Ídolos de plata
Está bajo el sol de la tarde, pisando con sus zapatos gastados la misma arena que en otras épocas estuvo bajo treinta metros de agua. Enciende un cigarrillo y trata de concentrar la mirada en ese círculo de llamas pequeño para no ver el otro, el que brilla enorme en el cielo, el que lo sofoca de calor y le hace doler la cabeza y ya lo tiene harto. Maldice el lago que no está, el arroyo al que ha quedado reducido, la sequía.
De pronto una sombra lo cubre. Observa por encima de su hombro y ve que a sus espaldas, en absoluto silencio, acaba de encallar un barco de vela, muy antiguo, sin tripulantes.
Siente que su corazón se desplaza generando otros corazones que laten en las sienes, en la garganta, en las piernas. Siente que el corazón de las piernas le está fallando, teme caer sobre la arena ardiente. Desesperado por encontrar un punto de apoyo gira, recuesta la frente sobre el cuerpo del barco que huele a sal. El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
—¿Por qué no estudia? —Porque el mar está lejos, es de otra gente.
El barco trae a su memoria desavenencias que había olvidado. Retrocede algunos pasos y lo mira como se mira a un ser peligroso. Reconoce que sus líneas tienen belleza, pero es una belleza agresiva que lo descoloca, y logra que ahora él se adivine más feo que hace un rato cuando el intruso no estaba; logra que se sepa más imbécil. Continúa mirándolo fijo; quizá se trate de un galeón español, quizá aún conserve su carga de ídolos de plata robados.
Un hilo de baba se escurre por sus labios, agua salada que apenas toca el suelo, desaparece.
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Está bajo el sol de la tarde, pisando con sus zapatos gastados la misma arena que en otras épocas estuvo bajo treinta metros de agua. Enciende un cigarrillo y trata de concentrar la mirada en ese círculo de llamas pequeño para no ver el otro, el que brilla enorme en el cielo, el que lo sofoca de calor y le hace doler la cabeza y ya lo tiene harto. Maldice el lago que no está, el arroyo al que ha quedado reducido, la sequía.
De pronto una sombra lo cubre. Observa por encima de su hombro y ve que a sus espaldas, en absoluto silencio, acaba de encallar un barco de vela, muy antiguo, sin tripulantes.
Siente que su corazón se desplaza generando otros corazones que laten en las sienes, en la garganta, en las piernas. Siente que el corazón de las piernas le está fallando, teme caer sobre la arena ardiente. Desesperado por encontrar un punto de apoyo gira, recuesta la frente sobre el cuerpo del barco que huele a sal. El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
—¿Por qué no estudia? —Porque el mar está lejos, es de otra gente.
El barco trae a su memoria desavenencias que había olvidado. Retrocede algunos pasos y lo mira como se mira a un ser peligroso. Reconoce que sus líneas tienen belleza, pero es una belleza agresiva que lo descoloca, y logra que ahora él se adivine más feo que hace un rato cuando el intruso no estaba; logra que se sepa más imbécil. Continúa mirándolo fijo; quizá se trate de un galeón español, quizá aún conserve su carga de ídolos de plata robados.
Un hilo de baba se escurre por sus labios, agua salada que apenas toca el suelo, desaparece.
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Traduction temporaire :
Idoles d'argent
Sous le soleil de l'après-midi, il foule avec ses chaussures usées le sable qui, jadis, se retrouvait enfoui sous trente mètres d'eau. Il allume une cigarette et tente de focaliser son regard sur ce petit cercle de flammes pour ne pas voir l'autre, immense, qui brille dans le ciel, le fait suffoquer de chaleur, lui donne mal à la tête et qu'il ne supporte plus. Il maudit le lac, qui n'est plus qu'un ruisseau à cause de la sécheresse.
Aussitôt, une ombre le recouvre. Il regarde par-dessus son épaule et voit que, derrière lui, un très vieux bateau à voile sans équipage vient de s'échouer, dans un silence absolu.
