El jardinero está triste, se le secaron las alegrías.
Le jardinier est triste. Ses joies se sont asséchées.
*
Estoy en el Comcar esperando que mi expediente brille despertando a un burócrata del Poder Judicial. No soy culpable ni inocente. Simplemente no soy.
Je suis au Comcar, à attendre que mon dossier brille et réveille un bureaucrate du Pouvoir Judiciaire. Je ne suis ni coupable ni innocent. Je ne suis pas, c'est tout.
Le jardinier est triste. Ses joies se sont asséchées.
*
Estoy en el Comcar esperando que mi expediente brille despertando a un burócrata del Poder Judicial. No soy culpable ni inocente. Simplemente no soy.
Je suis au Comcar, à attendre que mon dossier brille et réveille un bureaucrate du Pouvoir Judiciaire. Je ne suis ni coupable ni innocent. Je ne suis pas, c'est tout.
*
El quiso hacer una broma. Escribió “no te quiero más” y apretó send. Ella recibió el mensaje, miró a su lado y dijo: “ya nos descubrieron”.
Il voulut lui faire une blague. Il écrivit « je ne t'aime plus » et appuya sur send. Elle reçut le message, regarda à côté d'elle et dit : « nous sommes démasqués ».
*
El mismo acto: caja, mujer, magia y tigre. Algo falla. El mago entra en la caja y desaparece. El tigre enjaulado, duerme y sueña al mago atrapado en una jungla.
Le même tour : boîte, femme, magie et tigre. Quelque chose cloche. Le magicien entre dans la boîte et disparaît. Depuis sa cage, le tigre dort et rêve du magicien pris au piège dans une jungle.
*
Se miraron a los ojos como en un duelo, y con voz desafiante dijo: “boleto céntrico”, mientras en la mano esgrimía un billete de 200.
Ils se regardèrent dans les yeux comme pour un duel, et d'une voix pleine de défi, elle lança : « un ticket pour le centre ville », exhibant un billet de 200 dans sa main.
*
Estaba atardeciendo, de pronto un grito rasgó el aire, miré a mi hermano y vi el miedo en sus ojos, aquel grito solo significaba una cosa: la hora del baño.
La nuit tombait, quand, soudain, un cri a déchiré l'air. J'ai regardé mon frère et j'ai vu la peur dans ses yeux. Ce cri ne signifiait qu'une seule chose : l'heure du bain.
*
El aljibe. Después de cuatro años lo subieron. El sol. Le dolieron tanto los ojos que pensó, fugazmente, incorporarlo a su larga lista de seres despreciables.
La citerne. Après quatre ans, on l'avait montée. Le soleil. Ses yeux lui firent si mal qu'il pensa, un instant, l'ajouter à sa longue liste des êtres méprisables.
*
La belleza de la mujer me atrapaba la mirada infinita desde el cuadro. Era mi espejo, yo misma, mi alma encerrada en colores. Sin embargo era el retrato de mi amiga.
Depuis le tableau, la beauté de la femme accrochait mon regard infini. Il était mon reflet, moi-même, mon âme enfermée dans des couleurs. Et pourtant, c'était le portrait de mon amie.
*
Era tarde, hacía frío, estábamos solos. Pasó lo que pasó. Te advertí que no nos delataras. Ahora es tarde y hace frío. Estamos más solos.
Il était tard, il faisait froid, nous étions seuls. Il s'est passé ce qui s'est passé. Je t'avais prévenu qu'il ne fallait pas nous dénoncer. Maintenant, il est tard et il fait froid. Nous sommes encore plus seuls.
*
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Pour la raison que tout le monde connait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, devrions forcément être meilleurs que les Argentins.
*
Uno de nosotros debía proporcionar la carnada, tres días ya habían pasado. En algún lugar del Pacífico, comí el mejor pescado y solo me costó un dedo.
L'un de nous devait fournir l'appât. Trois jours s'étaient maintenant écoulés. Quelque part dans le Pacifique, j'ai mangé le meilleur poisson de ma vie et il ne m'a coûté qu'un doigt.
*
El filo de la lanza fue lo último que sintió mientras el orgullo le cerraba los ojos. La calle que lleva su nombre muere en la avenida que honra a su matador.
