Retrato de mujer con dragón
Según dicen, fue él quien destruyó los cultivos. Ella cree lo que dicen y estima, por lo tanto, que urge detenerlo. Se protege con una cota de malla que alguien le acerca y toma la lanza que perteneciera a su padre. Lo encuentra solo, vistiendo harapos, rodeado por la ceniza que su locura incendiaria ha provocado (siglos después, el pintor evocará la escena retratando a una guerrera que, lanza en ristre, observa a un dragón como si con su sola presencia pudiese dominarlo; los versos del poeta, en cambio, hablarán de sus dudas, de su íntimo deseo de haber perdido la huella o disuadir por la palabra). Parece haber adelgazado en los últimos meses y la mira con aquella vieja furia de él, tan vieja que olvidó su origen. Con furia y, justo es reconocerlo, con el mismo amor de siempre.
La ponzoña del desconsuelo apura la mano.
Por unos momentos él permanece de pie, dos lagos quietos los ojos, sin darse cuenta que ha muerto. Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Sol y lluvias mediante, el pueblo siembra y cosecha el algodón con el cual comenzará a bordarse la leyenda.
Según dicen, fue él quien destruyó los cultivos. Ella cree lo que dicen y estima, por lo tanto, que urge detenerlo. Se protege con una cota de malla que alguien le acerca y toma la lanza que perteneciera a su padre. Lo encuentra solo, vistiendo harapos, rodeado por la ceniza que su locura incendiaria ha provocado (siglos después, el pintor evocará la escena retratando a una guerrera que, lanza en ristre, observa a un dragón como si con su sola presencia pudiese dominarlo; los versos del poeta, en cambio, hablarán de sus dudas, de su íntimo deseo de haber perdido la huella o disuadir por la palabra). Parece haber adelgazado en los últimos meses y la mira con aquella vieja furia de él, tan vieja que olvidó su origen. Con furia y, justo es reconocerlo, con el mismo amor de siempre.
La ponzoña del desconsuelo apura la mano.
Por unos momentos él permanece de pie, dos lagos quietos los ojos, sin darse cuenta que ha muerto. Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Sol y lluvias mediante, el pueblo siembra y cosecha el algodón con el cual comenzará a bordarse la leyenda.
Traduction temporaire :
Portrait de femme avec dragon
À ce qu'on dit, c'est lui qui a ravagé les cultures. Elle croit ce qu'on dit et estime donc qu'il est urgent de l'arrêter. Elle se protège avec une cotte de mailles que quelqu'un lui tend et prend la lance ayant appartenu à son père. Elle l'aperçoit, seul, en haillons, entouré par les cendres provoquées par sa folie incendiaire (des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant sa lance en arrêt, observe un dragon comme si par sa seule présence, elle avait pu le dominer ; les vers du poète, en revanche, parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.) Au cours des derniers mois, il semble avoir maigri et la regarde avec cette vieille colère au fond de lui, si vieille qu'il en a oublié l'origine. Avec colère, mais, il faut aussi le reconnaître, avec l'amour qu'il a toujours éprouvé.
Le poison du chagrin pousse la main à agir.
Il reste debout quelques instants, deux lacs paisibles à la place des yeux, sans se rendre compte qu'il est mort.Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et par la suite, quelque chose a dû se produire, quelque chose de semblable à un bateau qui coule, parce qu'elle a l'impression de faire naufrage à l'intérieur d'elle-même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier flottant à la dérive.
Grâce au soleil et aux pluies, le peuple plante et récolte le coton qui servira à broder la légende.
Portrait de femme avec dragon
À ce qu'on dit, c'est lui qui a ravagé les cultures. Elle croit ce qu'on dit et estime donc qu'il est urgent de l'arrêter. Elle se protège avec une cotte de mailles que quelqu'un lui tend et prend la lance ayant appartenu à son père. Elle l'aperçoit, seul, en haillons, entouré par les cendres provoquées par sa folie incendiaire (des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant sa lance en arrêt, observe un dragon comme si par sa seule présence, elle avait pu le dominer ; les vers du poète, en revanche, parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.) Au cours des derniers mois, il semble avoir maigri et la regarde avec cette vieille colère au fond de lui, si vieille qu'il en a oublié l'origine. Avec colère, mais, il faut aussi le reconnaître, avec l'amour qu'il a toujours éprouvé.
Le poison du chagrin pousse la main à agir.