Il sent que son cœur se déplace donnant naissance à d'autres cœurs qui lui battent dans les tempes, dans la gorge. Il sent le cœur de ses jambes défaillir. Il a peur de tomber sur le sable brûlant. Cherchant désespérément un point d'appui, il se retourne, pose son front sur la coque du bateau qui sent le sel. L'odeur le rend malade, l'offense, parce que c'est celle de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. Lui non plus, d'ailleurs. Il s'en moque. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, obsédé, évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones responsables du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
— Pourquoi n'étudiez-vous pas ?
— Parce que la mer est loin, appartient à d'autres gens.
Le bateau lui remet en mémoire des disputes qu'il avait oubliées. Il recule de quelques pas et le regarde comme on regarde un individu dangereux. Il reconnait que ses lignes sont belles, mais d'une beauté agressive qui le désarçonne et parvient à le faire se sentir plus laid qu'auparavant, quand l'intrus n'était pas là ; à se croire encore plus imbécile. Il continue de le regarder fixement. Peut-être s'agit-il d'un galion espagnol. Peut-être sa cargaison d'idoles d'argent volées est-elle toujours à bord.
Un filet de bave glisse de ses lèvres, de l'eau salée qui disparaît juste après avoir touché le sol.
— Si un animal ordinaire affrontait le fantôme d'un animal splendide, qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
Du centre de son ventre, où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur les voiles du fantôme.
Idoles d'argent
Sous le soleil de l'après-midi, il foule avec ses chaussures usées le sable qui, jadis, se retrouvait enfoui sous trente mètres d'eau. Il allume une cigarette et tente de focaliser son regard sur ce petit cercle de flammes pour ne pas voir l'autre, immense, qui brille dans le ciel, le fait suffoquer de chaleur, lui donne mal à la tête et qu'il ne supporte plus. Il maudit le lac, qui n'est plus qu'un ruisseau à cause de la sécheresse.
Aussitôt, une ombre le recouvre. Il regarde par-dessus son épaule et voit que, derrière lui, un très vieux bateau à voile sans équipage vient de s'échouer, dans un silence absolu.
Il sent que son cœur se déplace donnant naissance à d'autres cœurs qui lui battent dans les tempes, dans la gorge. Il sent le cœur de ses jambes défaillir. Il a peur de tomber sur le sable brûlant. Cherchant désespérément un point d'appui, il se retourne, pose son front sur la coque du bateau qui sent le sel. L'odeur le rend malade, l'offense, parce que c'est celle de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. Lui non plus, d'ailleurs. Il s'en moque. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, obsédé, évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones responsables du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
— Pourquoi n'étudiez-vous pas ?
— Parce que la mer est loin, appartient à d'autres gens.
Le bateau lui remet en mémoire des disputes qu'il avait oubliées. Il recule de quelques pas et le regarde comme on regarde un individu dangereux. Il reconnait que ses lignes sont belles, mais d'une beauté agressive qui le désarçonne et parvient à le faire se sentir plus laid qu'auparavant, quand l'intrus n'était pas là ; à se croire encore plus imbécile. Il continue de le regarder fixement. Peut-être s'agit-il d'un galion espagnol. Peut-être sa cargaison d'idoles d'argent volées est-elle toujours à bord.
Un filet de bave glisse de ses lèvres, de l'eau salée qui disparaît juste après avoir touché le sol.
— Si un animal ordinaire affrontait le fantôme d'un animal splendide, qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
Du centre de son ventre, où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur les voiles du fantôme.
73 commentaires:
Ídolos de plata
Está bajo el sol de la tarde, pisando con sus zapatos gastados la misma arena que en otras épocas estuvo bajo treinta metros de agua. Enciende un cigarrillo y trata de concentrar la mirada en ese círculo de llamas pequeño para no ver el otro, el que brilla enorme en el cielo, el que lo sofoca de calor y le hace doler la cabeza y ya lo tiene harto. Maldice el lago que no está, el arroyo al que ha quedado reducido, la sequía.
