–¿Piensas que todo es malo? –dijo Aleh– No siempre es así.
–¿Y te dejó? –pregunta Iosú.
–Sí –responde Jualma–. Cruzó la pista y cuando estaba escribiendo, salió no sé de dónde una patrulla. Yo estaba en la acera de enfrente.
–¡Tú, alto! –gritó el policía apuntándola con su arma– ¡Contra la pared!
–Ufffff qué mala suerte –dice Iosú.
–La revisaron y le encontraron la grifa –dice Jualma–. Entonces ella comenzó a reclamarle a uno de los policías que estaba sobrepasándose; pero, de refilón me miraba y con sus ojos me decía, que no la abandonara. En mi cabeza sonaba el coro de la canción de Bowie: “We can be heroes, just for one day”.
–¿Y te dejó? –pregunta Iosú.
–Sí –responde Jualma–. Cruzó la pista y cuando estaba escribiendo, salió no sé de dónde una patrulla. Yo estaba en la acera de enfrente.
–¡Tú, alto! –gritó el policía apuntándola con su arma– ¡Contra la pared!
–Ufffff qué mala suerte –dice Iosú.
–La revisaron y le encontraron la grifa –dice Jualma–. Entonces ella comenzó a reclamarle a uno de los policías que estaba sobrepasándose; pero, de refilón me miraba y con sus ojos me decía, que no la abandonara. En mi cabeza sonaba el coro de la canción de Bowie: “We can be heroes, just for one day”.
Traduction temporaire :
— Tu penses que tout ça, c’est mal ? a lancé Aleh. C’est pas toujours le cas.
— Et elle est partie ? demande Iosú.
— Oui. Elle a traversé la route et lorsqu’elle était en train d’écrire, une patrouille est sortie de je sais pas où. Moi, j’étais sur le trottoir d’en face.
— Toi, mains en l’air ! a crié le policier en la visant avec son arme. Face au mur !
— Ouh, vraiment pas de bol…
— Ils l’ont fouillée et ils ont trouvé l’herbe, poursuit Jualma. Alors, elle a commencé à protester contre l’un des policiers qui faisait du zèle. Parallèlement, elle m’observait du coin de l’œil et avec son regard me demandait de ne pas l’abandonner. Dans ma tête, tournait le refrain de la chanson de Bowie « We can be heroes, just for one day ».
— Tu penses que tout ça, c’est mal ? a lancé Aleh. C’est pas toujours le cas.
— Et elle est partie ? demande Iosú.
— Oui. Elle a traversé la route et lorsqu’elle était en train d’écrire, une patrouille est sortie de je sais pas où. Moi, j’étais sur le trottoir d’en face.
— Toi, mains en l’air ! a crié le policier en la visant avec son arme. Face au mur !
— Ouh, vraiment pas de bol…
— Ils l’ont fouillée et ils ont trouvé l’herbe, poursuit Jualma. Alors, elle a commencé à protester contre l’un des policiers qui faisait du zèle. Parallèlement, elle m’observait du coin de l’œil et avec son regard me demandait de ne pas l’abandonner. Dans ma tête, tournait le refrain de la chanson de Bowie « We can be heroes, just for one day ».
6 commentaires:
— Tu penses que tout ça, c’est mal ? a lancé Aleh. Ce n’est pas toujours le cas.
— Et elle est partie ? demande Iosú.
— Oui, confirme Jualma. Elle a traversé la route et lorsqu’elle était en train d’écrire, une patrouille est sortie de je sais pas où. Moi, j’étais sur le trottoir d’en face.
— Toi, mains en l’air ! a crié le policier en la visant avec son arme. Face au mur !
— Ouh, vraiment pas de bol… lâche Iosú.
— Ils l’ont fouillée et ils ont trouvé l’herbe, poursuit Jualma. Alors, elle a commencé à protester contre l’un des policiers qui faisait du zèle, mais [« en même temps » ? Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve qu’il y a un problème de fluidité ici], elle me regardait du coin de l’œil et avec ses yeux me demandait de ne pas l’abandonner. Dans ma tête tournait le refrain de la chanson de Bowie « We can be heroes, just for one day ».
— Tu penses que tout ça, c’est mal ? a lancé Aleh. Ce n’[nécessaire ?]est pas toujours le cas.
— Et elle est partie ? demande Iosú.
