CLAUDIA CECILIA RAMÍREZ CARDONA
Amanda
Cuando se enteró que alias “Pinina” estaba preso decidió denunciarlo. Ese día vistió a las mellicitas con un par de trajes iguales y las dejó en casa de su vecina. Camino a la Fiscalía volvió a su mente la mirada despiadada de ese hombre que, después de llegar al pueblo un día cualquiera, había impuesto su autoridad a sangre y fuego, y recordó esa tarde cuando a su regreso del colegio había sentido su mirada siniestra. Después llegó borracho a llamar a la puerta de su casa, entró y sin mediar palabra la buscó y le arrancó el uniforme tomándola violentamente, a la fuerza, golpeándola porque ella se negaba a quitarle la mirada de sus ojos. Llegando a la Fiscalía, la asaltó un pensamiento que la dejó fría y antes de devolverse dijo en voz baja: - si lo denuncio va a saber que es el papá de las niñas-.
Cuando se enteró que alias “Pinina” estaba preso decidió denunciarlo. Ese día vistió a las mellicitas con un par de trajes iguales y las dejó en casa de su vecina. Camino a la Fiscalía volvió a su mente la mirada despiadada de ese hombre que, después de llegar al pueblo un día cualquiera, había impuesto su autoridad a sangre y fuego, y recordó esa tarde cuando a su regreso del colegio había sentido su mirada siniestra. Después llegó borracho a llamar a la puerta de su casa, entró y sin mediar palabra la buscó y le arrancó el uniforme tomándola violentamente, a la fuerza, golpeándola porque ella se negaba a quitarle la mirada de sus ojos. Llegando a la Fiscalía, la asaltó un pensamiento que la dejó fría y antes de devolverse dijo en voz baja: - si lo denuncio va a saber que es el papá de las niñas-.
Traduction temporaire :
CLAUDIA CECILIA RAMÍREZ CARDONA
Amanda
Quand elle apprit que celui qu'on surnommait "Pinina" était détenu, elle décida de porter plainte contre lui. Ce jour-là, elle habilla ses petites jumelles avec deux robes identiques et les confia à sa voisine.Alors qu'elle se rendait chez le procureur, il lui revint à l'esprit le regard impitoyable de cet homme qui, après son arrivée au village, un jour ordinaire, avait violemment imposé son autorité et elle se souvint de cette soirée lorsqu'à son retour de l'école, elle avait senti son regard sinistre. Ensuite, il sonna à sa porte, saoul, entra chez elle et sans un mot, il la chercha et lui arracha son uniforme en la prenant violemment, de force, en la frappant parce qu'elle refusait d'arrêter de le regarder dans les yeux. En arrivant chez le procureur, elle fut saisie par une pensée qui lui glaça le sang et avant de faire demi-tour, elle dit à voix basse : - Si je porte plainte contre lui, il va savoir qu'il est le père des petites.
CLAUDIA CECILIA RAMÍREZ CARDONA
Amanda
Quand elle apprit que celui qu'on surnommait "Pinina" était détenu, elle décida de porter plainte contre lui. Ce jour-là, elle habilla ses petites jumelles avec deux robes identiques et les confia à sa voisine.Alors qu'elle se rendait chez le procureur, il lui revint à l'esprit le regard impitoyable de cet homme qui, après son arrivée au village, un jour ordinaire, avait violemment imposé son autorité et elle se souvint de cette soirée lorsqu'à son retour de l'école, elle avait senti son regard sinistre. Ensuite, il sonna à sa porte, saoul, entra chez elle et sans un mot, il la chercha et lui arracha son uniforme en la prenant violemment, de force, en la frappant parce qu'elle refusait d'arrêter de le regarder dans les yeux. En arrivant chez le procureur, elle fut saisie par une pensée qui lui glaça le sang et avant de faire demi-tour, elle dit à voix basse : - Si je porte plainte contre lui, il va savoir qu'il est le père des petites.
28 commentaires:
Cuando se enteró que alias “Pinina” estaba preso decidió denunciarlo.