Le fil de la lance fut la dernière chose qu'il sentit, tandis que l'orgueil fermait ses yeux. La rue qui porte son nom meurt dans l'avenue qui honore son matador.
Se miraron a los ojos como en un duelo, y con voz desafiante dijo: “boleto céntrico”, mientras en la mano esgrimía un billete de 200.
Ils se regardèrent dans les yeux comme pour un duel, et d'une voix pleine de défi, elle lança : « un ticket pour le centre ville », exhibant un billet de 200 dans sa main.
*
Estaba atardeciendo, de pronto un grito rasgó el aire, miré a mi hermano y vi el miedo en sus ojos, aquel grito solo significaba una cosa: la hora del baño.
La nuit tombait, quand, soudain, un cri a déchiré l'air. J'ai regardé mon frère et j'ai vu la peur dans ses yeux. Ce cri ne signifiait qu'une seule chose : l'heure du bain.
*
El aljibe. Después de cuatro años lo subieron. El sol. Le dolieron tanto los ojos que pensó, fugazmente, incorporarlo a su larga lista de seres despreciables.
La citerne. Après quatre ans, on l'avait montée. Le soleil. Ses yeux lui firent si mal qu'il pensa, un instant, l'ajouter à sa longue liste des êtres méprisables.
*
La belleza de la mujer me atrapaba la mirada infinita desde el cuadro. Era mi espejo, yo misma, mi alma encerrada en colores. Sin embargo era el retrato de mi amiga.
Depuis le tableau, la beauté de la femme accrochait mon regard infini. Il était mon reflet, moi-même, mon âme enfermée dans des couleurs. Et pourtant, c'était le portrait de mon amie.
*
Era tarde, hacía frío, estábamos solos. Pasó lo que pasó. Te advertí que no nos delataras. Ahora es tarde y hace frío. Estamos más solos.
Il était tard, il faisait froid, nous étions seuls. Il s'est passé ce qui s'est passé. Je t'avais prévenu qu'il ne fallait pas nous dénoncer. Maintenant, il est tard et il fait froid. Nous sommes encore plus seuls.
*
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Pour la raison que tout le monde connait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, devrions forcément être meilleurs que les Argentins.
*
Uno de nosotros debía proporcionar la carnada, tres días ya habían pasado. En algún lugar del Pacífico, comí el mejor pescado y solo me costó un dedo.
L'un de nous devait fournir l'appât. Trois jours s'étaient maintenant écoulés. Quelque part dans le Pacifique, j'ai mangé le meilleur poisson de ma vie et il ne m'a coûté qu'un doigt.
*
El filo de la lanza fue lo último que sintió mientras el orgullo le cerraba los ojos. La calle que lleva su nombre muere en la avenida que honra a su matador.
Le fil de la lance fut la dernière chose qu'il sentit, tandis que l'orgueil fermait ses yeux. La rue qui porte son nom meurt dans l'avenue qui honore son matador.
51 commentaires:
El jardinero está triste, se le secaron las alegrías.
Le jardinier est triste. Ses joies se sont asséchées.
El jardinero está triste, se le secaron las alegrías.
Le jardinier est triste. Ses joies se sont asséchées.
OK.
Estoy en el Comcar esperando que mi expediente brille despertando a un burócrata del Poder Judicial. No soy culpable ni inocente. Simplemente no soy.
Je suis au Comcar, attendant que mon dossier brille et réveille un bureaucrate du Pouvoir Judiciaire. Je ne suis ni coupable ni innocent. Je ne suis pas, tout simplement.
Estoy en el Comcar esperando que mi expediente brille despertando a un burócrata del Poder Judicial. No soy culpable ni inocente. Simplemente no soy.
Je suis au Comcar, attendant [ou « à attendre » ?] que mon dossier brille et réveille un bureaucrate du Pouvoir Judiciaire. Je ne suis ni coupable ni innocent. Je ne suis pas, tout simplement [est-ce exactement le même sens ? J'hésite].
Estoy en el Comcar esperando que mi expediente brille despertando a un burócrata del Poder Judicial. No soy culpable ni inocente. Simplemente no soy.