Idoles d'argent
Sous le soleil de l'après-midi, il foule avec ses chaussures usées le même sable qui en d'autres temps se retrouva enfoui sous trente mètres d'eau. Il allume une cigarette et tente de focaliser son regard sur ce petit cercle de flammes pour ne pas voir l'autre, l'immense qui brille dans le ciel, qui le fait suffoquer de chaleur, lui donne mal à la tête et qu'il ne supporte plus. Il maudit le lac qui n'est plus qu'un ruisseau à cause de la sécheresse.
Idoles d'argent
Sous le soleil de l'après-midi, il foule avec ses chaussures usées le même [nécessaire ?] sable qui en d'autres temps [ou juste avec « jadis » ?] se retrouva [pour le coup, j'hésite sur le passé simple] enfoui sous trente mètres d'eau.
Idoles d'argent
Sous le soleil de l'après-midi, il foule avec ses chaussures usées le sable qui, jadis, s'était retrouvé enfoui sous trente mètres d'eau.
Idoles d'argent
Sous le soleil de l'après-midi, il foule avec ses chaussures usées le sable qui, jadis, s'était retrouvé [un imparfait ?] enfoui sous trente mètres d'eau.
Idoles d'argent
Sous le soleil de l'après-midi, il foule avec ses chaussures usées le sable qui, jadis, se retrouvait enfoui sous trente mètres d'eau.
Idoles d'argent
Sous le soleil de l'après-midi, il foule avec ses chaussures usées le sable qui, jadis, se retrouvait enfoui sous trente mètres d'eau.
OK.
Elena ?
Vous pouvez continuer.
Enciende un cigarrillo y trata de concentrar la mirada en ese círculo de llamas pequeño para no ver el otro, el que brilla enorme en el cielo, el que lo sofoca de calor y le hace doler la cabeza y ya lo tiene harto.
Il allume une cigarette et tente de focaliser son regard sur ce petit cercle de flammes pour ne pas voir l'autre, l'immense qui brille dans le ciel, qui le fait suffoquer de chaleur, lui donne mal à la tête et qu'il ne supporte plus.
Enciende un cigarrillo y trata de concentrar la mirada en ese círculo de llamas pequeño para no ver el otro, el que brilla enorme en el cielo, el que lo sofoca de calor y le hace doler la cabeza y ya lo tiene harto.
Il allume une cigarette et tente de focaliser son regard sur ce petit cercle de flammes pour ne pas voir l'autre, l'immense, celui qui brille dans le ciel, le fait suffoquer de chaleur, lui donne mal à la tête et l'accable.
Maldice el lago que no está, el arroyo al que ha quedado reducido, la sequía.
Il maudit le lac qui n'est plus qu'un ruisseau à cause de la sécheresse.
Enciende un cigarrillo y trata de concentrar la mirada en ese círculo de llamas pequeño para no ver el otro, el que brilla enorme en el cielo, el que lo sofoca de calor y le hace doler la cabeza y ya lo tiene harto.
Il allume une cigarette et tente de focaliser son regard sur ce petit cercle de flammes pour ne pas voir l'autre, l'[supprime]immense [virgule] qui brille dans le ciel, qui [nécessaire ?] le fait suffoquer de chaleur, lui donne mal à la tête et qu'il ne supporte plus.
Enciende un cigarrillo y trata de concentrar la mirada en ese círculo de llamas pequeño para no ver el otro, el que brilla enorme en el cielo, el que lo sofoca de calor y le hace doler la cabeza y ya lo tiene harto.
Il allume une cigarette et tente de focaliser son regard sur ce petit cercle de flammes pour ne pas voir l'autre, immense, qui brille dans le ciel, le fait suffoquer de chaleur, lui donne mal à la tête et qu'il ne supporte plus.
Enciende un cigarrillo y trata de concentrar la mirada en ese círculo de llamas pequeño para no ver el otro, el que brilla enorme en el cielo, el que lo sofoca de calor y le hace doler la cabeza y ya lo tiene harto.
