MARÍA GABRIELA ROSAS
PLEGARIA
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árbo- les y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches. Llévate la casa con sus cerraduras. Devuélveme la ropa que me gusta y el cuero cabelludo. Déjame ir. Ten piedad, esta única vez, y vive la vida que deseas, sus renco- res, su odio y su violencia, sin mí. Golpea fuerte tu cara contra el piso, maquilla la tristeza tanto como puedas, vive un poco de mi vida contigo por un día. Entérate de que el hombre en esta historia no es valiente, ni amable, ni bueno. Entiende, cobarde, las lágrimas y los gritos nunca fueron de placer, ni fueron tu- yos. Y deja antes de irte las tijeras, no quiero ver más sangre en ellas. No quiero que me falten las agallas.
PLEGARIA
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árbo- les y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches. Llévate la casa con sus cerraduras. Devuélveme la ropa que me gusta y el cuero cabelludo. Déjame ir. Ten piedad, esta única vez, y vive la vida que deseas, sus renco- res, su odio y su violencia, sin mí. Golpea fuerte tu cara contra el piso, maquilla la tristeza tanto como puedas, vive un poco de mi vida contigo por un día. Entérate de que el hombre en esta historia no es valiente, ni amable, ni bueno. Entiende, cobarde, las lágrimas y los gritos nunca fueron de placer, ni fueron tu- yos. Y deja antes de irte las tijeras, no quiero ver más sangre en ellas. No quiero que me falten las agallas.
Traduction temporaire :
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Emmène la maison loin de là, loin de la maison dont je rêve, celle que je veux, avec les portes et les fenêtres grandes ouvertes, avec la paix des arbres et des oiseaux, et la nuit, avec une belle vue sur la lune. Emmène la maison avec ses serrures. Rends-moi les vêtements que j’aime et mon cuir chevelu. Laisse-moi partir. Aie pitié de moi, cette seule et unique fois, et vis la vie que tu désires, ses rancœurs, sa haine et sa violence, sans moi. Frappe fort ton visage contre le sol, maquille la tristesse autant que tu le pourras, vis un peu de ma vie avec toi pendant un jour. Apprends que dans cette histoire, l’homme n’est ni vaillant ni aimable ni bon. Comprends espèce de lâche : les larmes et les cris n’ont jamais été la marque du plaisir et ils ne t’ont pas appartenus. Et avant de partir, laisse les ciseaux, je ne veux plus voir de sang dessus. Je ne veux pas manquer de courage.
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Emmène la maison loin de là, loin de la maison dont je rêve, celle que je veux, avec les portes et les fenêtres grandes ouvertes, avec la paix des arbres et des oiseaux, et la nuit, avec une belle vue sur la lune. Emmène la maison avec ses serrures. Rends-moi les vêtements que j’aime et mon cuir chevelu. Laisse-moi partir. Aie pitié de moi, cette seule et unique fois, et vis la vie que tu désires, ses rancœurs, sa haine et sa violence, sans moi. Frappe fort ton visage contre le sol, maquille la tristesse autant que tu le pourras, vis un peu de ma vie avec toi pendant un jour. Apprends que dans cette histoire, l’homme n’est ni vaillant ni aimable ni bon. Comprends espèce de lâche : les larmes et les cris n’ont jamais été la marque du plaisir et ils ne t’ont pas appartenus. Et avant de partir, laisse les ciseaux, je ne veux plus voir de sang dessus. Je ne veux pas manquer de courage.
38 commentaires:
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árboles y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches.
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Éloigne de moi cette maison, loin de la maison dont je rêve, celle que je veux avec les portes et les fenêtres bien ouvertes, avec la paix des arbres et des oiseaux, avec une belle vue sur la lune pendant les nuits.
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árboles y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches.
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Éloigne de moi cette maison [est-ce vraiment ce que dit la V.O. ?], loin de la maison dont je rêve, celle que je veux [virgule] avec les portes et les fenêtres bien ouvertes [il y a une expression], avec la paix des arbres et des oiseaux, avec une belle vue sur la lune pendant les nuits [simplifie la fin].
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árboles y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches.
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Éloigne de moi cette maison [est-ce vraiment ce que dit la V.O. ?//non, mais je ne trouvais pas trop d’options…Emporte/emmène la maison loin ?], loin de la maison dont je rêve, celle que je veux, avec les portes et les fenêtres ouvertes à tous les vents, avec la paix des arbres et des oiseaux, avec une belle vue de nuit sur la lune.
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árboles y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches.
