mardi 22 août 2017

Projet Basta ! Danny – texte 3

VIOLETA ROJO


DOS PELÍCULAS


Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperan- do entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranqui- lice. Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se discul- pó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo. Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente. Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Traduction temporaire :

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble lasse. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer. Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Je suis le seul à les regarder. Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais je suis le seul à les remarquer, moi, voyeur invétéré. Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais nul ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

62 commentaires:

Unknown a dit…

VIOLETA ROJO

DOS PELÍCULAS

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperan- do entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranqui- lice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à la Havane. Plus de cent personnes atten- dant d'entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, est déchaîné, elle, lassée. Il crie et elle lui dit froidement de se cal- mer.

Tradabordo a dit…

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperan- do entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranqui- lice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à la Havane. Plus de cent personnes attendant d'entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, est déchaîné, elle, lassée [mal dit ici]. Il crie et elle lui dit froidement [pas ce que dit la V.O.] de se calmer.

Unknown a dit…

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperan- do entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranqui- lice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes atten- dant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble éreintée. Il crie et elle, lui dit avec indifférence de se cal- mer.

Tradabordo a dit…

Les mots avec tirets sont des coquilles… Supprimez. Je l'ai fait dans la section précédente en pesant que vous le verriez.

***

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperan- do entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranqui- lice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes atten- dant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble éreintée [FS]. Il crie et elle, [supprimez la virgule] lui dit avec indifférence de se calmer.

Unknown a dit…

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperando entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranquilice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble excédée. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer.

Tradabordo a dit…

Blogger Danny Moro a dit...

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperando entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranquilice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble excédée [FS]. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer.

Unknown a dit…

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperando entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranquilice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble contrariée. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer.

Tradabordo a dit…



Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperando entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranquilice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble contrariée [FS]. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer.

Unknown a dit…

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperando entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranquilice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble lassée. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer.

Tradabordo a dit…

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperando entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranquilice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble lassée [« lasse » ; pas tout à fait la même chose]. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer.

Unknown a dit…

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperando entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranquilice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble lasse. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer.

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se discul- pó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il braille encore du fait qu’elle ne prend soin de rien, qu’elle conduit mal, car elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’en ai même pas excusé. Exaspéré par sa propre rage, il lui donne une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Unknown a dit…

Festival de Cine en La Habana. Más de cien personas esperando entrar. Una pareja a mi lado discute. Él está frenético, ella aburrida. Él grita, ella le dice con indiferencia que se tranquilice.

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble lasse. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer.

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se discul- pó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il braille encore du fait qu’elle ne prend soin de rien, qu’elle conduit mal, car elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’en est même pas excusé. Exaspéré par sa propre rage, il lui donne une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Tradabordo a dit…

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble lasse. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer.

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se discul- pó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il braille encore [pas ce qui est dit] du fait qu’[brailler du faut : incorrect]elle ne prend soin de rien [CS dans ce contexte ?],

qu’elle conduit mal, car elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’en ai même pas excusé. Exaspéré par sa propre rage, il lui donne une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Unknown a dit…

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il ne cesse de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, car elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’en est même pas excusée. Exaspéré par sa propre rage, il lui donne une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Tradabordo a dit…

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il ne cesse de [pas ce que dit la V.O.]

brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, car elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’en est même pas excusée. Exaspéré par sa propre rage, il lui donne une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Unknown a dit…

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, car elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’en est même pas excusée. Exaspéré par sa propre rage, il lui donne une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Tradabordo a dit…

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, car [texte] elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’en [« en » ?] est même pas excusée. Exaspéré par sa propre rage [« colère » ?], il lui donne une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble [« pour » ? J'hésite] voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Unknown a dit…

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui donne une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

[Je vous mets la suite, si c'est bon pour vous, comme ça on enchaîne.]

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, à la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils hurlent et ils hurlent. Des milliers de personnes les entourent, mais personne ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Tradabordo a dit…

Ne mettez pas la suite dans que ça n'est pas validé… entre autre raisons parce qu'il faut que chaque commentaire concerne un fragment du texte, point. Sinon, après, ce sera la confusion, a fortiori s'il reste des choses dans ce qui est en cours. Faisons comme font tous les autres :-)

***

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui donne [« flanque » ? Comme vous voulez] une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Unknown a dit…

Ok, ça marche.