Il allume une cigarette et tente de focaliser son regard sur ce petit cercle de flammes pour ne pas voir l'autre, immense, qui brille dans le ciel, le fait suffoquer de chaleur, lui donne mal à la tête et qu'il ne supporte plus.
OK.
Elena ?
OK.
Vous pouvez continuer.
Maldice el lago que no está, el arroyo al que ha quedado reducido, la sequía.
De pronto una sombra lo cubre. Observa por encima de su hombro y ve que a sus espaldas, en absoluto silencio, acaba de encallar un barco de vela, muy antiguo, sin tripulantes.
Il maudit le lac qui n'est plus qu'un ruisseau à cause de la sécheresse.
Aussitôt, une ombre le recouvre. Il regarde par-dessus son épaule et voit que, dans son dos, un très vieux bateau à voile sans équipage vient d'échouer, dans un silence absolu.
Maldice el lago que no está, el arroyo al que ha quedado reducido, la sequía.
De pronto una sombra lo cubre. Observa por encima de su hombro y ve que a sus espaldas, en absoluto silencio, acaba de encallar un barco de vela, muy antiguo, sin tripulantes.
Il maudit le lac [virgule] qui n'est plus qu'un ruisseau à cause de la sécheresse.
Aussitôt, une ombre le recouvre. Il regarde par-dessus son épaule et voit que, dans son dos, un très vieux bateau à voile sans équipage vient d'échouer [« de s'échouer » ? Vérifie], dans [pas génial, les deux « dans » ; une solution ?] un silence absolu.
Maldice el lago que no está, el arroyo al que ha quedado reducido, la sequía.
De pronto una sombra lo cubre. Observa por encima de su hombro y ve que a sus espaldas, en absoluto silencio, acaba de encallar un barco de vela, muy antiguo, sin tripulantes.
Il maudit le lac, qui n'est plus qu'un ruisseau à cause de la sécheresse.
Aussitôt, une ombre le recouvre. Il regarde par-dessus son épaule et voit que, derrière lui, un très vieux bateau à voile sans équipage vient de s'échouer, dans un silence absolu.
Maldice el lago que no está, el arroyo al que ha quedado reducido, la sequía.
De pronto una sombra lo cubre. Observa por encima de su hombro y ve que a sus espaldas, en absoluto silencio, acaba de encallar un barco de vela, muy antiguo, sin tripulantes.
Il maudit le lac, qui n'est plus qu'un ruisseau à cause de la sécheresse.
Aussitôt, une ombre le recouvre. Il regarde par-dessus son épaule et voit que, derrière lui, un très vieux bateau à voile sans équipage vient de s'échouer, dans un silence absolu.
OK.
Elena ?
Vous pouvez continuer.
Siente que su corazón se desplaza generando otros corazones que laten en las sienes, en la garganta, en las piernas. Siente que el corazón de las piernas le está fallando, teme caer sobre la arena ardiente. Desesperado por encontrar un punto de apoyo gira, recuesta la frente sobre el cuerpo del barco que huele a sal.
Il sent que son cœur se déplace donnant naissance à d'autres cœurs qui battent dans ses tempes, dans sa gorge. Il sent que le cœur de ses jambes est en train de défaillir. Il a peur de tomber sur le sable ardent. Impatient de trouver un point d'appui, il se retourne, pose son front sur la coque du bateau qui sent le sel.
Siente que su corazón se desplaza generando otros corazones que laten en las sienes, en la garganta, en las piernas. Siente que el corazón de las piernas le está fallando, teme caer sobre la arena ardiente. Desesperado por encontrar un punto de apoyo gira, recuesta la frente sobre el cuerpo del barco que huele a sal.
Il sent que son cœur se déplace donnant naissance à [ou : « engendrant » ? Comme vous préférez] d'autres cœurs qui battent dans ses tempes, dans sa gorge [ou : « qui lui battent dans les… » ? J'hésite. Voyez ce qui est mieux]. Il sent que [nécessaire de passer par un « qui » ?] le cœur de ses jambes est en train de défaillir. Il a peur de tomber sur le sable ardent [FS ?]. Impatient [texte ?] de trouver un point d'appui, il se retourne, pose son front sur la coque du bateau qui sent le sel.