Quand elle apprit que celui qu'on surnommait "Pinina" était détenu, elle décida de le dénoncer.
Nom de l'auteure + titre du récit – après, je fais le copier-coller pour les anthologies.
Cuando se enteró que alias “Pinina” estaba preso decidió denunciarlo.
Quand elle apprit que celui qu'on surnommait "Pinina" [s'agit-il d'un surnom ? Le cas échéant, il faut traduire :-)] était détenu, elle décida de le dénoncer [ou dans le sens de « porter plainte contre lui » ? Je te laisse faire les vérifications nécessaire et trancher].
J'ai trouvé ça: John Jairo Arias Tascon alias Pinina ( -14 de junio de 19901 ) fue un miembro del Cartel de Medellín. Su voz chillona le valió los apodos de "Pinina" y "Andrea" pues sus conocidos la encontraban parecida a la de la niña actriz argentina Andrea del Boca.
CLAUDIA CECILIA RAMÍREZ CARDONA
Amanda
Cuando se enteró que alias “Pinina” estaba preso decidió denunciarlo.
Amanda
Quand elle apprit que celui qu'on surnommait "Crécelle" était détenu, elle décida de porter plainte contre lui.
Ah, alors du coup, si c'est une personne réelle, mieux vaut ne pas traduire… – cf El Chapo, etc.
Ah d'accord! :-)
Donc:
CLAUDIA CECILIA RAMÍREZ CARDONA
Amanda
Cuando se enteró que alias “Pinina” estaba preso decidió denunciarlo.
Amanda
Quand elle apprit que celui qu'on surnommait "Pinina" était détenu, elle décida de porter plainte contre lui.
CLAUDIA CECILIA RAMÍREZ CARDONA
Amanda
Ese día vistió a las mellicitas con un par de trajes iguales y las dejó en casa de su vecina.
Elle vêtit ce jour-là ses petites jumelles de deux robes identiques et les confia à sa voisine.
Avant d'enchaîner, attends que j'ai validé la phrase sur laquelle on bosse ; sinon, après, on ne s'y retrouve plus + plus besoin de remettre titre + auteure… puisque dans l'intervalle, j'aurais fait le copier-coller de ce qui est validé :-)
CLAUDIA CECILIA RAMÍREZ CARDONA
Amanda
Cuando se enteró que alias “Pinina” estaba preso decidió denunciarlo.
Amanda
Quand elle apprit que celui qu'on surnommait "Pinina" était détenu, elle décida de porter plainte contre lui.
OK.
Ese día vistió a las mellicitas con un par de trajes iguales y las dejó en casa de su vecina.
Elle vêtit [pas plus naturel avec « habilla » ?] ce jour-là [ou placé au début de la phrase ? Essaie les deux et vois ce qui te semble le mieux] ses petites jumelles de [« avec » ? Vérifie la fréquence d'usage] deux robes identiques et les confia à sa voisine.
Si, tu as raison, c'est ce que j'avais mis sur mon premier jet mais je n'aimais pas beaucoup le "avec". C'est ce qui semble le plus fréquent.
Ese día vistió a las mellicitas con un par de trajes iguales y las dejó en casa de su vecina.
Ce jour-là, elle habilla ses petites jumelles avec deux robes identiques et les confia à sa voisine.
Ese día vistió a las mellicitas con un par de trajes iguales y las dejó en casa de su vecina.
Ce jour-là, elle habilla ses petites jumelles avec deux robes identiques et les confia à sa voisine.
OK.
Camino a la Fiscalía volvió a su mente la mirada despiadada de ese hombre que, después de llegar al pueblo un día cualquiera, había impuesto su autoridad a sangre y fuego, y recordó esa tarde cuando a su regreso del colegio había sentido su mirada siniestra.
Alors qu'elle se rendait chez le procureur, il lui revint à l'esprit le regard sans pitié de cet homme qui, après son arrivée au village un jour ordinaire, avait imposé son autorité à feu et à sang, et se souvint de cette soirée lorsqu'à son retour de l'école, elle avait senti son regard sinistre.
