Luego creo que ya no lo voy a volver a ver y me suelto a chillar. Abrazo a mi esposa y me sumo en su pecho, pero en eso me acuerdo de que hay que ser fuertes, hay que seguir buscándolo. Quién sabe si es una necedad, pero yo no voy a parar hasta que me digan: “Mira, éstos son los restos de tu hijo”. Yo no voy a parar, le digo. Quién quita y sí regresa. Ah, pero eso sí: todo va a ser diferente si vuelve. Nada de salir solo a la tienda, nada de subirse a manejar los carros de la Marinela... Y si Dios quiso llevarse a mi niño, yo me imagino que ya está bien allá arriba, ¿no? Que ya está en una casota llena de animales en el Cielo. Que lo perfuma todo como cuando era chiquito, así como llenaba la recámara con su olorcito de bebé. Ay, mi niño... ¡Qué no daría por tenerlo entre mis brazos! Por agarrarle su manita una vez más... así, como en esta foto.
Traduction temporaire :
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à glapir. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si c'est pas une bêtise ? N'empêche que moi, je n'arrêterai pas, jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis ! Peut-être qu'il va rentrer. Ah, par contre, tout sera différent s'il revient, ça oui . Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé… Et si Dieu a voulu rappeler à lui mon enfant, j'imagine qu'il est bien, là-haut. Croyez pas ? Il est sûrement au Ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Il doit tout parfumer, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah, là là, mon petit… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à glapir. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si c'est pas une bêtise ? N'empêche que moi, je n'arrêterai pas, jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis ! Peut-être qu'il va rentrer. Ah, par contre, tout sera différent s'il revient, ça oui . Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé… Et si Dieu a voulu rappeler à lui mon enfant, j'imagine qu'il est bien, là-haut. Croyez pas ? Il est sûrement au Ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Il doit tout parfumer, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah, là là, mon petit… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
24 commentaires:
Après, je pense ne plus jamais le revoir et je me mets à hurler. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, qu'il faut continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est pas une bêtise, or, moi, je n'arrêterai pas jusqu'à ce qu'on m'annonce : << Tiens, voici les restes de ton fils. >> Je ne vais pas m'arrêter, je vous dis. Celui qui prend doit rendre. Ah, par contre, ça oui, tout sera différent s'il revient. Hors de question d'aller seul au magasin, hors de question de monter servir de chauffeur à la Marinela… Et si Dieu a voulu rappeler mon enfant auprès de lui, je m'imagine qu'il est bien là-haut, non ? Qu'il est au ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Qu'il parfume tout, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah là là mon fils… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Après, je pense ne plus jamais [pas plus naturel en passant par « je me dis que » ? Essaie et vois ce qui est mieux…] le revoir et je me mets à hurler [inexact ?]. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, qu'il faut [nécessaire ?] continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est pas une bêtise, or, moi [passe par « n'empêche »], je n'arrêterai pas jusqu'à ce qu'on m'annonce :
Pour la suite, remets des guillemets dignes de ce nom ;-)
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à pleurer. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est pas une bêtise, n'empêche, moi, je n'arrêterai pas jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Je n'arrêterai pas, je vous dis. Celui qui prend doit rendre. Ah, par contre, ça oui, tout sera différent s'il revient. Hors de question d'aller seul au magasin, hors de question de monter servir de chauffeur à la Marinela… Et si Dieu a voulu rappeler mon enfant auprès de lui, je m'imagine qu'il est bien là-haut, non ? Qu'il est au ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Qu'il parfume tout, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah là là mon fils… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à pleurer [inexact]. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est pas une bêtise, [un point d'interrogation ?] n'empêche, moi, je n'arrêterai pas [virgule] jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » [cheville : « Non, »] Je n'arrêterai pas, je vous dis. Celui qui prend doit rendre [naturel ? J'hésite… Vois si tu as autre chose en stock ; sinon, tant pis, laisse]. Ah, par contre, ça oui, tout sera différent s'il revient. Hors de question d'aller seul au magasin, hors de question de monter servir de [« jouer les » ? Je te laisse voir] chauffeur à la Marinela [placé avant ? J'hésite]…
Et si Dieu a voulu rappeler mon enfant auprès de lui, je m'imagine qu'il est bien là-haut, non ? Qu'il est au ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Qu'il parfume tout, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah là là mon fils… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à crier. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est pas une bêtise? N'empêche, moi, je n'arrêterai pas,jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis. Ceux qui me l'ont pris doivent me le rendre. Ah, par contre, ça oui, tout sera différent s'il revient. Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé…
Et si Dieu a voulu rappeler mon enfant auprès de lui, je m'imagine qu'il est bien là-haut, non ? Qu'il est au ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Qu'il parfume tout, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah là là mon fils… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Je sèche sur le Quién quita...
Je demande son avis à Elena.
Avance les micros en attendant. Je préfère avoir sa réponse avant de reprendre.
Hola,
Au Mexique l'expression "quien quita" signifie : Tal vez, quien sabe si.., puede ser que...
Merci, Elena.
Merci, Elena!