Siente que su corazón se desplaza generando otros corazones que laten en las sienes, en la garganta, en las piernas. Siente que el corazón de las piernas le está fallando, teme caer sobre la arena ardiente. Desesperado por encontrar un punto de apoyo gira, recuesta la frente sobre el cuerpo del barco que huele a sal.
Il sent que son cœur se déplace donnant naissance à d'autres cœurs qui lui battent dans les tempes, dans la gorge. Il sent le cœur de ses jambes défaillir. Il a peur de tomber sur le sable brûlant. Cherchant désespérément un point d'appui, il se retourne, pose son front sur la coque du bateau qui sent le sel.
Siente que su corazón se desplaza generando otros corazones que laten en las sienes, en la garganta, en las piernas. Siente que el corazón de las piernas le está fallando, teme caer sobre la arena ardiente. Desesperado por encontrar un punto de apoyo gira, recuesta la frente sobre el cuerpo del barco que huele a sal.
Il sent que son cœur se déplace donnant naissance à d'autres cœurs qui lui battent dans les tempes, dans la gorge. Il sent le cœur de ses jambes défaillir. Il a peur de tomber sur le sable brûlant. Cherchant désespérément un point d'appui, il se retourne, pose son front sur la coque du bateau qui sent le sel.
OK.
Elena ?
OK.
El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
L'odeur l'irrite, l'offense, parce que c'est l'odeur de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. D'ailleurs, lui non plus. Il s'en fiche. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, maniaque, évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones, responsables du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
L'odeur l'irrite [pas plus fort en V.O. ?], l'offense, parce que c'est l'odeur [« celle » ?] de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. D'ailleurs [ou à la fin ? J'hésite. Essaie les deux et vois ce que tu en penses], lui non plus. Il s'en fiche [registre ?]. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, maniaque, [mal dit] évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones, responsables [du coup, qu'est-ce qui est responsable « les batailles » + « les cyclones » ou juste les « cyclones » ?] du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
L'odeur l'incommode, l'offense, parce que c'est celle de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. Lui non plus, d'ailleurs. Il s'en moque. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, tatillon, évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones responsables [du coup, qu'est-ce qui est responsable « les batailles » + « les cyclones » ou juste les « cyclones » ?/ je dirais les deux] du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
L'odeur l'incommode [pas plus fort ?], l'offense, parce que c'est celle de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. Lui non plus, d'ailleurs. Il s'en moque. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, tatillon [Elena ?], évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones responsables [du coup, qu'est-ce qui est responsable « les batailles » + « les cyclones » ou juste les « cyclones » ?/ je dirais les deux //// Elena ?] du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
L'odeur le rend malade, l'offense, parce que c'est celle de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. Lui non plus, d'ailleurs. Il s'en moque. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, obsédé, évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones responsables [du coup, qu'est-ce qui est responsable « les batailles » + « les cyclones » ou juste les « cyclones » ?/ je dirais les deux //// Elena ? ///// Juste les cyclones.] du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
OK. Justine, je te laisse faire le ménage pour me mettre une version propre.
El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
L'odeur le rend malade, l'offense, parce que c'est celle de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. Lui non plus, d'ailleurs. Il s'en moque. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, obsédé, évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones responsables du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
L'odeur le rend malade, l'offense, parce que c'est celle de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. Lui non plus, d'ailleurs. Il s'en moque. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, obsédé, évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones responsables du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
OK.
Elena ?
Elena a dit...
OK.
El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
L'odeur le rend malade, l'offense, parce que c'est celle de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. Lui non plus, d'ailleurs. Il s'en moque. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, obsédé, évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones responsables du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
El olor lo descompone, le ofende, porque es olor a mar, porque esa arena resquebrajada que está pisando con sus zapatos gastados jamás conoció el mar. Y él tampoco. Ni le importa. Recuerda que cuando aquel profesor maniático de historia hablaba de las grandes batallas marinas o de los ciclones que hacían naufragar las naves, él jamás atendió.
