mercredi 7 juin 2017

Projet Elsa / Sabrina – phrases 10-16

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Traduction temporaire :

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Elle serrait des chrysanthèmes en tissu contre sa poitrine. Envisager qu'il s'agissait du Jugement Dernier et que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés, l'inquiétait. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, en lui prenant son bouquet des mains. Moi, je te pardonne. J'ai enlacé sa taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de la possibilité de la toucher, je l'ai invitée à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

28 commentaires:

Anonyme a dit…

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui préciser combien exactement. C'était une très belle femme, charnue, avec une lueur de crainte dans la pupille. Contre sa poitrine, elle serrait quelques chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse du Jugement Final, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant son bouquet, moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher, je l'ai invité à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Unknown a dit…

Voici ma proposition, que je mets entre crochets sur la proposition de Sabrina :

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui préciser combien exactement [sans lui donner de précisions] . C'était une très belle femme, charnue, avec une lueur de crainte dans la pupille [dans le regard]. Contre sa poitrine, elle serrait quelques [des] chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse du Jugement Final [Jugement Dernier], que personne ne la [lui] pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant son bouquet, moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher, je l'ai invité à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Tradabordo a dit…

Mettez-vous d'accord pour me proposer une seule version de cette section.

Unknown a dit…

Sabrina, voici ce que je propose, en reprenant des solutions à toi :

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précisions. C'était une très belle femme, charnue, avec une lueur de crainte dans le regard. Contre sa poitrine, elle serrait des chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse du Jugement Dernier, que personne ne lui pardonne ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant son bouquet, moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher, je l'ai invitée à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Tradabordo a dit…

Sabrina, lis tout ça et vois si tu es ok pour que je parte de cette base pour commenter.

Anonyme a dit…

Parfait, Elsa, je suis d'accord avec toi pour les 4 premières parenthèses :). Evidemment, "Jugement Dernier", merci :)
Que pensez-vous de la cheville "davantage de précisons" ?
Pour "pardonner", je crois que le COD est bien la femme et non pas ses nombreux péchés. Et c'est d'ailleurs pour cette même raison qu'on a ensuite "je te pardonne", je pense. C'est pourquoi, je laisserais "la" et ne mettrais pas "lui pardonner".

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner davantage de précisions. C'était une très belle femme, charnue, avec une lueur de crainte dans le regard. Contre sa poitrine, elle serrait des chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse du Jugement Dernier, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant son bouquet, moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher, je l'ai invité à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Tradabordo a dit…

Elsa ? + fais la synthèse pour me proposer une version encore plus commune :-) – que je n'ai plus qu'à évaluer le résultat.

Unknown a dit…

Sabrina : avant d'arrêter une version commune : que penses-tu d'une dernière petite modification : je l'ai invité à étancher sa soif et calmer sa faim de tant d'années. ??

Anonyme a dit…

Je m'étais interrogée sur le possessif et finalement, je m'étais dit que c'était moins lourd avec un article défini et tout aussi compréhensible car avant, on a "je L'ai invité à étancher". Ca te semble moins naturel ou ambigu, Elsa ?

Unknown a dit…

Alors ok pour moi...

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner davantage de précisions. C'était une très belle femme, charnue, avec une lueur de crainte dans le regard. Contre sa poitrine, elle serrait des chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse du Jugement Dernier, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant son bouquet, moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher, je l'ai invité à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Unknown a dit…

laissons comme ça pour Caroline alors....

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner davantage de précisions. C'était une très belle femme, charnue, avec une lueur de crainte dans le regard. Contre sa poitrine, elle serrait des chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse du Jugement Dernier, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant son bouquet, moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher, je l'ai invité à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Tradabordo a dit…

Remettez-moi aussi l'espagnol.

Anonyme a dit…

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner davantage de précisions. C'était une très belle femme, charnue, avec une lueur de crainte dans le regard. Contre sa poitrine, elle serrait des chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse du Jugement Dernier, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant son bouquet, moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher, je l'ai invité à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Unknown a dit…

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.


Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner davantage de précisions. C'était une très belle femme, charnue, avec une lueur de crainte dans le regard. Contre sa poitrine, elle serrait des chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse du Jugement Dernier, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant son bouquet, moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher, je l'ai invité à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Tradabordo a dit…

Je prends la première trad proposée – j'imagine que vous avez harmonisé.

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner davantage de précisions [est-ce que vous ne vous éloignez pas trop de la V.O. ?]. C'était une très belle femme, charnue [ça se dit pour une bouche, mais pour l'ensemble ? « Bien en chair » ?], avec une lueur de crainte [ou adjectif ?] dans le regard.

Faisons déjà cela.

Anonyme a dit…

J'avais aussi pensé à "bien en chair", mais j'ai l'impression (très personnelle !) que cette expression veut dire qu'elle avait pas mal de kilos en trop. Or ici, c'est juste qu'elle a des formes généreuses. J'avais pensé à "pulpeuse" aussi, mais là encore, dans mon imaginaire, ça ne correspond pas :p.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui préciser combien. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard.