Camino a la Fiscalía volvió a su mente la mirada despiadada de ese hombre que, después de llegar al pueblo un día cualquiera, había impuesto su autoridad a sangre y fuego, y recordó esa tarde cuando a su regreso del colegio había sentido su mirada siniestra.
Alors qu'elle se rendait chez le procureur [majuscule ? Vérifie], il lui revint à l'esprit le regard sans pitié [« impitoyable » ? J'hésite] de cet homme qui, après son arrivée au village [virgule ?] un jour ordinaire, avait imposé son autorité à feu et à sang [pas certaine que cela se dise…], et se souvint [on ne sait plus trop qui est le sujet…] de cette soirée lorsqu'à son retour de l'école, elle avait senti son regard sinistre.
Oui, j'avais vérifié.
Camino a la Fiscalía volvió a su mente la mirada despiadada de ese hombre que, después de llegar al pueblo un día cualquiera, había impuesto su autoridad a sangre y fuego, y recordó esa tarde cuando a su regreso del colegio había sentido su mirada siniestra.
Alors qu'elle se rendait chez le procureur, il lui revint à l'esprit le regard impitoyable de cet homme qui, après son arrivée au village, un jour ordinaire, avait violemment imposé son autorité et elle se souvint de cette soirée lorsqu'à son retour de l'école, elle avait senti son regard sinistre.
Camino a la Fiscalía volvió a su mente la mirada despiadada de ese hombre que, después de llegar al pueblo un día cualquiera, había impuesto su autoridad a sangre y fuego, y recordó esa tarde cuando a su regreso del colegio había sentido su mirada siniestra.
Alors qu'elle se rendait chez le procureur, il lui revint à l'esprit le regard impitoyable de cet homme qui, après son arrivée au village, un jour ordinaire, avait violemment imposé son autorité et elle se souvint de cette soirée lorsqu'à son retour de l'école, elle avait senti son regard sinistre.
OK.
Tu peux continuer.
Después llegó borracho a llamar a la puerta de su casa, entró y sin mediar palabra la buscó y le arrancó el uniforme tomándola violentamente, a la fuerza, golpeándola porque ella se negaba a quitarle la mirada de sus ojos.
Ensuite, il sonna à sa porte, saoul, entra chez elle et sans un mot, il la chercha et lui arracha l'uniforme en la prenant violemment, de force, en la frappant parce qu'elle refusait d'arrêter de le regarder dans les yeux.
Después llegó borracho a llamar a la puerta de su casa, entró y sin mediar palabra la buscó y le arrancó el uniforme tomándola violentamente, a la fuerza, golpeándola porque ella se negaba a quitarle la mirada de sus ojos.
Ensuite, il sonna à sa porte, saoul, entra chez elle et sans un mot, il la chercha et lui arracha l'[possessif ?]uniforme en la prenant violemment, de force, en la frappant parce qu'elle refusait d'arrêter de le regarder dans les yeux.
Después llegó borracho a llamar a la puerta de su casa, entró y sin mediar palabra la buscó y le arrancó el uniforme tomándola violentamente, a la fuerza, golpeándola porque ella se negaba a quitarle la mirada de sus ojos.
Ensuite, il sonna à sa porte, saoul, entra chez elle et sans un mot, il la chercha et lui arracha son uniforme en la prenant violemment, de force, en la frappant parce qu'elle refusait d'arrêter de le regarder dans les yeux.
Después llegó borracho a llamar a la puerta de su casa, entró y sin mediar palabra la buscó y le arrancó el uniforme tomándola violentamente, a la fuerza, golpeándola porque ella se negaba a quitarle la mirada de sus ojos.
Ensuite, il sonna à sa porte, saoul, entra chez elle et sans un mot, il la chercha et lui arracha son uniforme en la prenant violemment, de force, en la frappant parce qu'elle refusait d'arrêter de le regarder dans les yeux.
OK.
