samedi 7 mai 2016

Projet Justine / Marion – phrases 193-203

El lugar olía a transpiración y a comida. A veces los gritos hacían temblar las sillas de plástico. Pero Verónica no estaba impresionada. Tampoco estaba convencida. Al final, todos –menos ella, que no sabía la letra– cantaron una canción que decía:

Al Gólgota ve, alma mía;
contempla por fe al Señor,
que clama y la muerte ansía,
sufriendo por mí con amor.

—¿Te gustó? Paulina le sonreía otra vez, con ese gesto burlón. Estaba despeinada y con las mejillas coloradas.
—¿Qué se siente cuando hablás en lenguas? quiso saber Verónica.
—Se siente a Dios. No lo podés entender.

Traduction temporaire :
L’endroit sentait la transpiration et la nourriture. Parfois, les cris faisaient trembler les chaises en plastique. Mais Verónica n’était pas impressionnée. Pas convaincue non plus. Finalement, toute l’assemblée – sauf elle qui ne connaissait pas les paroles – chanta une chanson qui disait :

Mon âme voit le Golgotha
contemple le Seigneur, à travers sa foi,
qui réclame et attend impatiemment la mort,
en souffrant pour moi avec amour.

— Ça t’a plu ? Paulina lui souriait de nouveau, avec un air moqueur. Elle avait les cheveux en bataille et les joues rouges.
— Qu’est-ce qu’on ressent quand on parle en langues ? voulut savoir Verónica.
— La présence de Dieu. Tu peux pas comprendre.

4 commentaires:

Justine a dit…

L’endroit sentait la transpiration et la nourriture. Parfois, les cris faisaient trembler les chaises en plastique. Mais Verónica n’était pas impressionnée. Pas convaincue non plus. Finalement, toute l’assemblée – sauf elle qui ne connaissait pas les paroles – chanta une chanson qui disait :
Mon âme voit le Golgotha
contemple le Seigneur, via sa foi,
qui réclame et attend impatiemment la mort,
en souffrant pour moi avec amour.
— Ça t’a plu ? Paulina lui souriait de nouveau, avec cet air moqueur. Elle avait les cheveux en bataille et les joues rouges.
— Qu’est-ce qu’on ressent quand on parle en langues ? voulut savoir Verónica.
— La présence de Dieu. Tu peux pas comprendre.

Tradabordo a dit…

L’endroit sentait la transpiration et la nourriture. Parfois, les cris faisaient trembler les chaises en plastique. Mais Verónica n’était pas impressionnée. Pas convaincue non plus. Finalement, toute l’assemblée – sauf elle qui ne connaissait pas les paroles – chanta une chanson qui disait :

Mon âme voit le Golgotha
contemple le Seigneur, via [mal dit ici] sa foi,
qui réclame et attend impatiemment la mort,
en souffrant pour moi avec amour.

— Ça t’a plu ? Paulina lui souriait de nouveau, avec cet [NON ; tu sais bien que c'est la maladie des démonstratifs…] air moqueur. Elle avait les cheveux en bataille et les joues rouges.
— Qu’est-ce qu’on ressent quand on parle en langues ? voulut savoir Verónica.
— La présence de Dieu. Tu peux pas comprendre.

Justine a dit…

L’endroit sentait la transpiration et la nourriture. Parfois, les cris faisaient trembler les chaises en plastique. Mais Verónica n’était pas impressionnée. Pas convaincue non plus. Finalement, toute l’assemblée – sauf elle qui ne connaissait pas les paroles – chanta une chanson qui disait :

Mon âme voit le Golgotha
contemple le Seigneur, à travers sa foi,
qui réclame et attend impatiemment la mort,
en souffrant pour moi avec amour.

— Ça t’a plu ? Paulina lui souriait de nouveau, avec un air moqueur. Elle avait les cheveux en bataille et les joues rouges.
— Qu’est-ce qu’on ressent quand on parle en langues ? voulut savoir Verónica.
— La présence de Dieu. Tu peux pas comprendre.

Tradabordo a dit…

L’endroit sentait la transpiration et la nourriture. Parfois, les cris faisaient trembler les chaises en plastique. Mais Verónica n’était pas impressionnée. Pas convaincue non plus. Finalement, toute l’assemblée – sauf elle qui ne connaissait pas les paroles – chanta une chanson qui disait :

Mon âme voit le Golgotha
contemple le Seigneur, à travers sa foi,
qui réclame et attend impatiemment la mort,
en souffrant pour moi avec amour.

— Ça t’a plu ? Paulina lui souriait de nouveau, avec un air moqueur. Elle avait les cheveux en bataille et les joues rouges.
— Qu’est-ce qu’on ressent quand on parle en langues ? voulut savoir Verónica.
— La présence de Dieu. Tu peux pas comprendre.

OK.