Unknown a dit…

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Tradabordo a dit…



Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

OK.

Unknown a dit…

VIOLETA ROJO

DEUX FILMS

Festival du cinéma à La Havane. Plus de cent personnes attendant d’entrer. Un couple à côté de moi se dispute. Lui, il est déchaîné et elle, semble lasse. Il crie et elle lui dit avec indifférence de se calmer. Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.
***

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de personas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, à la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils hurlent et ils hurlent. Des milliers de personnes les entourent, mais personne ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Tradabordo a dit…

Pas besoin de reprendre le bout des parties dont je dis OK – je les colles à mesure dans le post.

***

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de personas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, [« c'est »] comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, à [non] la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils hurlent et ils hurlent [Ils crient, encore et encore ?]. Des milliers de personnes les entourent, mais personne [vous ne pouvez pas répéter « personne » ici] ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Unknown a dit…


Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de personas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de personnes les entourent, mais les gens ne semblent pas les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Tradabordo a dit…

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de personas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de personnes les entourent, mais les gens [passez par « nul » ou « aucune »] ne semblent pas les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Unknown a dit…

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de personas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de personnes les entourent, mais nul ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Tradabordo a dit…

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de personas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de personnes les entourent, mais nul ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

OK.

Unknown a dit…

 Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie parece notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo

Il s'excite progressivement de plus belle jusqu'à lui donner une taloche. Le son du coup réverbère, mais pas un ne semble y prêter attention. Les pigeons ne prennent pas non plus leur envol.

Tradabordo a dit…

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie parece notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo

Il s'excite progressivement de plus belle [charabia :-)] jusqu'à lui donner une taloche. Le son du coup réverbère, mais pas un ne semble y prêter attention. Les pigeons ne prennent pas non plus leur envol.

Unknown a dit…

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie parece notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo

Il continue de s'exciter de plus en plus jusqu'à lui donner une taloche. Le son du coup réverbère, mais pas un ne semble y prêter attention. Les pigeons ne prennent pas non plus leur envol.

Tradabordo a dit…

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie parece notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo

Il continue de [pourquoi passer par « continuer » ? Ça complique tout] s'exciter [« s'échauffe »] de plus en plus [virgule] jusqu'à lui donner une taloche [registre + pas très adapté dans ce contexte]. Le son du coup réverbère [très maladroit], mais pas un ne semble y prêter attention [pas exactement ce que dit la V.O.]. Les pigeons ne prennent pas non plus [pas ce que dit la V.O.] leur envol.

Unknown a dit…

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais pas un ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Unknown a dit…


Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie parece notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais pas un ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Tradabordo a dit…

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie parece notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais pas un [vraiment pas naturel ; le contournement de « personne » / est-ce que ça marche avec « aucun » ? Essayez et dites-moi] ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Unknown a dit…

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie parece notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais aucun [d'entre eux ??] ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

["aucun" tel quel fonctionne, ça reste vieilli et littéraire d'après le CNRTL, mais même moi ça m'interpelle..., si on peut ajouter "d'entre eux", ça me parle mieux, qu'en penses-tu ? Sinon je laisse avec "aucun"].

Tradabordo a dit…

Il faut surtout récupérer « personne » de la section d'avant et changer. Du coup, remettez ici tout le bloc…

Unknown a dit…

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de personnes les entourent, mais nul [on met ``personne`` ici, c'est ça ??]ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais [aucun] ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Tradabordo a dit…

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de personnes les entourent, mais nul [on met ``personne`` ici, c'est ça ??]ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais [aucun ///// C'est là que j'ai besoin de « personne » ; donc, vous changez plus haut] ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Unknown a dit…

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de personnes [d'individus ??] les entourent, mais nul ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais personne ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Tradabordo a dit…

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de personnes [d'individus ?? / gens] les entourent, mais nul ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais personne [donc, je rappelle ce qu'on cherche : à ne pas avoir « personne » ici, alors que vous l'avez plus haut] ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Unknown a dit…

Ah mince ! J'avais mal compris, je corrige ça !! :)

Unknown a dit…

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais nul ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais aucun ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Tradabordo a dit…

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais nul [aucun ici et nul dessous] ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais aucun ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Unknown a dit…

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais aucun ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais nul ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Tradabordo a dit…

Personne [dites-moi juste ce qu'il y avait avant cette phrase…] ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais aucun ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais nul ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Unknown a dit…

Il faut tous les changer ? Parce que ce n'est pas ce qu'on s'était dit au départ. Je veux bien changer, varier, etc. Mais n'est-ce pas une volonté de l'auteur d'insister, de répéter ?
Vous me dites, en attendant je réfléchis à comment tourner ça différemment au cas où :)

Tradabordo a dit…

Répondez juste à ma question : qu'y avait-il avant cette section ?