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Éloigne de moi cette maison [est-ce vraiment ce que dit la V.O. ?//non, mais je ne trouvais pas trop d’options…Emporte/emmène la maison loin ? /// Pour être près de la V.O. (or, là, je pense que le style est important pour rendre les sentiments), il vaut mieux : « Emmène la maison loin de là »], loin de la maison dont je rêve, celle que je veux, avec les portes et les fenêtres ouvertes à tous les vents [« grande ouverte » ; l'autre est bien, mais trop imagée par rapport à la V.O.], avec la paix des arbres et des oiseaux, avec une belle vue de nuit sur la lune [syntaxe].
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árboles y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches.
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Emmène la maison loin de là, loin de la maison dont je rêve, celle que je veux, avec les portes et les fenêtres grande ouverte, avec la paix des arbres et des oiseaux, avec une belle vue sur la lune de nuit.
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árboles y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches.
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Emmène la maison loin de là, loin de la maison dont je rêve, celle que je veux, avec les portes et les fenêtres grande ouverte [pluriel, du coup], avec la paix des arbres et des oiseaux, avec une belle vue sur la lune de nuit [: avec, la nuit, une belle vue… ].
Au cas où, n'oublie pas que le texte 4 n'est pas tout à fait terminé.
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árboles y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches.
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Emmène la maison loin de là, loin de la maison dont je rêve, celle que je veux, avec les portes et les fenêtres grandes ouvertes, avec la paix des arbres et des oiseaux, avec la nuit, une belle vue sur la lune.
Llévate la casa lejos, lejos de la casa que sueño, la que quiero con las puertas y ventanas bien abiertas, con la paz de los árboles y los pájaros, con una buena vista de la luna por las noches.
MARÍA GABRIELA ROSAS
Prière
Emmène la maison loin de là, loin de la maison dont je rêve, celle que je veux, avec les portes et les fenêtres grandes ouvertes, avec la paix des arbres et des oiseaux, et la nuit, avec une belle vue sur la lune.
J'ai fait un petit changement. OK pour toi ?
OK
Llévate la casa con sus cerraduras. Devuélveme la ropa que me gusta y el cuero cabelludo.
Emmène la maison avec ses serrures. Rends-moi les vêtements que j’aime et le cuir chevelu.
Llévate la casa con sus cerraduras. Devuélveme la ropa que me gusta y el cuero cabelludo.
Emmène la maison avec ses serrures. Rends-moi les vêtements que j’aime et le [possessif ? J'hésite ; « mon » ? Ça dépend de l'interprétation que tu fais du texte…] cuir chevelu.
Llévate la casa con sus cerraduras. Devuélveme la ropa que me gusta y el cuero cabelludo.
Emmène la maison avec ses serrures. Rends-moi les vêtements que j’aime et mon cuir chevelu.
Emmène la maison avec ses serrures. Rends-moi les vêtements que j’aime et mon cuir chevelu.
OK.
Déjame ir. Ten piedad, esta única vez, y vive la vida que deseas, sus rencores, su odio y su violencia, sin mí.
Laisse-moi partir. Aie pitié de moi, cette unique fois, et vis la vie que tu désires, ses rancœurs, sa haine et sa violence, sans moi.
Déjame ir. Ten piedad, esta única vez, y vive la vida que deseas, sus rencores, su odio y su violencia, sin mí.
Laisse-moi partir. Aie pitié de moi, cette [cheville = seule et] unique fois, et vis la vie que tu désires, ses rancœurs, sa haine et sa violence, sans moi.
Déjame ir. Ten piedad, esta única vez, y vive la vida que deseas, sus rencores, su odio y su violencia, sin mí.
Laisse-moi partir. Aie pitié de moi, cette seule et unique fois, et vis la vie que tu désires, ses rancœurs, sa haine et sa violence, sans moi.
Déjame ir. Ten piedad, esta única vez, y vive la vida que deseas, sus rencores, su odio y su violencia, sin mí.
Laisse-moi partir. Aie pitié de moi, cette seule et unique fois, et vis la vie que tu désires, ses rancœurs, sa haine et sa violence, sans moi.
OK.
Golpea fuerte tu cara contra el piso, maquilla la tristeza tanto como puedas, vive un poco de mi vida contigo por un día.
Frappe avec force ton visage contre le plancher, maquille la tristesse autant que tu le pourras, vis un peu de ma vie avec toi pour un jour.
Golpea fuerte tu cara contra el piso, maquilla la tristeza tanto como puedas, vive un poco de mi vida contigo por un día.
Frappe avec force [littéral ?] ton visage contre le plancher [texte ?], maquille la tristesse autant que tu le pourras, vis un peu de ma vie avec toi pour [il y a mieux] un jour.