Je suis au Comcar, à attendre que mon dossier brille et réveille un bureaucrate du Pouvoir Judiciaire. Je ne suis ni coupable ni innocent. Je ne suis pas, c'est tout.
Estoy en el Comcar esperando que mi expediente brille despertando a un burócrata del Poder Judicial. No soy culpable ni inocente. Simplemente no soy.
Je suis au Comcar, à attendre que mon dossier brille et réveille un bureaucrate du Pouvoir Judiciaire. Je ne suis ni coupable ni innocent. Je ne suis pas, c'est tout.
OK.
El quiso hacer una broma. Escribió “no te quiero más” y apretó send. Ella recibió el mensaje, miró a su lado y dijo: “ya nos descubrieron”.
Il a voulu lui faire une blague. Il a écrit « je ne t'aime plus » et a appuyé sur send. Elle a reçu le message, a regardé à côté d'elle et a dit: « nous sommes démasqués ».
El quiso hacer una broma. Escribió “no te quiero más” y apretó send. Ella recibió el mensaje, miró a su lado y dijo: “ya nos descubrieron”.
Il a voulu [plutôt au passé simple ? Je te laisse trancher] lui faire une blague. Il a écrit [idem ?] « je ne t'aime plus » et a appuyé [idem ?] sur send. Elle a reçu [idem ?] le message, a regardé [idem ?] à côté d'elle et a dit[idem][espace avant les deux points]: « nous sommes démasqués ».
El quiso hacer una broma. Escribió “no te quiero más” y apretó send. Ella recibió el mensaje, miró a su lado y dijo: “ya nos descubrieron”.
Il voulut lui faire une blague. Il écrivit « je ne t'aime plus » et appuya sur send. Elle reçut le message, regarda à côté d'elle et dit : « nous sommes démasqués ».
El quiso hacer una broma. Escribió “no te quiero más” y apretó send. Ella recibió el mensaje, miró a su lado y dijo: “ya nos descubrieron”.
Il voulut lui faire une blague. Il écrivit « je ne t'aime plus » et appuya sur send. Elle reçut le message, regarda à côté d'elle et dit : « nous sommes démasqués ».
OK.
El mismo acto: caja, mujer, magia y tigre. Algo falla. El mago entra en la caja y desaparece. El tigre enjaulado, duerme y sueña al mago atrapado en una jungla.
Le même tour : caisse, femme, magie et tigre. Quelque chose cloche. Le mage entre dans la caisse et disparaît. Depuis sa cage, le tigre dort et rêve du magicien pris en piège dans une jungle.
El mismo acto: caja, mujer, magia y tigre. Algo falla. El mago entra en la caja y desaparece. El tigre enjaulado, duerme y sueña al mago atrapado en una jungla.
Le même tour : caisse [« boîte » ? Vérifie], femme, magie et tigre. Quelque chose cloche. Le mage entre dans la caisse [idem] et disparaît. Depuis sa cage, le tigre dort et rêve du magicien pris en [?] piège dans une jungle.
El mismo acto: caja, mujer, magia y tigre. Algo falla. El mago entra en la caja y desaparece. El tigre enjaulado, duerme y sueña al mago atrapado en una jungla.
Le même tour : boîte, femme, magie et tigre. Quelque chose cloche. Le magicien entre dans la boîte et disparaît. Depuis sa cage, le tigre dort et rêve du magicien pris au piège dans une jungle.
El mismo acto: caja, mujer, magia y tigre. Algo falla. El mago entra en la caja y desaparece. El tigre enjaulado, duerme y sueña al mago atrapado en una jungla.
Le même tour : boîte, femme, magie et tigre. Quelque chose cloche. Le magicien entre dans la boîte et disparaît. Depuis sa cage, le tigre dort et rêve du magicien pris au piège dans une jungle.
OK.
Se miraron a los ojos como en un duelo, y con voz desafiante dijo: “boleto céntrico”, mientras en la mano esgrimía un billete de 200.
Ils se regardèrent dans les yeux comme pour un duel, et d'une voix pleine de défi elle dit : « un ticket pour le centre ville » , tandis que dans sa main elle exhibait un billet de 200.