Il reste debout quelques instants, deux lacs paisibles à la place des yeux, sans se rendre compte qu'il est mort.Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et par la suite, quelque chose a dû se produire, quelque chose de semblable à un bateau qui coule, parce qu'elle a l'impression de faire naufrage à l'intérieur d'elle-même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier flottant à la dérive.
Grâce au soleil et aux pluies, le peuple plante et récolte le coton qui servira à broder la légende.
44 commentaires:
Retrato de mujer con dragón
Según dicen, fue él quien destruyó los cultivos. Ella cree lo que dicen y estima, por lo tanto, que urge detenerlo. Se protege con una cota de malla que alguien le acerca y toma la lanza que perteneciera a su padre.
Portrait de femme avec dragon
D'après les rumeurs, c'est lui qui a ravagé les cultures. Elle y croit et, par conséquent, estime qu'il est urgent de l'arrêter. Elle se protège avec une cotte de mailles que quelqu'un lui apporte et prend la lance ayant appartenu à son père.
Según dicen, fue él quien destruyó los cultivos. Ella cree lo que dicen y estima, por lo tanto, que urge detenerlo. Se protege con una cota de malla que alguien le acerca y toma la lanza que perteneciera a su padre.
Portrait de femme avec dragon
D'après les rumeurs [« À ce qu'on dit » ?], c'est lui qui a ravagé les cultures. Elle y croit [je pense que la répétition est volontaire] et, par conséquent [avec un simple « donc » placé après et sans virgules…], estime qu'il est urgent de l'arrêter. Elle se protège avec une cotte de mailles que quelqu'un lui apporte [FS ?] et prend la lance ayant appartenu à son père.
egún dicen, fue él quien destruyó los cultivos. Ella cree lo que dicen y estima, por lo tanto, que urge detenerlo. Se protege con una cota de malla que alguien le acerca y toma la lanza que perteneciera a su padre.
Portrait de femme avec dragon
À ce qu'on dit, c'est lui qui a ravagé les cultures. Elle croit ce qu'on dit et estime donc qu'il est urgent de l'arrêter. Elle se protège avec une cotte de mailles que quelqu'un lui tend et prend la lance ayant appartenu à son père.
egún dicen, fue él quien destruyó los cultivos. Ella cree lo que dicen y estima, por lo tanto, que urge detenerlo. Se protege con una cota de malla que alguien le acerca y toma la lanza que perteneciera a su padre.
Portrait de femme avec dragon
À ce qu'on dit, c'est lui qui a ravagé les cultures. Elle croit ce qu'on dit et estime donc qu'il est urgent de l'arrêter. Elle se protège avec une cotte de mailles que quelqu'un lui tend et prend la lance ayant appartenu à son père.
OK.
Elena ?
OK.
Vous pouvez continuer.
Lo encuentra solo, vistiendo harapos, rodeado por la ceniza que su locura incendiaria ha provocado (siglos después, el pintor evocará la escena retratando a una guerrera que, lanza en ristre, observa a un dragón como si con su sola presencia pudiese dominarlo; los versos del poeta, en cambio, hablarán de sus dudas, de su íntimo deseo de haber perdido la huella o disuadir por la palabra)
Elle l'aperçoit [pour éviter « retrouver » / « trouver »], seul, en haillons, entouré des cendres provoquées par sa folie incendiaire. (Des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant sa lance en arrêt, observe un dragon comme si juste par sa présence, elle avait pu le dompter ; en revanche, les vers du poète parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.)
Elle l'aperçoit, seul, en haillons, entouré des [« par les » ? Vérifie] cendres provoquées par sa folie incendiaire. [pourquoi le point ?] (Des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant sa lance en arrêt, observe un dragon comme si juste par sa présence, elle avait pu le dompter ; en revanche, les vers du poète parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.)
Elle l'aperçoit, seul, en haillons, entouré par les cendres provoquées par sa folie incendiaire, (des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant sa lance en arrêt, observe un dragon comme si juste par sa présence, elle avait pu le dompter ; en revanche, les vers du poète parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.)
Elle l'aperçoit, seul, en haillons, entouré par les cendres provoquées par sa folie incendiaire, [pourquoi la virgule ?]
(des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant sa lance en arrêt, observe un dragon comme si juste par sa présence, elle avait pu le dompter ; en revanche, les vers du poète parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.)