Unknown a dit…

Voici Le fragment précédent :

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Tradabordo a dit…

Donc, maintenant, collez ça + la suite… pour qu'on se rende compte d'où et comment sont positionnés les éléments qui se répètent.

Unknown a dit…

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Personne ne les regarde, sauf moi.

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais aucun ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais nul ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Tradabordo a dit…

Pour le premier « personne », mettez : je suis le seul à……………

Unknown a dit…

Él sigue bramando que ella no cuida nada, que maneja mal, que cayó en un hueco con el carro y ni siquiera se disculpó. Exasperado por su propia ira, él le da un bofetón. En ese momento dan sala y entran juntos a ver la película. Nadie los mira sino yo.

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Je suis le seul à les regarder.

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais aucun ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

Él se va alterando cada vez más hasta que le da una bofetada. El sonido del golpe reverbera, pero nadie pare- ce notarlo. Ni siquiera las palomas levantan vuelo.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais nul ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Unknown a dit…

J'ai un petit doute. Ne sachant pas depuis le début s'il s'agit d'un homme ou d'une femme qui les observe, est-ce Violetta rojo qui raconte son histoire ? Dans ce cas il faudra mettre '' je suis la seule à les regarder''.
Idem pour ''voyeur impertinente'' qu'il faudra changer dans ce cas...

Tradabordo a dit…

On finira le texte et on reviendra sur la question du genre. Vous m'y ferez penser.

***

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Je suis le seul à les regarder.

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais aucun ne semble les remarquer, excepté moi, voyeur invétéré.

[ici, on va faire comme en V.O. ; assumer la répétition avec « Je suis le seul »]

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais nul ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Unknown a dit…

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Je suis le seul à les regarder.

Nadie percibe nada, como si no hubiera pasado. Años después en la Plaza San Marcos, una pareja discute en una lengua incomprensible. Gritan y gritan. Miles de perso- nas los rodean y nadie parece percatarse, solo yo, voyeur impenitente.

Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais je suis le seul à les remarquer, moi, voyeur invétéré.

Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais nul ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

Tradabordo a dit…

Il continue de brailler qu'elle ne fait attention à rien, qu’elle conduit mal, qu'elle est tombée dans un fossé avec la voiture et ne s’est même pas excusée. Exaspéré par sa propre colère, il lui flanque une gifle. À ce moment-là, on ouvre la salle et ils entrent ensemble pour voir le film. Je suis le seul à les regarder.
Personne ne s'aperçoit de rien, c'est comme s'il ne s'était rien passé. Des années après, sur la Plaza San Marcos, un couple se dispute dans une langue incompréhensible. Ils crient, encore et encore. Des milliers de gens les entourent, mais je suis le seul à les remarquer, moi, voyeur invétéré.
Il s'échauffe de plus en plus, jusqu'à lui mettre une baffe. Le son du coup résonne, mais nul ne semble s'en rendre compte. Même les pigeons ne prennent pas leur envol.

OK.

Unknown a dit…

Très bien. Le texte est fini. Il faut qu'on revienne sur la question du genre avant de le valider totalement :)
Une fois fini, je vous remets la mise en page, etc ?

Tradabordo a dit…

Oui, alors… qu'en pensez-vous pour cette histoire de genre ?

Unknown a dit…

Eh bien j'ai laissé au masculin n'ayant pas l'identité du narrateur personnage, mais j'me suis demandé s'il ne s'agissait pas d'un micro récit autobiographique (un fragment de sa vie) et dans ce cas il faudra mettre du féminin. Vous en savez peut-être plus à ce sujet ?

Tradabordo a dit…

C'est surtout qu'écrit par une femme dans un projet collectif de dénonciation de la violence de genre, il est sans doute plus habile de mettre au féminin et de ne pas partir du principe que faute d'info pour trancher, on met le masculin… Je vous laisse tout remettre au féminin. Et envoyez-moi ça par mail.

Unknown a dit…

Je suis d'accord :) je vous fais ça ce soir :)