Se miraron a los ojos como en un duelo, y con voz desafiante dijo: “boleto céntrico”, mientras en la mano esgrimía un billete de 200.
Ils se regardèrent dans les yeux comme pour un duel, et d'une voix pleine de défi [virgule] elle dit [« lança » ? Comme tu veux] : « un ticket pour le centre ville », tandis que [pas un peu lourd ? Vois si tu peux fluidifier] dans sa main elle exhibait un billet de 200.
Se miraron a los ojos como en un duelo, y con voz desafiante dijo: “boleto céntrico”, mientras en la mano esgrimía un billete de 200.
Ils se regardèrent dans les yeux comme pour un duel, et d'une voix pleine de défi, elle lança : « un ticket pour le centre ville », exhibant un billet de 200 dans sa main.
Se miraron a los ojos como en un duelo, y con voz desafiante dijo: “boleto céntrico”, mientras en la mano esgrimía un billete de 200.
Ils se regardèrent dans les yeux comme pour un duel, et d'une voix pleine de défi, elle lança : « un ticket pour le centre ville », exhibant un billet de 200 dans sa main.
OK.
Estaba atardeciendo, de pronto un grito rasgó el aire, miré a mi hermano y vi el miedo en sus ojos, aquel grito solo significaba una cosa: la hora del baño.
Le soleil se couchait quand soudain, un cri a déchiré l'air. J'ai regardé mon frère et j'ai vu la peur dans ses yeux. Ce cri-là ne signifiait qu'une chose: l'heure du bain.
Estaba atardeciendo, de pronto un grito rasgó el aire, miré a mi hermano y vi el miedo en sus ojos, aquel grito solo significaba una cosa: la hora del baño.
La nuit tombait quand soudain, un cri a déchiré l'air. J'ai regardé mon frère et j'ai vu la peur dans ses yeux. Ce cri ne signifiait qu'une seule chose : l'heure du bain.
Désolée, j'ai fait un erreur de manipulation. C'est la deuxième version que je voulais envoyer.
Estaba atardeciendo, de pronto un grito rasgó el aire, miré a mi hermano y vi el miedo en sus ojos, aquel grito solo significaba una cosa: la hora del baño.
La nuit tombait [virgule ?] quand [virgule ?] soudain, un cri a déchiré l'air. J'ai regardé mon frère et j'ai vu la peur dans ses yeux. Ce cri ne signifiait qu'une seule chose : l'heure du bain.
Estaba atardeciendo, de pronto un grito rasgó el aire, miré a mi hermano y vi el miedo en sus ojos, aquel grito solo significaba una cosa: la hora del baño.
La nuit tombait, quand, soudain, un cri a déchiré l'air. J'ai regardé mon frère et j'ai vu la peur dans ses yeux. Ce cri ne signifiait qu'une seule chose : l'heure du bain.
Estaba atardeciendo, de pronto un grito rasgó el aire, miré a mi hermano y vi el miedo en sus ojos, aquel grito solo significaba una cosa: la hora del baño.
La nuit tombait, quand, soudain, un cri a déchiré l'air. J'ai regardé mon frère et j'ai vu la peur dans ses yeux. Ce cri ne signifiait qu'une seule chose : l'heure du bain.
OK.
El aljibe. Después de cuatro años lo subieron. El sol. Le dolieron tanto los ojos que pensó, fugazmente, incorporarlo a su larga lista de seres despreciables.
La citerne. Après quatre ans, on l'avait montée. Le soleil. Ses yeux lui firent si mal qu'il pensa, un instant, l'ajouter à sa longue liste des êtres méprisables.
El aljibe. Después de cuatro años lo subieron. El sol. Le dolieron tanto los ojos que pensó, fugazmente, incorporarlo a su larga lista de seres despreciables.
La citerne. Après quatre ans, on l'avait montée. Le soleil. Ses yeux lui firent si mal qu'il pensa, un instant, l'ajouter à sa longue liste des êtres méprisables.
OK.
La belleza de la mujer me atrapaba la mirada infinita desde el cuadro. Era mi espejo, yo misma, mi alma encerrada en colores. Sin embargo era el retrato de mi amiga.
La beauté de la femme accrochait mon regard infini depuis le tableau. Il était mon reflet, moi-même, mon âme enfermée dans des couleurs. Cependant, c'était le portrait de mon amie.
