Retrato de mujer con familia
—Puedo volar —dice la anciana, con la placidez de quien comenta una verdad irrefutable. Podría ser una metáfora, o una broma; sin embargo, a juzgar por el modo en que ese hombre, sentado en el banco en frente de ella, se ha puesto a llorar, resulta lógico suponer delirio senil. Un joven, que hasta el momento anterior compartía banco con el hombre, se para, se inclina, y recuesta su peso tomándose de los apoyabrazos de la silla de ruedas de la anciana.
—Ya nos habíamos dado cuenta, abuela — afirma, mirándola con ternura.
El hombre seca sus lágrimas, menea la cabeza, esboza una sonrisa.
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Traduction temporaire :
Portrait de femme avec famille
— Je peux voler, déclare la vieille femme avec la placidité de qui énonce une vérité irréfutable. Ce pourrait être une métaphore ou une plaisanterie ; en fait, à en juger par la manière dont l'homme assis sur le banc en face d'elle s'est mis à pleurer, il est logique de présumer qu'il s'agit de démence sénile.Un jeune homme, qui jusque-là partageait le banc avec l'homme, se lève, se penche, et s'appuie de tout son poids sur les accoudoirs du fauteuil roulant de la vieille dame.
— On s'en était déjà rendu compte, grand-mère ! affirme-t-il en la regardant avec tendresse.
L'homme sèche ses larmes, hoche la tête, esquisse un sourire.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent du plus ancien bougainvilliers de la place volent au milieu de leurs trois visages.
33 commentaires:
Retrato de mujer con familia
—Puedo volar —dice la anciana, con la placidez de quien comenta una verdad irrefutable. Podría ser una metáfora, o una broma; sin embargo, a juzgar por el modo en que ese hombre, sentado en el banco en frente de ella, se ha puesto a llorar, resulta lógico suponer delirio senil.
Portrait de femme avec famille
— Je peux voler, déclare la vieille femme avec la placidité de celui qui énonce une vérité irréfutable. Cela pourrait être une métaphore ou une plaisanterie ; toutefois, à en juger par la manière dont l'homme assis sur le banc en face d'elle a éclaté en sanglots, il est logique de présumer d'une démence sénile.
—Puedo volar —dice la anciana, con la placidez de quien comenta una verdad irrefutable. Podría ser una metáfora, o una broma; sin embargo, a juzgar por el modo en que ese hombre, sentado en el banco en frente de ella, se ha puesto a llorar, resulta lógico suponer delirio senil.
Portrait de femme avec famille
— Je peux voler, déclare la vieille femme avec la placidité de celui [supprime] qui énonce une vérité irréfutable. Cela [ou juste « Ce » ?] pourrait être une métaphore ou une plaisanterie ; toutefois [pas plutôt dans le sens de « en fait » ?], à en juger par la manière dont l'homme assis sur le banc en face d'elle a éclaté en sanglots [texte ?], il est logique de présumer d'[construction ?]une démence sénile.
—Puedo volar —dice la anciana, con la placidez de quien comenta una verdad irrefutable. Podría ser una metáfora, o una broma; sin embargo, a juzgar por el modo en que ese hombre, sentado en el banco en frente de ella, se ha puesto a llorar, resulta lógico suponer delirio senil.
Portrait de femme avec famille
— Je peux voler, déclare la vieille femme avec la placidité de qui énonce une vérité irréfutable. Ce pourrait être une métaphore ou une plaisanterie ; en fait, à en juger par la manière dont l'homme assis sur le banc en face d'elle s'est mis à pleurer, il est logique de présumer une démence sénile.
—Puedo volar —dice la anciana, con la placidez de quien comenta una verdad irrefutable. Podría ser una metáfora, o una broma; sin embargo, a juzgar por el modo en que ese hombre, sentado en el banco en frente de ella, se ha puesto a llorar, resulta lógico suponer delirio senil.
Portrait de femme avec famille
— Je peux voler, déclare la vieille femme avec la placidité de qui énonce une vérité irréfutable. Ce pourrait être une métaphore ou une plaisanterie ; en fait, à en juger par la manière dont l'homme assis sur le banc en face d'elle s'est mis à pleurer, il est logique de présumer [« qu'il s'agit de » ?] une démence sénile.
—Puedo volar —dice la anciana, con la placidez de quien comenta una verdad irrefutable. Podría ser una metáfora, o una broma; sin embargo, a juzgar por el modo en que ese hombre, sentado en el banco en frente de ella, se ha puesto a llorar, resulta lógico suponer delirio senil.
Portrait de femme avec famille
— Je peux voler, déclare la vieille femme avec la placidité de qui énonce une vérité irréfutable. Ce pourrait être une métaphore ou une plaisanterie ; en fait, à en juger par la manière dont l'homme assis sur le banc en face d'elle s'est mis à pleurer, il est logique de présumer qu'il s'agit de démence sénile.
—Puedo volar —dice la anciana, con la placidez de quien comenta una verdad irrefutable. Podría ser una metáfora, o una broma; sin embargo, a juzgar por el modo en que ese hombre, sentado en el banco en frente de ella, se ha puesto a llorar, resulta lógico suponer delirio senil.
Portrait de femme avec famille
— Je peux voler, déclare la vieille femme avec la placidité de qui énonce une vérité irréfutable. Ce pourrait être une métaphore ou une plaisanterie ; en fait, à en juger par la manière dont l'homme assis sur le banc en face d'elle s'est mis à pleurer, il est logique de présumer qu'il s'agit de démence sénile.