Je colle dans le post et toi, tu peux continuer.
Llegando a la Fiscalía, la asaltó un pensamiento que la dejó fría y antes de devolverse dijo en voz baja: - si lo denuncio va a saber que es el papá de las niñas-.
En arrivant chez le procureur, une pensée lui traversa l'esprit ce qui la rendit toute hébétée et avant de faire demi-tour, elle dit à voix basse: - si je porte plainte contre lui, il va savoir que c'est le papa des filles.
Llegando a la Fiscalía, la asaltó un pensamiento que la dejó fría y antes de devolverse dijo en voz baja: - si lo denuncio va a saber que es el papá de las niñas-.
En arrivant chez le procureur [majuscule ? Vérifie], une pensée lui traversa l'esprit [pas ce que dit la V.O.] ce qui la rendit toute hébétée [idem] et avant de faire demi-tour, elle dit à voix basse[espace avant les signes de ponctuation forts]: - si je porte plainte contre lui, il va savoir que c'est [« qu'il est » ?] le papa des filles.
*procureur: déjà vérifié (cf supra.)
*Chez Maria Moliner, "dejar frio"
1: indiferente o no producirle impresion (écarté étant donné le contexte.)
2: dejar pasmado -> stupéfait- ébahi- médusé
Par extension, j'hésite entre:
-glaça le sang (pour garder l'idée de froid + peur)
-la figea (pour garder l'idée que l'action s'arrête + peur)
*asaltar: aparecer subitamente en la mente o en el espiritu
Llegando a la Fiscalía, la asaltó un pensamiento que la dejó fría y antes de devolverse dijo en voz baja: - si lo denuncio va a saber que es el papá de las niñas-.
En arrivant chez le procureur, il lui vint soudainement à l'esprit une pensée qui lui glaça le sang et avant de faire demi-tour, elle dit à voix basse : - si je porte plainte contre lui, il va savoir qu'il est le papa des filles.
Je me rends tout juste compte que tu es passée à l'as. Sache que cela arrive de temps en temps ; dans le flot des commentaires publiés chaque jour, il arrive que certains m'échappent. Lorsque tu vois que ça bouge sur le blog et pas chez toi, tu en déduis illico que je ne t'ai pas vue et tu repostes.
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Llegando a la Fiscalía, la asaltó un pensamiento que la dejó fría y antes de devolverse dijo en voz baja: - si lo denuncio va a saber que es el papá de las niñas-.
En arrivant chez le procureur, il lui vint soudainement à l'esprit [plus fort en V.O.] une pensée qui lui glaça le sang et avant de faire demi-tour [pas dans le sens de « se retourner » ?], elle dit à voix basse : - si je porte plainte contre lui, il va savoir qu'il est le papa [« père » ?] des filles [« petites » ? Comme tu veux].
Ok! ;)
Volverse je le vois dans le sens où la peur fait qu'elle renonce à son projet de plainte et qu'elle fait donc demi-tour.
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Llegando a la Fiscalía, la asaltó un pensamiento que la dejó fría y antes de devolverse dijo en voz baja: - si lo denuncio va a saber que es el papá de las niñas-.
En arrivant chez le procureur, elle fut saisie par une pensée qui lui glaça le sang et avant de faire demi-tour, elle dit à voix basse : - Si je porte plainte contre lui, il va savoir qu'il est le père des petites.
Llegando a la Fiscalía, la asaltó un pensamiento que la dejó fría y antes de devolverse dijo en voz baja: - si lo denuncio va a saber que es el papá de las niñas-.
En arrivant chez le procureur, elle fut saisie par une pensée qui lui glaça le sang et avant de faire demi-tour, elle dit à voix basse : - Si je porte plainte contre lui, il va savoir qu'il est le père des petites.
OK.
Tu veux enchaîner avec un texte de Basta ! Venezuela.
Réponse en MP. ;)
Dans la version finale, je crois qu'il y a des espaces en trop ou qui manquent:
lui. Ce
voisine.Alors
sinistre. Ensuite
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