El final del cuento
DIANA MARCELA CASTRO FARFÁN
-”Y vivieron felices por siempre.”-Cerró el libro de cuentos que le leía sin falta cada noche, en un intento de ofrecer alguna dosis de amabilidad a sus días. Sólo era una fantasía, pero se negaba a permitir que él les arrebatara también eso. Observó el rostro de su hija que se había quedado dormida. Guardó el libro en la pequeña maleta, que contenía unas pocas cosas de la niña, la carta dirigida a su hermana y los escasos pesos que logró esconder en el relleno del viejo oso de peluche. Escuchó la puerta de la casa abrirse, se puso de pie y tomó el cuchillo que tenía guardado en el primer cajón de la mesa de noche. Miró una vez más el rostro de su pequeña y salió de la habitación dispuesta a matar al dragón, aunque fuera lo último que hiciera.
DIANA MARCELA CASTRO FARFÁN
-”Y vivieron felices por siempre.”-Cerró el libro de cuentos que le leía sin falta cada noche, en un intento de ofrecer alguna dosis de amabilidad a sus días. Sólo era una fantasía, pero se negaba a permitir que él les arrebatara también eso. Observó el rostro de su hija que se había quedado dormida. Guardó el libro en la pequeña maleta, que contenía unas pocas cosas de la niña, la carta dirigida a su hermana y los escasos pesos que logró esconder en el relleno del viejo oso de peluche. Escuchó la puerta de la casa abrirse, se puso de pie y tomó el cuchillo que tenía guardado en el primer cajón de la mesa de noche. Miró una vez más el rostro de su pequeña y salió de la habitación dispuesta a matar al dragón, aunque fuera lo último que hiciera.
Traduction temporaire :
Diana Marcela Castro Farfán
La fin du conte
— « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. » Elle ferma le livre de contes qu'elle lui lisait chaque soir, sans faute, pour tenter d'apporter un peu de douceur à sa vie. Ce n'était que pure imagination, mais elle se refusait à le laisser leur arracher cela aussi. Elle observa le visage de sa fille, qui s'était endormie. Elle rangea le livre dans la petite valise, qui contenait quelques affaires de sa fille, la lettre adressée à sa sœur et les maigres pesos qu'elle avait réussi à cacher dans le rembourrage du vieil ours en peluche. Elle entendit la porte de la maison s'ouvrir, se mit debout et attrapa le couteau qu'elle gardait dans le premier tiroir de sa table de chevet. Elle regarda de nouveau le visage de la petite et sortit de la chambre, prête à terrasser le dragon, même si ce devait être la dernière chose qu'elle ferait jamais.
Diana Marcela Castro Farfán
La fin du conte
— « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. » Elle ferma le livre de contes qu'elle lui lisait chaque soir, sans faute, pour tenter d'apporter un peu de douceur à sa vie. Ce n'était que pure imagination, mais elle se refusait à le laisser leur arracher cela aussi. Elle observa le visage de sa fille, qui s'était endormie. Elle rangea le livre dans la petite valise, qui contenait quelques affaires de sa fille, la lettre adressée à sa sœur et les maigres pesos qu'elle avait réussi à cacher dans le rembourrage du vieil ours en peluche. Elle entendit la porte de la maison s'ouvrir, se mit debout et attrapa le couteau qu'elle gardait dans le premier tiroir de sa table de chevet. Elle regarda de nouveau le visage de la petite et sortit de la chambre, prête à terrasser le dragon, même si ce devait être la dernière chose qu'elle ferait jamais.
16 commentaires:
Diana Marcela Castro Farfán
La fin du conte
-”Y vivieron felices por siempre.”-Cerró el libro de cuentos que le leía sin falta cada noche, en un intento de ofrecer alguna dosis de amabilidad a sus días. Sólo era una fantasía, pero se negaba a permitir que él les arrebatara también eso. Observó el rostro de su hija que se había quedado dormida.
— « Et ils vécurent heureux pour toujours. » Elle ferma le livre de contes qu'elle lui lisait sans faute chaque soir, pour tenter d'apporter un peu de douceur à sa vie. Ce n'était rien qu'un monde imaginaire, mais elle se refusait à le laisser leur arracher cela aussi. Elle observa le visage de sa fille qui s'était endormie.
Diana Marcela Castro Farfán
La fin du conte
-”Y vivieron felices por siempre.”-Cerró el libro de cuentos que le leía sin falta cada noche, en un intento de ofrecer alguna dosis de amabilidad a sus días.
— « Et ils vécurent heureux pour toujours [on ne reprend pas la formule française ?]. » Elle ferma le livre de contes qu'elle lui lisait sans faute [après ?] chaque soir, pour tenter d'apporter un peu de douceur à sa vie.
Diana Marcela Castro Farfán
La fin du conte
-”Y vivieron felices por siempre.”-Cerró el libro de cuentos que le leía sin falta cada noche, en un intento de ofrecer alguna dosis de amabilidad a sus días.
— « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. » Elle ferma le livre de contes qu'elle lui lisait chaque soir, sans faute, pour tenter d'apporter un peu de douceur à sa vie.
Diana Marcela Castro Farfán
La fin du conte
-”Y vivieron felices por siempre.”-Cerró el libro de cuentos que le leía sin falta cada noche, en un intento de ofrecer alguna dosis de amabilidad a sus días.
— « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. » Elle ferma le livre de contes qu'elle lui lisait chaque soir, sans faute, pour tenter d'apporter un peu de douceur à sa vie.
OK.
Sólo era una fantasía, pero se negaba a permitir que él les arrebatara también eso. Observó el rostro de su hija que se había quedado dormida.
Ce n'était rien qu'un monde imaginaire, mais elle se refusait à le laisser leur arracher cela aussi. Elle observa le visage de sa fille, qui s'était endormie.
Sólo era una fantasía, pero se negaba a permitir que él les arrebatara también eso. Observó el rostro de su hija que se había quedado dormida.
Ce n'était rien qu'un monde imaginaire [texte ?], mais elle se refusait à le laisser leur arracher cela aussi. Elle observa le visage de sa fille, qui s'était endormie.
Sólo era una fantasía, pero se negaba a permitir que él les arrebatara también eso. Observó el rostro de su hija que se había quedado dormida.
Ce n'était rien que de l'imagination, mais elle se refusait à le laisser leur arracher cela aussi. Elle observa le visage de sa fille, qui s'était endormie.
Sólo era una fantasía, pero se negaba a permitir que él les arrebatara también eso. Observó el rostro de su hija que se había quedado dormida.
Ce n'était rien que de l'imagination [« que pure imagination » ?], mais elle se refusait à le laisser leur arracher cela aussi. Elle observa le visage de sa fille, qui s'était endormie.
Sólo era una fantasía, pero se negaba a permitir que él les arrebatara también eso. Observó el rostro de su hija que se había quedado dormida.
Ce n'était que pure imagination, mais elle se refusait à le laisser leur arracher cela aussi. Elle observa le visage de sa fille, qui s'était endormie.
Sólo era una fantasía, pero se negaba a permitir que él les arrebatara también eso. Observó el rostro de su hija que se había quedado dormida.
Ce n'était que pure imagination, mais elle se refusait à le laisser leur arracher cela aussi. Elle observa le visage de sa fille, qui s'était endormie.
OK.
Guardó el libro en la pequeña maleta, que contenía unas pocas cosas de la niña, la carta dirigida a su hermana y los escasos pesos que logró esconder en el relleno del viejo oso de peluche. Escuchó la puerta de la casa abrirse, se puso de pie y tomó el cuchillo que tenía guardado en el primer cajón de la mesa de noche.
Elle rangea le livre dans la petite valise, qui contenait quelques affaires de sa fille, la lettre adressée à sa sœur et les maigres pesos qu'elle avait réussi à cacher dans le rembourrage du vieil ours en peluche. Elle entendit la porte de la maison s'ouvrir, se mit debout et attrapa le couteau qu'elle gardait dans le premier tiroir de sa table de chevet.
Guardó el libro en la pequeña maleta, que contenía unas pocas cosas de la niña, la carta dirigida a su hermana y los escasos pesos que logró esconder en el relleno del viejo oso de peluche. Escuchó la puerta de la casa abrirse, se puso de pie y tomó el cuchillo que tenía guardado en el primer cajón de la mesa de noche.
Elle rangea le livre dans la petite valise, qui contenait quelques affaires de sa fille, la lettre adressée à sa sœur et les maigres pesos qu'elle avait réussi à cacher dans le rembourrage du vieil ours en peluche. Elle entendit la porte de la maison s'ouvrir, se mit debout et attrapa le couteau qu'elle gardait dans le premier tiroir de sa table de chevet.
OK.
Miró una vez más el rostro de su pequeña y salió de la habitación dispuesta a matar al dragón, aunque fuera lo último que hiciera.
Elle regarda de nouveau le visage de la petite et sortit de la chambre, prête à tuer le dragon, même si c'était la dernière chose qu'elle faisait.
Miró una vez más el rostro de su pequeña y salió de la habitación dispuesta a matar al dragón, aunque fuera lo último que hiciera.
Elle regarda de nouveau le visage de la petite et sortit de la chambre, prête à tuer [« terrasser » ?] le dragon, même si c'était [« ce devait être »] la dernière chose qu'elle faisait [« ferait (jamais)»].
Miró una vez más el rostro de su pequeña y salió de la habitación dispuesta a matar al dragón, aunque fuera lo último que hiciera.
Elle regarda de nouveau le visage de la petite et sortit de la chambre, prête à terrasser le dragon, même si ce devait être la dernière chose qu'elle ferait jamais.
Miró una vez más el rostro de su pequeña y salió de la habitación dispuesta a matar al dragón, aunque fuera lo último que hiciera.
Elle regarda de nouveau le visage de la petite et sortit de la chambre, prête à terrasser le dragon, même si ce devait être la dernière chose qu'elle ferait jamais.
OK.
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