufre, de l'huile et des feuilles de végétaux. Il ne trouve pas le sommeil. Elle se réveille plusieurs fois dans la nuit et lui demande invariablement : Tu as encore mal [« ça ne va pas mieux » – pour ne pas répéter « mal » ? Comme tu veux] ? Le jour se lève. L'homme s'aperçoit qu'il ne peut pas sortir de son lit. Sa femme s'en va alors [naturel ?] accomplir deux actions : d'abord, – et c'est bien normal ! – elle téléphonera – au 7376 Avenue – pour prévenir le chef du [« son chef de » ?] bureau. Ensuite, elle ira chercher un médecin. Il se trouve maintenant auprès du malade.
Il tourne au coin d'une rue. Il s'appuie contre un mur, attend quelques minutes. Il reprend sa route. Il entre à présent chez lui. Le médecin. Le lendemain, l'homme ne se rend pas au bureau. La douleur est plus intense. Sa femme le masse et lui passe de la teinture d'iode. La nuit, comme le mal persiste et que « ça » a enflé, elle lui applique un emplâtre chaud : du soufre, de l'huile et des feuilles de végétaux. Il ne trouve pas le sommeil. Elle se réveille plusieurs fois dans la nuit et lui demande invariablement : Ça ne va pas mieux ? Le jour se lève. L'homme s'aperçoit qu'il ne peut pas sortir de son lit. Alors, sa femme s'en va effectuer deux actions : d'abord, – et c'est bien normal ! – elle téléphonera – au 7376 Avenue – pour prévenir son chef de bureau. Ensuite, elle ira chercher un médecin. Il se trouve maintenant auprès du malade.
Il tourne au coin d'une rue. Il s'appuie contre un mur, attend quelques minutes. Il reprend sa route. Il entre à présent chez lui. Le médecin. Le lendemain, l'homme ne se rend pas au bureau. La douleur est plus intense. Sa femme le masse et lui passe de la teinture d'iode. La nuit, comme le mal persiste et que « ça » a enflé, elle lui applique un emplâtre chaud : du soufre, de l'huile et des feuilles de végétaux. Il ne trouve pas le sommeil. Elle se réveille plusieurs fois dans la nuit et lui demande invariablement : Ça ne va pas mieux ? Le jour se lève. L'homme s'aperçoit qu'il ne peut pas sortir de son lit. Alors, sa femme s'en va effectuer deux actions : d'abord, – et c'est bien normal ! – elle téléphonera – au 7376 Avenue – pour prévenir son chef de bureau. Ensuite, elle ira chercher un médecin. Il se trouve maintenant auprès du malade.
OK.
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