Elle l'aperçoit, seul, en haillons, entouré par les cendres provoquées par sa folie incendiaire (des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant sa lance en arrêt, observe un dragon comme si juste par sa présence, elle avait pu le dompter ; en revanche, les vers du poète parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.)
Elle l'aperçoit, seul, en haillons, entouré par les cendres provoquées par sa folie incendiaire (des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant [nécessaire ?] sa lance en arrêt [? Ça se dit ?], observe un dragon comme si juste par sa présence [« sa seule présence » ?], elle avait pu le dompter [j'hésite] ; en revanche [après], les vers du poète parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.)
L'expression française est « tenir sa lance en arrêt »
Elle l'aperçoit, seul, en haillons, entouré par les cendres provoquées par sa folie incendiaire (des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant sa lance en arrêt, observe un dragon comme si par sa seule présence, elle avait pu le dominer ; les vers du poète, en revanche, parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.)
Elle l'aperçoit, seul, en haillons, entouré par les cendres provoquées par sa folie incendiaire (des siècles plus tard, le peintre évoquera la scène en faisant le portrait d'une guerrière, qui, tenant sa lance en arrêt, observe un dragon comme si par sa seule présence, elle avait pu le dominer ; les vers du poète, en revanche, parleront de ses doutes, de son profond désir d'avoir perdu sa trace ou de trouver les mots pour le dissuader.)
OK.
Elena ?
OK.
Vous pouvez continuer.
Parece haber adelgazado en los últimos meses y la mira con aquella vieja furia de él, tan vieja que olvidó su origen. Con furia y, justo es reconocerlo, con el mismo amor de siempre.
La ponzoña del desconsuelo apura la mano.
Por unos momentos él permanece de pie, dos lagos quietos los ojos, sin darse cuenta que ha muerto.
Il semble avoir maigri au cours des derniers mois et la regarde avec cette vieille colère qui lui appartient, si vieille qu'il en a oublié l'origine. Avec colère, mais aussi, il faut le reconnaître, avec l'amour qu'il a toujours éprouvé pour elle.
Le poison de la peine pousse la main à agir.
Pendant quelques instants, il reste debout, deux lacs paisibles à la place des yeux, sans se rendre compte qu'il est mort.
Parece haber adelgazado en los últimos meses y la mira con aquella vieja furia de él, tan vieja que olvidó su origen. Con furia y, justo es reconocerlo, con el mismo amor de siempre.
Il semble avoir maigri au cours des derniers mois [ou ça au début ? Essaie et vois ce qui est mieux] et la regarde avec cette vieille colère qui lui appartient [bof], si vieille qu'il en a oublié l'origine. Avec colère, mais aussi, il faut le reconnaître, avec l'amour qu'il a toujours éprouvé pour elle [nécessaire ?].
Parece haber adelgazado en los últimos meses y la mira con aquella vieja furia de él, tan vieja que olvidó su origen. Con furia y, justo es reconocerlo, con el mismo amor de siempre.
Au cours des derniers mois, il semble avoir maigri et la regarde avec cette vieille colère au fond de lui, si vieille qu'il en a oublié l'origine. Avec colère, mais, il faut aussi le reconnaître, avec l'amour qu'il a toujours éprouvé.
Parece haber adelgazado en los últimos meses y la mira con aquella vieja furia de él, tan vieja que olvidó su origen. Con furia y, justo es reconocerlo, con el mismo amor de siempre.
Au cours des derniers mois, il semble avoir maigri et la regarde avec cette vieille colère au fond de lui, si vieille qu'il en a oublié l'origine. Avec colère, mais, il faut aussi le reconnaître, avec l'amour qu'il a toujours éprouvé.
OK.
Elena ?
OK.
La ponzoña del desconsuelo apura la mano.
Por unos momentos él permanece de pie, dos lagos quietos los ojos, sin darse cuenta que ha muerto.
Le poison de la peine pousse la main à agir.
Pendant quelques instants, il reste debout, deux lacs paisibles à la place des yeux, sans se rendre compte qu'il est mort.
La ponzoña del desconsuelo apura la mano.
Por unos momentos él permanece de pie, dos lagos quietos los ojos, sin darse cuenta que ha muerto.
Le poison de la peine [pas plus clair avec « chagrin » ?] pousse la main à agir.
Pendant [nécessaire ?] quelques instants, il reste debout, deux lacs paisibles à la place des yeux, sans se rendre compte qu'il est mort.
La ponzoña del desconsuelo apura la mano.