La belleza de la mujer me atrapaba la mirada infinita desde el cuadro. Era mi espejo, yo misma, mi alma encerrada en colores. Sin embargo era el retrato de mi amiga.
La beauté de la femme accrochait mon regard infini depuis le tableau [ou placé au début ? J'hésite… Essaie et vois ce qui est mieux]. Il était mon reflet, moi-même, mon âme enfermée dans des couleurs. Cependant [« Et pourtant » ?], c'était le portrait de mon amie.
La belleza de la mujer me atrapaba la mirada infinita desde el cuadro. Era mi espejo, yo misma, mi alma encerrada en colores. Sin embargo era el retrato de mi amiga.
Depuis le tableau, la beauté de la femme accrochait mon regard infini. Il était mon reflet, moi-même, mon âme enfermée dans des couleurs. Et pourtant, c'était le portrait de mon amie.
La belleza de la mujer me atrapaba la mirada infinita desde el cuadro. Era mi espejo, yo misma, mi alma encerrada en colores. Sin embargo era el retrato de mi amiga.
Depuis le tableau, la beauté de la femme accrochait mon regard infini. Il était mon reflet, moi-même, mon âme enfermée dans des couleurs. Et pourtant, c'était le portrait de mon amie.
OK.
Era tarde, hacía frío, estábamos solos. Pasó lo que pasó. Te advertí que no nos delataras. Ahora es tarde y hace frío. Estamos más solos.
Il était tard, il faisait froid, nous étions seuls. Il s'est passé ce qui s'est passé. Je t'ai prévenu de ne pas nous dénoncer. Maintenant, il est tard et il fait froid. Nous sommes encore plus seuls.
Era tarde, hacía frío, estábamos solos. Pasó lo que pasó. Te advertí que no nos delataras. Ahora es tarde y hace frío. Estamos más solos.
Il était tard, il faisait froid, nous étions seuls. Il s'est passé ce qui s'est passé. Je t'ai prévenu de ne pas [« qu'il ne fallait pas » ?] nous dénoncer. Maintenant, il est tard et il fait froid. Nous sommes encore plus seuls.
Era tarde, hacía frío, estábamos solos. Pasó lo que pasó. Te advertí que no nos delataras. Ahora es tarde y hace frío. Estamos más solos.
Il était tard, il faisait froid, nous étions seuls. Il s'est passé ce qui s'est passé. Je t'avais prévenu qu'il ne fallait pas nous dénoncer. Maintenant, il est tard et il fait froid. Nous sommes encore plus seuls.
Era tarde, hacía frío, estábamos solos. Pasó lo que pasó. Te advertí que no nos delataras. Ahora es tarde y hace frío. Estamos más solos.
Il était tard, il faisait froid, nous étions seuls. Il s'est passé ce qui s'est passé. Je t'avais prévenu qu'il ne fallait pas nous dénoncer. Maintenant, il est tard et il fait froid. Nous sommes encore plus seuls.
OK.
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Grâce à ce que tout le monde sait déjà : nous sommes plus humbles », argumentai-je, quand le touriste gringo me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, serions meilleurs que les Argentins.
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Grâce à ce que [ou dans le sens : « De sorte que » ? Au besoin, je demande à Elena…] tout le monde sait déjà : nous sommes plus humbles », argumentai[« arguai-je » ?]-je, quand le touriste gringo [naturel ?] me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, serions [futur ou hypothèse ?] meilleurs que les Argentins.
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Grâce à ce que [ou dans le sens : « De sorte que » ? Au besoin, je demande à Elena… --> je crois vraiment que la question était Pourquoi...? donc on devrait répondre par "parce que" sauf que ça n'est pas possible vu la suite de la phrase et "à cause de" me semblait bizarre. Elena est toujours de bon conseil!] tout le monde sait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, serions [futur ou hypothèse ? --> je pense que la question était: et pourquoi seriez-vous meilleurs que les Argentins] meilleurs que les Argentins.