Tradabordo a dit…

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui préciser combien. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard.

OK.

Elsa ?

Unknown a dit…

Ok sauf pour "combien" : on l a dans la phrase d avant. C est pour ça que "sans lui donner de precision" était une bonne option, non??

Tradabordo a dit…

OK. Remettez l'ensemble.

Sabrina a dit…

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Contre sa poitrine, elle serrait des chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse du Jugement Dernier, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant son bouquet, moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher, je l'ai invité à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Tradabordo a dit…

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Contre sa poitrine [ou à la fin de la phrase ? Je me demande si ce ne serait pas plus fluide…], elle serrait des chrysanthèmes en tissu. Elle était inquiète qu'il s'agisse [pas très naturel…] du Jugement Dernier, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, lui ôtant [« en lui prenant » ?] son bouquet, [point ?] moi, je te pardonne. Je l'ai enlacée à [« par » ? Vérifiez] la taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de pouvoir la toucher [manque de fluidité], je l'ai invité [féminin ?] à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Sabrina a dit…

Et avec la cheville "en lui prenant son bouquet des mains"?
Je viens de chercher et on dit juste "enlacer la taille".
"− En partic. Prendre, serrer dans ses bras; passer un bras autour de la taille ou du cou, pour marquer son amour, son affection (en accompagnant éventuellement ce geste de baisers). Enlacer qqn entre, de ses bras; enlacer la taille de qqn; enlacer qqn par le cou. (Quasi-)synon. embrasser, étreindre."
Elsa avait corrigé mon erreur d'accord pour "invité", c'est moi qui ai copié-collé ma faute, désolée :p
Ok pour le reste, merci :)

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Elle serrait des chrysanthèmes en tissu contre sa poitrine. Elle était inquiète d'assister à son Jugement Dernier, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, en lui prenant son bouquet des mains. Moi, je te pardonne. J'ai enlacé sa taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de la possibilité de la toucher, je l'ai invitée à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Tradabordo a dit…

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Elle serrait des chrysanthèmes en tissu contre sa poitrine. Elle était inquiète d'assister à son Jugement Dernier [« Envisager qu'il s'agissait de… l'inquiétait » ?], que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, en lui prenant son bouquet des mains. Moi, je te pardonne. J'ai enlacé sa taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de la possibilité de la toucher, je l'ai invitée à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Unknown a dit…

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Elle serrait des chrysanthèmes en tissu contre sa poitrine. Envisager qu'il s'agissait de son Jugement Dernier, que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés, l'inquiétait. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, en lui prenant son bouquet des mains. Moi, je te pardonne. J'ai enlacé sa taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de la possibilité de la toucher, je l'ai invitée à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Tradabordo a dit…

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Elle serrait des chrysanthèmes en tissu contre sa poitrine. Envisager qu'il s'agissait de son [ou « du » ?] Jugement Dernier, [« et » à la place de la virgule ?] que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés, l'inquiétait. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, en lui prenant son bouquet des mains. Moi, je te pardonne. J'ai enlacé sa taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de la possibilité de la toucher, je l'ai invitée à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Unknown a dit…

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Elle serrait des chrysanthèmes en tissu contre sa poitrine. Envisager qu'il s'agissait du Jugement Dernier et que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés, l'inquiétait. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, en lui prenant son bouquet des mains. Moi, je te pardonne. J'ai enlacé sa taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de la possibilité de la toucher, je l'ai invitée à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

Tradabordo a dit…

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Elle serrait des chrysanthèmes en tissu contre sa poitrine. Envisager qu'il s'agissait du Jugement Dernier et que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés, l'inquiétait. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, en lui prenant son bouquet des mains. Moi, je te pardonne. J'ai enlacé sa taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de la possibilité de la toucher, je l'ai invitée à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.

OK.

Sabrina ?

Sabrina a dit…

Désolée pour le retour tardif... Tout est ok pour moi :)

No demasiado, le respondí, sin aclararle cuánto. Era una mujer muy bella, de carne generosa, con una llama de temor en la pupila. Contra su pecho estrujaba unos crisantemos de tela. Le preocupaba que éste fuera el Juicio Final, que nadie la fuera a perdonar por sus muchos pecados. No te apures, susurré, quitándole el ramo, yo te perdono. La ceñí por la cintura y descorchamos la champaña. A cambio de que me escuchara y de poder tocarla, le ofrecí saciar la sed y el hambre de tantos años.

Pas tellement, lui ai-je répondu, sans lui donner de précision. C'était une très belle femme, aux formes généreuses, avec une lueur craintive dans le regard. Elle serrait des chrysanthèmes en tissu contre sa poitrine. Envisager qu'il s'agissait du Jugement Dernier et que personne ne la pardonne de ses nombreux péchés, l'inquiétait. Ne t'en fais pas, lui ai-je murmuré, en lui prenant son bouquet des mains. Moi, je te pardonne. J'ai enlacé sa taille et nous avons débouché le champagne. En échange de son écoute et de la possibilité de la toucher, je l'ai invitée à étancher la soif et calmer la faim de tant d'années.