L'odeur le rend malade, l'offense, parce que c'est celle de la mer, parce que le sable craquelé qu'il est en train de fouler avec ses chaussures usées n'a jamais connu la mer. Lui non plus, d'ailleurs. Il s'en moque. Il se souvient que quand son professeur d'histoire, obsédé, évoquait les grandes batailles marines ou les cyclones responsables du naufrage des navires, il n'avait jamais été attentif.
OK.
J'enregistre et vous pouvez continuter.
—¿Por qué no estudia? —Porque el mar está lejos, es de otra gente.
El barco trae a su memoria desavenencias que había olvidado. Retrocede algunos pasos y lo mira como se mira a un ser peligroso.
— Pourquoi n'étudiez-vous pas ? — Parce que la mer est loin, elle appartient à d'autres gens.
Face au bateau, des disputes qu'il avait oublié lui reviennent en mémoire. Il recule de quelques pas et le regarde comme on regarde un individu dangereux.
—¿Por qué no estudia? —Porque el mar está lejos, es de otra gente.
El barco trae a su memoria desavenencias que había olvidado. Retrocede algunos pasos y lo mira como se mira a un ser peligroso.
— Pourquoi n'étudiez-vous pas ?
— Parce que la mer est loin, elle [nécessaire ?] appartient à d'autres gens.
Face au bateau, des disputes qu'il avait oublié lui reviennent en mémoire [texte]. Il recule de quelques pas et le regarde comme on regarde un individu dangereux.
—¿Por qué no estudia? —Porque el mar está lejos, es de otra gente.
El barco trae a su memoria desavenencias que había olvidado. Retrocede algunos pasos y lo mira como se mira a un ser peligroso.
— Pourquoi n'étudiez-vous pas ?
— Parce que la mer est loin, appartient à d'autres gens.
Le bateau rappelle à sa mémoire des disputes qu'il avait oubliées. Il recule de quelques pas et le regarde comme on regarde un individu dangereux.
—¿Por qué no estudia? —Porque el mar está lejos, es de otra gente.
El barco trae a su memoria desavenencias que había olvidado. Retrocede algunos pasos y lo mira como se mira a un ser peligroso.
— Pourquoi n'étudiez-vous pas ?
— Parce que la mer est loin, appartient à d'autres gens.
Le bateau rappelle à sa [« lui remet en » ?] mémoire des disputes qu'il avait oubliées. Il recule de quelques pas et le regarde comme on regarde un individu dangereux.
—¿Por qué no estudia? —Porque el mar está lejos, es de otra gente.
El barco trae a su memoria desavenencias que había olvidado. Retrocede algunos pasos y lo mira como se mira a un ser peligroso.
— Pourquoi n'étudiez-vous pas ?
— Parce que la mer est loin, appartient à d'autres gens.
Le bateau lui remet en mémoire des disputes qu'il avait oubliées. Il recule de quelques pas et le regarde comme on regarde un individu dangereux.
—¿Por qué no estudia? —Porque el mar está lejos, es de otra gente.
El barco trae a su memoria desavenencias que había olvidado. Retrocede algunos pasos y lo mira como se mira a un ser peligroso.
— Pourquoi n'étudiez-vous pas ?
— Parce que la mer est loin, appartient à d'autres gens.
Le bateau lui remet en mémoire des disputes qu'il avait oubliées. Il recule de quelques pas et le regarde comme on regarde un individu dangereux.
OK.
Elena ?
Elena a dit...
OK.
—¿Por qué no estudia? —Porque el mar está lejos, es de otra gente.
El barco trae a su memoria desavenencias que había olvidado. Retrocede algunos pasos y lo mira como se mira a un ser peligroso.
— Pourquoi n'étudiez-vous pas ?
— Parce que la mer est loin, appartient à d'autres gens.
Le bateau lui remet en mémoire des disputes qu'il avait oubliées. Il recule de quelques pas et le regarde comme on regarde un individu dangereux.
