Me acordé otra vez de Roxana. De su chompa suelta hasta los muslos, de su pantalón blanco hasta las rodillas, sus medias cubanas a pesar del frío. Del lunar en su mejilla izquierda, de sus cejas pobladas, de su «corte pan»; del brillo de las pulseras de colores en sus manos cuando bailaba Like a virgin, imitando a Madonna.
—Calancón de mierda, dije, Calancón conchesumadre.
—Boys don´t cry, dijo Rubén. Los demás rieron.
Doblamos por Junín y cruzamos Cuzco.
Traduction temporaire :
Je repensai à Roxana. À son pull large descendant jusqu'aux cuisses, à son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains malgré le froid. Au grain de beauté sur sa joue gauche, à ses sourcils fournis, à sa « coupe punk » ; à l'éclat des bracelets colorés à ses poignets quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén.
Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
Je repensai à Roxana. À son pull large descendant jusqu'aux cuisses, à son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains malgré le froid. Au grain de beauté sur sa joue gauche, à ses sourcils fournis, à sa « coupe punk » ; à l'éclat des bracelets colorés à ses poignets quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén.
Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
12 commentaires:
Je me souvins encore de Roxana. De son pull coulant jusqu'aux cuisses, de son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains malgré le froid. Du grain de beauté sur sa joue gauche, de ses sourcils épais, de son "carré court" ; de l'éclat des bracelets de couleurs sur ses mains quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén. Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
"corte pan" = j'ai demandé aux hispano de mon entourage mais ça ne leur dit rien à part une coupe de cheveux.
Je demande à Elena.
Alors, il existe la coupe "pan dulce", mais j'ai l'impression que c'est surtout en Argentine. Je penche pour la solution de "coupe punk", je pense que l'auteur a écrit en phonétique, voyez si ça peut coller dans votre contexte.
Merci, Elena.
Merci Elena pour l'explication.
Je me souvins encore de Roxana. De son pull coulant jusqu'aux cuisses, de son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains malgré le froid. Du grain de beauté sur sa joue gauche, de ses sourcils épais, de sa « coupe punk » ; de l'éclat des bracelets de couleurs sur ses mains quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén. Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
Je me souvins encore de [pas plutôt : « je repensai à » ?] Roxana. De son pull coulant [bof] jusqu'aux cuisses, de son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains [tu as qd même vérifié que c'était biende Cuba et pas une sorte de ?] malgré le froid. Du grain de beauté sur sa joue gauche, de ses sourcils épais [il y a mieux ici], de sa « coupe punk » ; de l'éclat des bracelets de couleurs [ou acec l'adjectif ? J'hésite…] sur ses mains [« à ses poignets » ?] quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén.
Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
Je repensai à Roxana. De son pull large jusqu'aux cuisses, de son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains [tu as qd même vérifié que c'était bien de Cuba et pas une sorte de ?/Oui, les "bas cubains" existent] malgré le froid. Du grain de beauté sur sa joue gauche, de ses sourcils fournis, de sa « coupe punk » ; de l'éclat des bracelets colorés à ses poignets quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén.
Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
Je repensai à Roxana. De son pull large [cheville : « descendant » ? J'hésite] jusqu'aux cuisses, de son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains malgré le froid. Du grain de beauté sur sa joue gauche, de ses sourcils fournis, de sa « coupe punk » ; de l'éclat des bracelets colorés à ses poignets quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén.
Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
Je repensai à Roxana. De son pull large descendant jusqu'aux cuisses, de son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains malgré le froid. Du grain de beauté sur sa joue gauche, de ses sourcils fournis, de sa « coupe punk » ; de l'éclat des bracelets colorés à ses poignets quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén.
Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
Je repensai à Roxana. De son pull large descendant jusqu'aux cuisses, de son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains malgré le froid. Du grain de beauté sur sa joue gauche, de ses sourcils fournis, de sa « coupe punk » ; de l'éclat des bracelets colorés à ses poignets quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén.
Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
OK.
Justine ?
Si on opte pour « je repensai à », il faut modifier la suite « à son pull large, à son pantalon blanc… »
Je repensai à Roxana. À son pull large descendant jusqu'aux cuisses, à son pantalon blanc jusqu'aux genoux, ses bas cubains malgré le froid. Au grain de beauté sur sa joue gauche, à ses sourcils fournis, à sa « coupe punk » ; à l'éclat des bracelets colorés à ses poignets quand elle dansait sur Like a virgin, en imitant Madonna.
— Terroriste de merde, grognai-je, terroriste de fils de pute !
— Boys don't cry, fredonna Rubén.
Les autres rirent. Nous tournâmes par Junín et traversâmes Cuzco.
Là, OK.
OK. J'enregistre avec la modif.
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