— Oui, confirme Jualma [nécessaire ?]. Elle a traversé la route et lorsqu’elle était en train d’écrire, une patrouille est sortie de je sais pas où. Moi, j’étais sur le trottoir d’en face.
— Toi, mains en l’air ! a crié le policier en la visant avec son arme. Face au mur !
— Ouh, vraiment pas de bol… lâche Iosú [nécessaire ?].
— Ils l’ont fouillée et ils ont trouvé l’herbe, poursuit Jualma. Alors, elle a commencé à protester contre l’un des policiers qui faisait du zèle, mais [« en même temps » ? Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve qu’il y a un problème de fluidité ici /// Mets un point + « Parallèlement » ou un truc comme ça…], elle me regardait du coin de l’œil et avec ses yeux [débrouille-toi pour ne pas mettre « yeux » puisque tu as déjà « du coin de l'œil »] me demandait de ne pas l’abandonner. Dans ma tête [virgule] tournait le refrain de la chanson de Bowie « We can be heroes, just for one day ».
— Tu penses que tout ça, c’est mal ? a lancé Aleh. C’est pas toujours le cas.
— Et elle est partie ? demande Iosú.
— Oui. Elle a traversé la route et lorsqu’elle était en train d’écrire, une patrouille est sortie de je sais pas où. Moi, j’étais sur le trottoir d’en face.
— Toi, mains en l’air ! a crié le policier en la visant avec son arme. Face au mur !
— Ouh, vraiment pas de bol…
— Ils l’ont fouillée et ils ont trouvé l’herbe, poursuit Jualma. Alors, elle a commencé à protester contre l’un des policiers qui faisait du zèle. Parallèlement, elle me regardait du coin de l’œil et avec son regard me demandait de ne pas l’abandonner. Dans ma tête, tournait le refrain de la chanson de Bowie « We can be heroes, just for one day ».
— Tu penses que tout ça, c’est mal ? a lancé Aleh. C’est pas toujours le cas.
— Et elle est partie ? demande Iosú.
— Oui. Elle a traversé la route et lorsqu’elle était en train d’écrire, une patrouille est sortie de je sais pas où. Moi, j’étais sur le trottoir d’en face.
— Toi, mains en l’air ! a crié le policier en la visant avec son arme. Face au mur !
— Ouh, vraiment pas de bol…
— Ils l’ont fouillée et ils ont trouvé l’herbe, poursuit Jualma. Alors, elle a commencé à protester contre l’un des policiers qui faisait du zèle. Parallèlement, elle me regardait [comme tu as « regard » après, essaie de mettre un autre verbe ici] du coin de l’œil et avec son regard me demandait de ne pas l’abandonner. Dans ma tête, tournait le refrain de la chanson de Bowie « We can be heroes, just for one day ».
— Tu penses que tout ça, c’est mal ? a lancé Aleh. C’est pas toujours le cas.
— Et elle est partie ? demande Iosú.
— Oui. Elle a traversé la route et lorsqu’elle était en train d’écrire, une patrouille est sortie de je sais pas où. Moi, j’étais sur le trottoir d’en face.
— Toi, mains en l’air ! a crié le policier en la visant avec son arme. Face au mur !
— Ouh, vraiment pas de bol…
— Ils l’ont fouillée et ils ont trouvé l’herbe, poursuit Jualma. Alors, elle a commencé à protester contre l’un des policiers qui faisait du zèle. Parallèlement, elle m’observait du coin de l’œil et avec son regard me demandait de ne pas l’abandonner. Dans ma tête, tournait le refrain de la chanson de Bowie « We can be heroes, just for one day ».
— Tu penses que tout ça, c’est mal ? a lancé Aleh. C’est pas toujours le cas.
— Et elle est partie ? demande Iosú.
— Oui. Elle a traversé la route et lorsqu’elle était en train d’écrire, une patrouille est sortie de je sais pas où. Moi, j’étais sur le trottoir d’en face.
— Toi, mains en l’air ! a crié le policier en la visant avec son arme. Face au mur !
— Ouh, vraiment pas de bol…
— Ils l’ont fouillée et ils ont trouvé l’herbe, poursuit Jualma. Alors, elle a commencé à protester contre l’un des policiers qui faisait du zèle. Parallèlement, elle m’observait du coin de l’œil et avec son regard me demandait de ne pas l’abandonner. Dans ma tête, tournait le refrain de la chanson de Bowie « We can be heroes, just for one day ».
OK.
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