OK.
Elena ?
Portrait de femme avec famille
— Je peux voler, déclare la vieille femme avec la placidité de qui énonce une vérité irréfutable. Ce pourrait être une métaphore ou une plaisanterie ; en fait, à en juger par la manière dont l'homme assis sur le banc en face d'elle s'est mis à pleurer, il est logique de présumer qu'il s'agit de démence sénile.
OK.
Vous pouvez continuer.
Un joven, que hasta el momento anterior compartía banco con el hombre, se para, se inclina, y recuesta su peso tomándose de los apoyabrazos de la silla de ruedas de la anciana.
—Ya nos habíamos dado cuenta, abuela — afirma, mirándola con ternura.
El hombre seca sus lágrimas, menea la cabeza, esboza una sonrisa.
Un jeune homme, qui jusque-là partageait le banc avec l'homme, se lève, se penche, et s'appuie de tout son poids sur les accoudoirs du fauteuil roulant de la vieille dame.
— On s'en était déjà rendu compte, mamie ! affirme-t-il en la regardant avec tendresse.
L'homme sèche ses larmes, hoche la tête, esquisse un sourire.
Un joven, que hasta el momento anterior compartía banco con el hombre, se para, se inclina, y recuesta su peso tomándose de los apoyabrazos de la silla de ruedas de la anciana.
—Ya nos habíamos dado cuenta, abuela — afirma, mirándola con ternura.
El hombre seca sus lágrimas, menea la cabeza, esboza una sonrisa.
Un jeune homme, qui jusque-là partageait le banc avec l'homme, se lève, se penche, et s'appuie de tout son poids sur les accoudoirs du fauteuil roulant de la vieille dame.
— On s'en était déjà rendu compte, mamie [bof] ! affirme-t-il en la regardant avec tendresse.
L'homme sèche ses larmes, hoche la tête, esquisse un sourire.
Un joven, que hasta el momento anterior compartía banco con el hombre, se para, se inclina, y recuesta su peso tomándose de los apoyabrazos de la silla de ruedas de la anciana.
—Ya nos habíamos dado cuenta, abuela — afirma, mirándola con ternura.
El hombre seca sus lágrimas, menea la cabeza, esboza una sonrisa.
Un jeune homme, qui jusque-là partageait le banc avec l'homme, se lève, se penche, et s'appuie de tout son poids sur les accoudoirs du fauteuil roulant de la vieille dame.
— On s'en était déjà rendu compte, grand-mère ! affirme-t-il en la regardant avec tendresse.
L'homme sèche ses larmes, hoche la tête, esquisse un sourire.
Un joven, que hasta el momento anterior compartía banco con el hombre, se para, se inclina, y recuesta su peso tomándose de los apoyabrazos de la silla de ruedas de la anciana.
—Ya nos habíamos dado cuenta, abuela — afirma, mirándola con ternura.
El hombre seca sus lágrimas, menea la cabeza, esboza una sonrisa.
Un jeune homme, qui jusque-là partageait le banc avec l'homme, se lève, se penche, et s'appuie de tout son poids sur les accoudoirs du fauteuil roulant de la vieille dame.
— On s'en était déjà rendu compte, grand-mère ! affirme-t-il en la regardant avec tendresse.
L'homme sèche ses larmes, hoche la tête, esquisse un sourire.
OK.
Elena ?
OK.
Vous pouvez boucler.
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Entre leurs trois visages, poussées par le vent, volent les feuilles fuchsias qui se détachent de la plus ancienne Sainte Rita de la place.
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Entre leurs trois visages, poussées par le vent, volent les feuilles fuchsias qui se détachent de la plus ancienne Sainte Rita de la place.
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Entre leurs trois visages, poussées par le vent, volent les feuilles fuchsias qui se détachent de la plus ancienne Sainte Rita de la place.
Pb de syntaxe, je pense.
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent de la plus ancienne Sainte Rita de la place volent entre leurs trois visages.
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent de la plus ancienne Sainte Rita de la place volent entre [?] leurs trois visages.
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent de la plus ancienne Sainte Rita de la place volent au milieu de leurs trois visages.
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent de la plus ancienne Sainte Rita de la place volent au milieu de leurs trois visages.
OK.
Elena ?
OK aussi, mais est-ce qu'on comprend que les Santa Rita, c'est des bougainvillées ?
Non.
Merci, Elena !
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent de la plus ancienne bougainvillée de la place volent au milieu de leurs trois visages.
Entre los tres rostros, impulsadas por el viento, vuelan, ellas sí, las hojas fucsias que se desprenden de la Santa Rita más longeva de la plaza.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent de la plus ancienne [féminin ?] bougainvillée de la place volent au milieu de leurs trois visages.
Oui, deux orthographes acceptées « bougainvillée » au féminin ou « bougainvilliers » au masculin.
OK. 😉
Non, mais mets-le au masculin + et la majuscule – nécessaire ?
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent du plus ancien Bougainvilliers de la place volent au milieu de leurs trois visages.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent du plus ancien Bougainvilliers de la place volent au milieu de leurs trois visages.
Pourquoi il y a la maj en esp. ? Elena ?
C'est juste parce que ça fait référence à une "santa", sinon pas de majuscules pour les plantes.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent du plus ancien bougainvilliers de la place volent au milieu de leurs trois visages.
Poussées par le vent, les feuilles fuchsias qui se détachent du plus ancien bougainvilliers de la place volent au milieu de leurs trois visages.
OK.
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