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Grâce à ce que [ou dans le sens : « De sorte que » ? Au besoin, je demande à Elena… --> je crois vraiment que la question était Pourquoi...? donc on devrait répondre par "parce que" sauf que ça n'est pas possible vu la suite de la phrase et "à cause de" me semblait bizarre. Elena est toujours de bon conseil!] tout le monde sait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, serions [futur ou hypothèse ? --> je pense que la question était: et pourquoi seriez-vous meilleurs que les Argentins] meilleurs que les Argentins.
OK, je le lui demande.
Hola, je comprends :
"Pour la raison que tout le monde connaît déjà : nous sommes plus humbles." Ou bien, "Pour la/une raison bien connue de tout le monde :..."
Merci, Elena.
Rachel ?
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Pour la raison que tout le monde connait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, serions meilleurs que les Argentins.
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Pour la raison que tout le monde connait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, serions [vraiment un pb avec ce futur] meilleurs que les Argentins.
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Pour la raison que tout le monde connait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, étions meilleurs que les Argentins.
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Pour la raison que tout le monde connait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, étions [« serions » ?] meilleurs que les Argentins.
Et boucle aussi les deux derniers. Le volume est quasiment terminé.
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Pour la raison que tout le monde connait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, étions [« serions » ?---> ???? c'est ce que je t'ai proposé dans mes premières versions, mais tu avais du mal avec mon conditionnel] meilleurs que les Argentins.
Pas ce que je voulais dire / j'ai tapé trop vite : « devrions-nous forcément être » ?
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Pour la raison que tout le monde connait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, devrions forcément être meilleurs que les Argentins.
*
Uno de nosotros debía proporcionar la carnada, tres días ya habían pasado. En algún lugar del Pacífico, comí el mejor pescado y solo me costó un dedo.
L'un de nous devait fournir l'appât. Trois jours s'étaient maintenant écoulés. Quelque part dans le Pacifique, j'ai mangé le meilleur poisson de ma vie et il ne m'a coûté qu'un doigt.
*
El filo de la lanza fue lo último que sintió mientras el orgullo le cerraba los ojos. La calle que lleva su nombre muere en la avenida que honra a su matador.
Le fil de la lance fut la dernière chose qu'il sentit, tandis que l'orgueil fermait ses yeux. La rue qui porte son nom meurt dans l'avenue qui honore son matador.
“Por lo que todo el mundo ya sabe: somos más humil-des”—argüí, cuando el turista gringo me preguntó por qué los uruguayos seríamos mejores que los argentinos.
« Pour la raison que tout le monde connait déjà : nous sommes plus humbles », arguai-je, quand le touriste américain me demanda pourquoi nous, les Uruguayens, devrions forcément être meilleurs que les Argentins.
OK.
Uno de nosotros debía proporcionar la carnada, tres días ya habían pasado. En algún lugar del Pacífico, comí el mejor pescado y solo me costó un dedo.
L'un de nous devait fournir l'appât. Trois jours s'étaient maintenant écoulés. Quelque part dans le Pacifique, j'ai mangé le meilleur poisson de ma vie et il ne m'a coûté qu'un doigt.
OK.
*
El filo de la lanza fue lo último que sintió mientras el orgullo le cerraba los ojos. La calle que lleva su nombre muere en la avenida que honra a su matador.
Le fil de la lance fut la dernière chose qu'il sentit, tandis que l'orgueil fermait ses yeux. La rue qui porte son nom meurt dans l'avenue qui honore son matador [j'hésite / « celui qui l'a tué » ?].
El filo de la lanza fue lo último que sintió mientras el orgullo le cerraba los ojos. La calle que lleva su nombre muere en la avenida que honra a su matador.
Le fil de la lance fut la dernière chose qu'il sentit, tandis que l'orgueil fermait ses yeux. La rue qui porte son nom meurt dans l'avenue qui honore son matador [j'hésite / « celui qui l'a tué » ? je préfère matador car sinon, nous perdons la tauromachie je pense].
El filo de la lanza fue lo último que sintió mientras el orgullo le cerraba los ojos. La calle que lleva su nombre muere en la avenida que honra a su matador.
Le fil de la lance fut la dernière chose qu'il sentit, tandis que l'orgueil fermait ses yeux. La rue qui porte son nom meurt dans l'avenue qui honore son matador.
OK.
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