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à crier. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est pas une bêtise? N'empêche, moi, je n'arrêterai pas, jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis. Peut-être qu'on me le rendra. Ah, par contre, ça oui, tout sera différent s'il revient. Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé…
Et si Dieu a voulu rappeler mon enfant auprès de lui, je m'imagine qu'il est bien là-haut, non ? Qu'il est au ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Qu'il parfume tout, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah là là mon fils… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à crier [pas un truc genre « glapir » ?]. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est pas une bêtise[espace]? N'empêche, [ou « que » ?] moi, je n'arrêterai pas, jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis. [point d'exclamation ?] Peut-être qu'on me le rendra [texte ?]. Ah, par contre, ça oui, tout sera différent s'il revient. Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé…
Terminons ça.
Et si Dieu a voulu rappeler mon enfant auprès de lui, je m'imagine qu'il est bien là-haut, non ? Qu'il est au ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Qu'il parfume tout, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah là là mon fils… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à glapir. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est pas une bêtise ? N'empêche que moi, je n'arrêterai pas, jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis ! Peut-être qu'il va rentrer. Ah, par contre, ça oui, tout sera différent s'il revient. Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé…
Glapir ça fait petit animal non?
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à glapir. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est pas une bêtise ? N'empêche que moi, je n'arrêterai pas, jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis ! Peut-être qu'il va rentrer. Ah, par contre, ça oui, tout sera différent s'il revient. Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé…
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à glapir. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si ce n'est [« c'est » ? En supprimant la double négation ?] pas une bêtise ? N'empêche que moi, je n'arrêterai pas, jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis ! Peut-être qu'il va rentrer. Ah, par contre, ça oui [ou placé à la fin ? Essaie et vois ce qui est mieux], tout sera différent s'il revient. Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé…
Si j'enlève la négation, j'ai envie de l'enlever partout. J'arrêterai pas etc.
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à glapir. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si c'est pas une bêtise ? N'empêche que moi, je n'arrêterai pas, jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis ! Peut-être qu'il va rentrer. Ah, par contre, tout sera différent s'il revient, ça oui . Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé…
Après, je me dis que je ne le reverrai jamais et je me mets à glapir. Je serre ma femme dans mes bras et je me réfugie contre sa poitrine, mais, à ce moment-là, je me rappelle qu'il faut rester forts, continuer à le chercher. Qui sait si c'est pas une bêtise ? N'empêche que moi, je n'arrêterai pas, jusqu'à ce qu'on m'annonce : « Tiens, voici les restes de ton fils. » Non, je n'arrêterai pas, je vous dis ! Peut-être qu'il va rentrer. Ah, par contre, tout sera différent s'il revient, ça oui . Aller seul au magasin, terminé. Jouer les chauffeurs pour la Marinela, terminé…
OK. Je colle ce bout dans le post pour qu'on soit débarrassées et tu peux enchaîner avec la suite.
Y si Dios quiso llevarse a mi niño, yo me imagino que ya está bien allá arriba, ¿no? Que ya está en una casota llena de animales en el Cielo. Que lo perfuma todo como cuando era chiquito, así como llenaba la recámara con su olorcito de bebé. Ay, mi niño... ¡Qué no daría por tenerlo entre mis brazos! Por agarrarle su manita una vez más... así, como en esta foto.
Et si Dieu a voulu rappeler à lui mon enfant, je m'imagine qu'il est bien là-haut, croyez pas ? Qu'il est au ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Qu'il parfume tout, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah là là mon fils… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Et si Dieu a voulu rappeler à lui mon enfant, je m'imagine [« j'imagine »] qu'il est bien [virgule ? Comme tu veux] là-haut, [point ?] croyez pas ? Qu'[ça s'enchaîne bien avec ce qui précède ? J'hésite]il est au ciel [maj], dans une grande maison pleine d'animaux. Qu'[idem]il parfume tout, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah [virgule] là là [virgule] mon fils [« petit »]… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Et si Dieu a voulu rappeler à lui mon enfant, j'imagine qu'il est bien là-haut. Croyez pas ? Il est sûrement au Ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Il doit tout parfumer, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah, là là, mon petit… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Et si Dieu a voulu rappeler à lui mon enfant, j'imagine qu'il est bien [j'y reviens : sans la virgule = effectivement, il est là-haut… avec la virgule : il est là-haut et bien / je te laisse trancher] là-haut. Croyez pas ? Il est sûrement au Ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Il doit tout parfumer, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah, là là, mon petit… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Et si Dieu a voulu rappeler à lui mon enfant, j'imagine qu'il est bien, là-haut. Croyez pas ? Il est sûrement au Ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Il doit tout parfumer, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah, là là, mon petit… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
Et si Dieu a voulu rappeler à lui mon enfant, j'imagine qu'il est bien, là-haut. Croyez pas ? Il est sûrement au Ciel, dans une grande maison pleine d'animaux. Il doit tout parfumer, comme quand il était petit et qu'il emplissait la chambre avec son odeur de bébé. Ah, là là, mon petit… Qu'est-ce que j'donnerais pas pour le prendre dans mes bras ! Pour lui tenir la main encore une fois, comme ici, sur cette photo.
OK.
Le texte est terminé. Maintenant, tu vas le chercher dans « Travaux en cours » (colonne de droite du blog), tu le mets dans un doc, tu le relis (en t'assurant qu'il ne manque rien), tu me fais tes éventuelles suggestion de changement(s) entre crochets et tu m'envoies ça par mail.
Tu veux enchaîner avec autre chose ou le texte avec Sébastien et tes micros suffisent ? Comme tu veux.
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