Golpea fuerte tu cara contra el piso, maquilla la tristeza tanto como puedas, vive un poco de mi vida contigo por un día.
Frappe fort ton visage contre le sol, maquille la tristesse autant que tu le pourras, vis un peu de ma vie avec toi durant un jour.
Golpea fuerte tu cara contra el piso, maquilla la tristeza tanto como puedas, vive un poco de mi vida contigo por un día.
Frappe fort ton visage contre le sol, maquille la tristesse autant que tu le pourras, vis un peu de ma vie avec toi durant [plus naturel avec « pendant » ; il ne faut pas hésiter à aller vers le plus simple] un jour.
Golpea fuerte tu cara contra el piso, maquilla la tristeza tanto como puedas, vive un poco de mi vida contigo por un día.
Frappe fort ton visage contre le sol, maquille la tristesse autant que tu le pourras, vis un peu de ma vie avec toi pendant un jour.
Golpea fuerte tu cara contra el piso, maquilla la tristeza tanto como puedas, vive un poco de mi vida contigo por un día.
Frappe fort ton visage contre le sol, maquille la tristesse autant que tu le pourras, vis un peu de ma vie avec toi pendant un jour.
OK.
Entérate de que el hombre en esta historia no es valiente, ni amable, ni bueno.
Apprends que l’homme dans cette histoire n’est pas vaillant, ni aimable, ni bon.
Entérate de que el hombre en esta historia no es valiente, ni amable, ni bueno.
Apprends que l’homme [place-le après] dans cette histoire n’est pas [« ni »] vaillant, ni aimable, ni bon.
Entérate de que el hombre en esta historia no es valiente, ni amable, ni bueno.
Apprends que dans cette histoire, l’homme n’est ni vaillant, ni aimable, ni bon.
Entérate de que el hombre en esta historia no es valiente, ni amable, ni bueno.
Apprends que dans cette histoire, l’homme n’est ni vaillant, ni aimable, ni bon.
OK.
Entiende, cobarde, las lágrimas y los gritos nunca fueron de placer, ni fueron tuyos.
Comprends, lâche : les larmes et les cris n’ont jamais été par plaisir et ils ne t’ont pas appartenus.
Entiende, cobarde, las lágrimas y los gritos nunca fueron de placer, ni fueron tuyos.
Comprends, [cheville : « espèce de » ?] lâche : les larmes et les cris n’ont jamais été par [« la marque du »] plaisir et ils ne t’ont pas appartenus.
Entiende, cobarde, las lágrimas y los gritos nunca fueron de placer, ni fueron tuyos.
Comprends, espèce de lâche : les larmes et les cris n’ont jamais été la marque du plaisir et ils ne t’ont pas appartenus.
Entiende, cobarde, las lágrimas y los gritos nunca fueron de placer, ni fueron tuyos.
Comprends, espèce de lâche : les larmes et les cris n’ont jamais été la marque du plaisir et ils ne t’ont pas appartenus.
OK.
Y deja antes de irte las tijeras, no quiero ver más sangre en ellas. No quiero que me falten las agallas.
Et laisse, avant de partir, les ciseaux, je ne veux pas voir plus de sang sur elles. Je ne veux pas manquer de courage.
Y deja antes de irte las tijeras, no quiero ver más sangre en ellas. No quiero que me falten las agallas.
Et laisse [mets-le après], avant de partir, les ciseaux, je ne veux pas voir plus de sang sur elles [avec « dessus », ça suffira]. Je ne veux pas manquer de courage.
Y deja antes de irte las tijeras, no quiero ver más sangre en ellas. No quiero que me falten las agallas.
Et avant de partir, laisse les ciseaux, je ne veux pas voir plus de sang dessus. Je ne veux pas manquer de courage.
Y deja antes de irte las tijeras, no quiero ver más sangre en ellas. No quiero que me falten las agallas.
Et avant de partir, laisse les ciseaux, je ne veux pas voir plus de sang dessus [tu ne crois pas que c'est juste : je ne veux plus voir de sang dessus ?]. Je ne veux pas manquer de courage.
Y deja antes de irte las tijeras, no quiero ver más sangre en ellas. No quiero que me falten las agallas.
Et avant de partir, laisse les ciseaux, je ne veux plus voir de sang dessus. Je ne veux pas manquer de courage.
Y deja antes de irte las tijeras, no quiero ver más sangre en ellas. No quiero que me falten las agallas.
Et avant de partir, laisse les ciseaux, je ne veux plus voir de sang dessus. Je ne veux pas manquer de courage.
OK.
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