Vous pouvez continuer.
Reconoce que sus líneas tienen belleza, pero es una belleza agresiva que lo descoloca, y logra que ahora él se adivine más feo que hace un rato cuando el intruso no estaba; logra que se sepa más imbécil. Continúa mirándolo fijo; quizá se trate de un galeón español, quizá aún conserve su carga de ídolos de plata robados.
Il reconnait que ses lignes sont belles, mais d'une beauté agressive, qui le déconcerte et parvient à ce que, maintenant, il se devine plus laid qu'auparavant, quand l'intrus n'était pas là ; parvient à ce qu'il se sache plus imbécile. Il continue de le fixer du regard. Peut-être s'agit-il d'un galion espagnol. Peut-être sa cargaison d'idoles d'argent volées est-elle toujours conservée à bord.
Reconoce que sus líneas tienen belleza, pero es una belleza agresiva que lo descoloca, y logra que ahora él se adivine más feo que hace un rato cuando el intruso no estaba; logra que se sepa más imbécil.
Il reconnait que ses lignes sont belles, mais d'une beauté agressive, [la virgule ?] qui le déconcerte [pas plus fort en V.O. ? Elena ?] et parvient à ce que, maintenant, il se devine plus laid qu'auparavant [cette section est à reprendre], quand l'intrus n'était pas là ; parvient à ce qu'il se sache plus imbécile [idem].
Reconoce que sus líneas tienen belleza, pero es una belleza agresiva que lo descoloca, y logra que ahora él se adivine más feo que hace un rato cuando el intruso no estaba; logra que se sepa más imbécil.
Il reconnait que ses lignes sont belles, mais d'une beauté agressive qui le désarçonne et parvient à le faire se sentir plus laid qu'auparavant, quand l'intrus n'était pas là ; à se croire encore plus imbécile.
Reconoce que sus líneas tienen belleza, pero es una belleza agresiva que lo descoloca, y logra que ahora él se adivine más feo que hace un rato cuando el intruso no estaba; logra que se sepa más imbécil.
Il reconnait que ses lignes sont belles, mais d'une beauté agressive qui le désarçonne et parvient à le faire se sentir plus laid qu'auparavant, quand l'intrus n'était pas là ; à se croire encore plus imbécile.
OK.
Justine ?
Reconoce que sus líneas tienen belleza, pero es una belleza agresiva que lo descoloca, y logra que ahora él se adivine más feo que hace un rato cuando el intruso no estaba; logra que se sepa más imbécil.
Il reconnait que ses lignes sont belles, mais d'une beauté agressive qui le désarçonne et parvient à le faire se sentir plus laid qu'auparavant, quand l'intrus n'était pas là ; à se croire encore plus imbécile.
OK.
Vous pouvez continuer.
Continúa mirándolo fijo; quizá se trate de un galeón español, quizá aún conserve su carga de ídolos de plata robados.
Un hilo de baba se escurre por sus labios, agua salada que apenas toca el suelo, desaparece.
Il continue de le fixer du regard. Peut-être s'agit-il d'un galion espagnol. Peut-être sa cargaison d'idoles d'argent volées est-elle toujours conservée à bord.
Un filet de bave glisse de ses lèvres, de l'eau salée qui disparaît juste après avoir toucher le sol.
Continúa mirándolo fijo; quizá se trate de un galeón español, quizá aún conserve su carga de ídolos de plata robados.
Un hilo de baba se escurre por sus labios, agua salada que apenas toca el suelo, desaparece.
Il continue de le fixer du regard. Peut-être s'agit-il d'un galion espagnol. Peut-être sa cargaison d'idoles d'argent volées est-elle toujours conservée à bord.
Un filet de bave glisse de ses lèvres, de l'eau salée qui disparaît juste après avoir touché le sol.
Continúa mirándolo fijo; quizá se trate de un galeón español, quizá aún conserve su carga de ídolos de plata robados.
Un hilo de baba se escurre por sus labios, agua salada que apenas toca el suelo, desaparece.
