mardi 6 juin 2017

Projet Basta ! Justine – texte 5

¡Adiós, vida mía...!

DIANA MARCELA LEAL DÍAZ

Anudó sus lágrimas y con un leve arrojo de coraje balbuceó: ¡No preguntes por qué, ni yo lo entiendo!... Tomó un profundo respiro y continuó: ¡Me despido...! Ya no puedo vivir tus sueños ni cumplir tus caprichos. En verdad lo siento. Se acabaron los paseos en el parque y las noches de amigas. Mi dinero ya no te pertenece. Ya no cocinaré, ni lavaré, ni plancharé para ti. Mostrándose los golpes finalizó: ¡Debes entender que ni tu sonrisa cabe en esta casa! Cerró sus ojos, dio la espalda al espejo y volvió a la cama junto a él... 

Traduction temporaire :

Diana Marcela Leal Díaz

Adieu, ma vie… !

Elle ligatura ses larmes et dans un élan de courage ténu, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde inspiration avant de poursuivre : Je prends congé… !  Je ne peux plus ni vivre tes rêves ni satisfaire tes caprices. Je suis vraiment désolée. Finies les promenades dans le parc et les soirées entre amies. Mon argent ne t'appartient plus. Je ne ferai plus ni la cuisine, ni la lessive, ni le repassage pour toi. En se montrant les coups qu'elle a reçus, elle conclut : Tu dois comprendre que même ton sourire n'a plus sa place dans cette maison ! Elle ferma les yeux, tourna le dos au miroir et retourna au lit, à côté de lui…

20 commentaires:

Justine a dit…

Diana Marcela Leal Díaz

¡Adiós, vida mía...!

Anudó sus lágrimas y con un leve arrojo de coraje balbuceó: ¡No preguntes por qué, ni yo lo entiendo!... Tomó un profundo respiro y continuó: ¡Me despido...!

Adieu, ma vie…

Elle ligatura[au sens figuré « d'arrêter toute hémorragie », pour garder l'idée de nouer ?] ses larmes et dans un léger élan de courage, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde respiration avant de poursuivre : Je te quitte…

Tradabordo a dit…

Diana Marcela Leal Díaz

¡Adiós, vida mía...!

Anudó sus lágrimas y con un leve arrojo de coraje balbuceó: ¡No preguntes por qué, ni yo lo entiendo!... Tomó un profundo respiro y continuó: ¡Me despido...!

Adieu, ma vie… [et le !]

Elle ligatura ses larmes et dans un léger [« ténu » + placé après ?] élan de courage, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde respiration [« inspiration »] avant de poursuivre : Je te quitte… [texte ? J'hésite + le !]

Justine a dit…

Diana Marcela Leal Díaz

¡Adiós, vida mía...!

Anudó sus lágrimas y con un leve arrojo de coraje balbuceó: ¡No preguntes por qué, ni yo lo entiendo!... Tomó un profundo respiro y continuó: ¡Me despido...!

Adieu, ma vie… !

Elle ligatura ses larmes et dans un élan de courage ténu, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde inspiration avant de poursuivre : Je prends congé… !

Tradabordo a dit…

Diana Marcela Leal Díaz

¡Adiós, vida mía...!

Anudó sus lágrimas y con un leve arrojo de coraje balbuceó: ¡No preguntes por qué, ni yo lo entiendo!... Tomó un profundo respiro y continuó: ¡Me despido...!

Adieu, ma vie… !

Elle ligatura ses larmes et dans un élan de courage ténu, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde inspiration avant de poursuivre : Je prends congé… [demande à Elena] !

Justine a dit…

Diana Marcela Leal Díaz

¡Adiós, vida mía...!

Anudó sus lágrimas y con un leve arrojo de coraje balbuceó: ¡No preguntes por qué, ni yo lo entiendo!... Tomó un profundo respiro y continuó: ¡Me despido...!

Adieu, ma vie… !

Elle ligatura ses larmes et dans un élan de courage ténu, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde inspiration avant de poursuivre : Je te fais mes adieux… !

Tradabordo a dit…

Diana Marcela Leal Díaz

¡Adiós, vida mía...!

Anudó sus lágrimas y con un leve arrojo de coraje balbuceó: ¡No preguntes por qué, ni yo lo entiendo!... Tomó un profundo respiro y continuó: ¡Me despido...!

Adieu, ma vie… !

Elle ligatura ses larmes et dans un élan de courage ténu, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde inspiration avant de poursuivre : Je te fais mes adieux… ! [confirme que tu te lui as demandé]

Justine a dit…

Elena valide « Je prends congé ».

Diana Marcela Leal Díaz

¡Adiós, vida mía...!

Anudó sus lágrimas y con un leve arrojo de coraje balbuceó: ¡No preguntes por qué, ni yo lo entiendo!... Tomó un profundo respiro y continuó: ¡Me despido...!

