Cerca del piso flotan malos pensamientos, que empiezan a subir, como una bruma lenta. Burbujean como demonios en los charcos de agua estancada. ¿Me estoy enamorando? Cruzo el tronco haciendo equilibrio, como si caminara al borde de mi mente. Sigo avanzando hacia donde creo escuchar que vienen las voces. Las ramas son como manos deformes que me lastiman los brazos, las ojotas se traban en los tallos secos. Levanto la vista, y de pronto, el culo floreado de Ana es una imagen salvadora. Veo la luz al final del túnel. Aire, casas, y más allá, Fabi y Soledad, que ya descansan en una especie de mirador que da al río Sarmiento. Hay otra isla al fondo, justo debajo de una gran nube naranja, que se refleja en el agua. Me acerco a la baranda y veo gente haciendo deportes acuáticos. Me reconforta el ruido espumoso de un jet ski.
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Traduction temporaire :
De mauvaises pensées, qui commencent à monter à la manière d'une brume lente, flottent près du sol. Elles font des bulles tels des démons dans les flaques d'eau stagnante. Suis-je en train de tomber amoureuse ? Je traverse le tronc, en équilibre, comme si je déambulais au bord de mon esprit. Je continue d'avancer jusqu'à l'endroit d'où je pense que les voix proviennent. Les branches ressemblent à des mains difformes qui me blessent les bras, mes sandales se prennent dans les pousses sèches. Je lève les yeux et soudain, le derrière fleuri d'Ana m'apparaît comme une image salvatrice. Je vois la lumière au bout du tunnel. De l'air, des maisons et au loin, Fabi et Soledad, déjà en train de se reposer sur une sorte de belvédère qui donne sur les eaux du Sarmiento. On distingue une île au fond, juste sous un gros nuage orange qui se reflète à la surface. Je m'approche de la balustrade et j'aperçois des gens en pleine activité nautique. Le bruit écumeux d'un jet ski me réconforte.
De mauvaises pensées, qui commencent à monter à la manière d'une brume lente, flottent près du sol. Elles font des bulles tels des démons dans les flaques d'eau stagnante. Suis-je en train de tomber amoureuse ? Je traverse le tronc, en équilibre, comme si je déambulais au bord de mon esprit. Je continue d'avancer jusqu'à l'endroit d'où je pense que les voix proviennent. Les branches ressemblent à des mains difformes qui me blessent les bras, mes sandales se prennent dans les pousses sèches. Je lève les yeux et soudain, le derrière fleuri d'Ana m'apparaît comme une image salvatrice. Je vois la lumière au bout du tunnel. De l'air, des maisons et au loin, Fabi et Soledad, déjà en train de se reposer sur une sorte de belvédère qui donne sur les eaux du Sarmiento. On distingue une île au fond, juste sous un gros nuage orange qui se reflète à la surface. Je m'approche de la balustrade et j'aperçois des gens en pleine activité nautique. Le bruit écumeux d'un jet ski me réconforte.
4 commentaires:
De mauvaises pensées, qui commencent à monter à la manière d'une brume lente, flottent près du sol. Elles pétillent tels des démons dans des flaques d'eau croupie. Suis-je en train de tomber amoureuse ? Je traverse le tronc, en équilibre, comme si je déambulais au bord de mon esprit. Je continue d'avancer jusqu'à l'endroit d'où je pense que les voix proviennent. Les branches ressemblent à des mains difformes qui me blessent les bras, mes sandales se prennent dans les racines sèches. Je lève les yeux et soudain, le derrière fleuri d'Ana m'apparaît comme une image salvatrice. Je vois la lumière au bout du tunnel. De l'air, des maisons et au loin, Fabi et Soledad, déjà en train de se reposer sur un belvédère qui donne sur le fleuve Sarmiento. On distingue une île au fond, juste sous un gros nuage orange qui se reflète dans l'eau. Je m'approche de la balustrade et j'aperçois des gens en pleines activités nautiques. Le bruit écumeux d'un jet ski me réconforte.
De mauvaises pensées, qui commencent à monter à la manière d'une brume lente, flottent près du sol. Elles pétillent [FS ? Vérifie] tels des démons dans des [texte ?] flaques d'eau croupie [« stagnante » ? Je te laisse voir…]. Suis-je en train de tomber amoureuse ? Je traverse le tronc, en équilibre, comme si je déambulais au bord de mon esprit. Je continue d'avancer jusqu'à l'endroit d'où je pense que les voix proviennent. Les branches ressemblent à des mains difformes qui me blessent les bras, mes sandales se prennent dans les racines [sûre ?] sèches. Je lève les yeux et soudain, le derrière fleuri d'Ana m'apparaît comme une image salvatrice. Je vois la lumière au bout du tunnel. De l'air, des maisons et au loin, Fabi et Soledad, déjà en train de se reposer sur un [tu ne fais rien de « especie de » ?] belvédère qui donne sur le fleuve [« les eaux du » ?] Sarmiento. On distingue une île [virgule ?] au fond, juste sous un gros nuage orange qui se reflète dans l'eau [« à la surface », du coup ?]. Je m'approche de la balustrade et j'aperçois des gens en pleines activités nautiques [bizarre ou alors peut-être à cause du pluriel – fais des vérifications]. Le bruit écumeux d'un jet ski me réconforte.
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De mauvaises pensées, qui commencent à monter à la manière d'une brume lente, flottent près du sol. Elles font des bulles tels des démons dans les flaques d'eau stagnante. Suis-je en train de tomber amoureuse ? Je traverse le tronc, en équilibre, comme si je déambulais au bord de mon esprit. Je continue d'avancer jusqu'à l'endroit d'où je pense que les voix proviennent. Les branches ressemblent à des mains difformes qui me blessent les bras, mes sandales se prennent dans les pousses sèches. Je lève les yeux et soudain, le derrière fleuri d'Ana m'apparaît comme une image salvatrice. Je vois la lumière au bout du tunnel. De l'air, des maisons et au loin, Fabi et Soledad, déjà en train de se reposer sur une sorte de belvédère qui donne sur les eaux du Sarmiento. On distingue une île au fond, juste sous un gros nuage orange qui se reflète à la surface. Je m'approche de la balustrade et j'aperçois des gens en pleine activité nautique. Le bruit écumeux d'un jet ski me réconforte.
De mauvaises pensées, qui commencent à monter à la manière d'une brume lente, flottent près du sol. Elles font des bulles tels des démons dans les flaques d'eau stagnante. Suis-je en train de tomber amoureuse ? Je traverse le tronc, en équilibre, comme si je déambulais au bord de mon esprit. Je continue d'avancer jusqu'à l'endroit d'où je pense que les voix proviennent. Les branches ressemblent à des mains difformes qui me blessent les bras, mes sandales se prennent dans les pousses sèches. Je lève les yeux et soudain, le derrière fleuri d'Ana m'apparaît comme une image salvatrice. Je vois la lumière au bout du tunnel. De l'air, des maisons et au loin, Fabi et Soledad, déjà en train de se reposer sur une sorte de belvédère qui donne sur les eaux du Sarmiento. On distingue une île au fond, juste sous un gros nuage orange qui se reflète à la surface. Je m'approche de la balustrade et j'aperçois des gens en pleine activité nautique. Le bruit écumeux d'un jet ski me réconforte.
OK.
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