Por unos momentos él permanece de pie, dos lagos quietos los ojos, sin darse cuenta que ha muerto.
Le poison du chagrin pousse la main à agir.
Il reste debout quelques instants, deux lacs paisibles à la place des yeux, sans se rendre compte qu'il est mort.
La ponzoña del desconsuelo apura la mano.
Por unos momentos él permanece de pie, dos lagos quietos los ojos, sin darse cuenta que ha muerto.
Le poison du chagrin pousse la main à agir.
Il reste debout quelques instants, deux lacs paisibles à la place des yeux, sans se rendre compte qu'il est mort.
OK.
Elena ?
OK.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et quelque chose à propos d'un bateau qui coule arrive donc, parce qu'elle sent qu'elle fait naufrage en son for intérieur et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, flottant à la dérive.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et quelque chose à propos d'un bateau [Elena, ton interprétation sur ce bout-là ?]
qui coule arrive donc, parce qu'elle sent qu'elle fait naufrage en son for intérieur et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, flottant à la dérive.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et quelque chose à propos d'un bateau [Elena, ton interprétation sur ce bout-là ? // "et quelque chose de semblable à un bateau qui coule se produit par la suite"]
qui coule arrive donc, parce qu'elle sent qu'elle fait naufrage en son for intérieur et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, flottant à la dérive.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et quelque chose à propos d'un bateau [Elena, ton interprétation sur ce bout-là ? // "et quelque chose de semblable à un bateau qui coule se produit par la suite" / Ok pour le sens, mais ça manque de fluidité]
qui coule arrive donc, parce qu'elle sent qu'elle fait naufrage en son for intérieur et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, flottant à la dérive.
Je tente une proposition :
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et par la suite, quelque chose de semblable à un bateau qui coule a dû se produire, car elle ressent qu'elle fait naufrage à l'intérieur d'elle même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, flottant à la dérive.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et, ensuite, elle a l'impression d'un bateau qui coule, parce qu'elle sent qu'elle fait naufrage à l'intérieur d'elle-même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, flottant à la dérive.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et par la suite, quelque chose a dû se produire, quelque chose de semblable à un bateau qui coule
?
car elle ressent qu'elle fait naufrage à l'intérieur d'elle même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, flottant à la dérive.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et, ensuite, elle a l'impression d'un bateau qui coule, parce qu'elle sent qu'elle fait naufrage à l'intérieur d'elle-même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, flottant à la dérive.
Justine, as-tu vu ce que je propose ?
Pardon, je n'avais pas vu. OK pour le début de la phrase que tu proposes, Caroline. Merci !
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et par la suite, quelque chose a dû se produire, quelque chose de semblable à un bateau qui coule, parce qu'elle sent qu'elle fait naufrage à l'intérieur d'elle-même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, flottant à la dérive.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et par la suite, quelque chose a dû se produire, quelque chose de semblable à un bateau qui coule, parce qu'elle sent qu'elle fait naufrage [« a l'impression de faire naufrage » ? ou même « naufrager » ?] à l'intérieur d'elle-même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier, [pas ma virgule] flottant à la dérive.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et par la suite, quelque chose a dû se produire, quelque chose de semblable à un bateau qui coule, parce qu'elle a l'impression de faire naufrage à l'intérieur d'elle-même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier flottant à la dérive.
Algo habrá leído ella en el espejo de esos ojos y algo de barco que se hunde ocurre luego porque siente que naufraga dentro de sí misma y el cuerpo del hombre, sobre la tierra calcinada, se diría un madero flotando a la deriva.
Elle a sûrement lu quelque chose dans le miroir de ces yeux-là, et par la suite, quelque chose a dû se produire, quelque chose de semblable à un bateau qui coule, parce qu'elle a l'impression de faire naufrage à l'intérieur d'elle-même et, sur la terre calcinée, le corps de l'homme ressemble à un madrier flottant à la dérive.
OK.
Elena ?
OUI.
Vous pouvez terminer.
Sol y lluvias mediante, el pueblo siembra y cosecha el algodón con el cual comenzará a bordarse la leyenda.
Grâce au soleil et aux pluies, le peuple plante et récolte le coton qui servira à broder la légende.
Sol y lluvias mediante, el pueblo siembra y cosecha el algodón con el cual comenzará a bordarse la leyenda.
Grâce au soleil et aux pluies, le peuple plante et récolte le coton qui servira à broder la légende.
OK.
Elena ?
OK.
Enregistrer un commentaire