Adieu, ma vie… !

Elle ligatura ses larmes et dans un élan de courage ténu, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde inspiration avant de poursuivre : Je prends congé… !

Tradabordo a dit…

Diana Marcela Leal Díaz

Adieu, ma vie… !

Elle ligatura ses larmes et dans un élan de courage ténu, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde inspiration avant de poursuivre : Je prends congé… !

OK.

Justine a dit…

Ya no puedo vivir tus sueños ni cumplir tus caprichos. En verdad lo siento. Se acabaron los paseos en el parque y las noches de amigas. Mi dinero ya no te pertenece.

Je ne peux plus vivre tes rêves ni satisfaire tes caprices. Je suis vraiment désolée. Finies les promenades dans le parc et les soirées entre amies. Mon argent ne t'appartient plus.

Tradabordo a dit…

Ya no puedo vivir tus sueños ni cumplir tus caprichos. En verdad lo siento. Se acabaron los paseos en el parque y las noches de amigas. Mi dinero ya no te pertenece.

Je ne peux plus [« ni » ?] vivre tes rêves ni satisfaire tes caprices. Je suis vraiment désolée. Finies les promenades dans le parc et les soirées entre amies. Mon argent ne t'appartient plus.

Justine a dit…

Ya no puedo vivir tus sueños ni cumplir tus caprichos. En verdad lo siento. Se acabaron los paseos en el parque y las noches de amigas. Mi dinero ya no te pertenece.

Je ne peux plus ni vivre tes rêves ni satisfaire tes caprices. Je suis vraiment désolée. Finies les promenades dans le parc et les soirées entre amies. Mon argent ne t'appartient plus.

Tradabordo a dit…

Ya no puedo vivir tus sueños ni cumplir tus caprichos. En verdad lo siento. Se acabaron los paseos en el parque y las noches de amigas. Mi dinero ya no te pertenece.

Je ne peux plus ni vivre tes rêves ni satisfaire tes caprices. Je suis vraiment désolée. Finies les promenades dans le parc et les soirées entre amies. Mon argent ne t'appartient plus.

OK.

Justine a dit…

Ya no cocinaré, ni lavaré, ni plancharé para ti. Mostrándose los golpes finalizó: ¡Debes entender que ni tu sonrisa cabe en esta casa! Cerró sus ojos, dio la espalda al espejo y volvió a la cama junto a él...

Je ne ferai plus ni la cuisine, ni la lessive, ni le repassage pour toi. En se montrant les coups qu'elle a reçus, elle conclut : Tu dois comprendre que même ton sourire n'a plus sa place dans cette maison ! Elle ferma les yeux, tourna le dos au miroir et retourna au lit, à côté de lui…

Tradabordo a dit…

Ya no cocinaré, ni lavaré, ni plancharé para ti. Mostrándose los golpes finalizó: ¡Debes entender que ni tu sonrisa cabe en esta casa! Cerró sus ojos, dio la espalda al espejo y volvió a la cama junto a él...

Je ne ferai plus ni la cuisine, ni la lessive, ni le repassage pour toi. En se montrant les coups qu'elle a reçus, elle conclut : Tu dois comprendre que même ton sourire n'a plus sa place dans cette maison ! Elle ferma les yeux, tourna le dos au miroir et retourna au lit, à côté de lui…

OK.

Elena a dit…

Je me permets d'intervenir concernant le titre :
¡Adiós, vida mía...! = "vida mía" = très cher, mon chéri, mon amour, selon le contexte.

Tradabordo a dit…

OK. Merci, Elena. Justine ?

Justine a dit…

Merci, Elena !

Au vu du contexte, je dirai :

Diana Marcela Leal Díaz

Adieu, ma chérie… !

Elle ligatura ses larmes et dans un élan de courage ténu, elle balbutia : Ne demande pas pourquoi, même moi, je ne comprends pas !… Elle prit une profonde inspiration avant de poursuivre : Je prends congé… ! Je ne peux plus ni vivre tes rêves ni satisfaire tes caprices. Je suis vraiment désolée. Finies les promenades dans le parc et les soirées entre amies. Mon argent ne t'appartient plus.Je ne ferai plus ni la cuisine, ni la lessive, ni le repassage pour toi. En se montrant les coups qu'elle a reçus, elle conclut : Tu dois comprendre que même ton sourire n'a plus sa place dans cette maison ! Elle ferma les yeux, tourna le dos au miroir et retourna au lit, à côté de lui…

Tradabordo a dit…

Elena, le féminin, tu crois ?

Elena a dit…

Oui, elle se parle à elle-même : "ma chère". Même si on perd le jeu de mots parce que l'expression en français n'existe pas.

Tradabordo a dit…

OK. Merci.