Il continue de le fixer du regard [littéral ?]. Peut-être s'agit-il d'un galion espagnol. Peut-être sa cargaison d'idoles d'argent volées est-elle toujours conservée [nécessaire ?] à bord.
Un filet de bave glisse de ses lèvres, de l'eau salée qui disparaît juste après avoir touché le sol.
Continúa mirándolo fijo; quizá se trate de un galeón español, quizá aún conserve su carga de ídolos de plata robados.
Un hilo de baba se escurre por sus labios, agua salada que apenas toca el suelo, desaparece.
Il continue de le regarder fixement. Peut-être s'agit-il d'un galion espagnol. Peut-être sa cargaison d'idoles d'argent volées est-elle toujours à bord.
Un filet de bave glisse de ses lèvres, de l'eau salée qui disparaît juste après avoir touché le sol.
Continúa mirándolo fijo; quizá se trate de un galeón español, quizá aún conserve su carga de ídolos de plata robados.
Un hilo de baba se escurre por sus labios, agua salada que apenas toca el suelo, desaparece.
Il continue de le regarder fixement. Peut-être s'agit-il d'un galion espagnol. Peut-être sa cargaison d'idoles d'argent volées est-elle toujours à bord.
Un filet de bave glisse de ses lèvres, de l'eau salée qui disparaît juste après avoir touché le sol.
OK.
Elena ?
OK.
Vous pouvez continuer.
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Si un animal quelconque affrontait le fantôme d'un animal splendide ? Qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
Du centre de son ventre, là où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur la voilure du fantôme.
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
[le tiret ?]Si un animal quelconque [Elena ?] affrontait le fantôme d'un animal splendide ? [pourquoi un point d'interrogation ici ?] Qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
— Si un animal quelconque [Elena ?] affrontait le fantôme d'un animal splendide, qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
— Si un animal quelconque [Elena ? / "piètre animal" ?] affrontait le fantôme d'un animal splendide, qui gagnerait le combat ?, s'interroge-t-il à voix haute.
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
— Si un animal quelconque [Elena ? / « piètre » n'est pas génial, mais si c'est l'idée, vous allez trouver] affrontait le fantôme d'un animal splendide, qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
— Si un animal ordinaire affrontait le fantôme d'un animal splendide, qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
Et par la suite, je donne ma langue à tous les tigres de cet univers y más allá ! :-))
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
— Si un animal insignifiant affrontait le fantôme d'un animal splendide, qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
— Si un animal ordinaire affrontait le fantôme d'un animal splendide, qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
OK.
Justine ?
—Si un animal mediocre se enfrentase al fantasma de un animal espléndido, ¿quién ganaría la pelea? —se pregunta en voz alta.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
— Si un animal ordinaire affrontait le fantôme d'un animal splendide, qui gagnerait le combat ? s'interroge-t-il à voix haute.
OK.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Du centre de son ventre, là où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur la voilure du fantôme.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Du centre de son ventre, là [nécessaire ?] où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur la voilure [j'hésite] du fantôme.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Du centre de son ventre, où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur la voile du fantôme.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Du centre de son ventre, où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur la [?] voile du fantôme.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Du centre de son ventre, où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur les voiles du fantôme.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Du centre de son ventre, où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur les voiles du fantôme [mais c'est quoi, ce fantôme ? Un vrai ? Le cas échéant : drap ? Dis-moi par rapport à ce qui précède… Je ne suis plus ;-)].
Non, c'est un bateau, un galion espagnol.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Du centre de son ventre, où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur les voiles du fantôme.
Desde el centro de su vientre, donde siente latir al más alocado de sus corazones, saca la fuerza que necesita y, con un movimiento torpe, arroja su cigarrillo aún encendido contra el velamen del fantasma.
Du centre de son ventre, où il sent battre celui de ses cœurs qui s'emballe le plus, il puise la force dont il a besoin et jette maladroitement sa cigarette allumée sur les voiles du fantôme.
OK.
Elena ?
OK.
Enregistrer un commentaire