mardi 22 janvier 2019

Projet Chloé 12 – phrases 173-183

Comencé a contarlos. Uno, dos, tres…doce. Al llegar al trece, al último que podía ver, sonreí. Celebré reconocerlo. Era el tipo que en la fiesta se la había pasado tomado de la mano de Roxana. De mi Roxana. «Te jodiste, calancón», dije para mí. Lo miré a los ojos. Me saludó elevando las cejas. Levanté mis cejas también. Era evidente que era mayor que nosotros. 

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

6 commentaires:

Chloé a dit…

Comencé a contarlos. Uno, dos, tres…doce. Al llegar al trece, al último que podía ver, sonreí. Celebré reconocerlo. Era el tipo que en la fiesta se la había pasado tomado de la mano de Roxana. De mi Roxana. «Te jodiste, calancón», dije para mí. Lo miré a los ojos. Me saludó elevando las cejas. Levanté mis cejas también. Era evidente que era mayor que nosotros.

Je commençai à les compter. Un, deux, trois…douze. Arrivé au treizième, au dernier que je pouvais voir, je souris. Je me félicitai de le reconnaître. C'était le gars qui avait passé la soirée en tenant la main de Roxana. De ma Roxana. « T'es baisé le mal foutu ! », me dis-je en mon for intérieur. Je le regardai dans les yeux. Il me salua en haussant les sourcils. Je haussai les miens de même. Il était évident qu'il était plus âgé que nous.

Tradabordo a dit…

Rétablis les espaces :D

Chloé a dit…

Comencé a contarlos. Uno, dos, tres…doce. Al llegar al trece, al último que podía ver, sonreí. Celebré reconocerlo. Era el tipo que en la fiesta se la había pasado tomado de la mano de Roxana. De mi Roxana. «Te jodiste, calancón», dije para mí. Lo miré a los ojos. Me saludó elevando las cejas. Levanté mis cejas también. Era evidente que era mayor que nosotros.

Je commençai à les compter. Un, deux, trois… douze. Arrivé au treizième, au dernier que je pouvais voir, je souris. Je me félicitai de le reconnaître. C'était le gars qui avait passé la soirée en tenant la main de Roxana. De ma Roxana. « T'es baisé le mal foutu ! », me dis-je en mon for intérieur. Je le regardai dans les yeux. Il me salua en haussant les sourcils. Je haussai les miens de même. Il était évident qu'il était plus âgé que nous.

Tradabordo a dit…

Comencé a contarlos. Uno, dos, tres…doce. Al llegar al trece, al último que podía ver, sonreí. Celebré reconocerlo. Era el tipo que en la fiesta se la había pasado tomado de la mano de Roxana. De mi Roxana. «Te jodiste, calancón», dije para mí. Lo miré a los ojos. Me saludó elevando las cejas. Levanté mis cejas también. Era evidente que era mayor que nosotros.

Je commençai à les compter. [deux points ?] Un, deux, trois… douze. Arrivé au treizième, au [« le » ?] dernier que je pouvais voir, je souris. Je me félicitai de le reconnaître. C'était le gars qui avait passé la soirée en tenant [mal dit] la main de Roxana. De ma Roxana. « T'es baisé le mal foutu ! » [gros manque de naturel], me dis-je en mon for intérieur. Je le regardai dans les yeux. Il me salua en haussant les sourcils. Je haussai les miens de même [manque de naturel]. Il était évident qu'il était plus âgé que nous [deux fois « était »].

Chloé a dit…

encé a contarlos. Uno, dos, tres…doce. Al llegar al trece, al último que podía ver, sonreí. Celebré reconocerlo. Era el tipo que en la fiesta se la había pasado tomado de la mano de Roxana. De mi Roxana. «Te jodiste, calancón», dije para mí. Lo miré a los ojos. Me saludó elevando las cejas. Levanté mis cejas también. Era evidente que era mayor que nosotros.

Je commençai à les compter : un, deux, trois… douze. Arrivé au treizième, le dernier que je pouvais voir, je souris. Je me félicitai de le reconnaître. C'était le gars qui avait passé la soirée à tenir la main de Roxana. De ma Roxana. « On t'a eu le mal foutu ! », me dis-je en mon for intérieur. Je le regardai dans les yeux. Il me salua en haussant les sourcils. Je fis pareil. Manifestement, il était plus âgé que nous.

Tradabordo a dit…

encé a contarlos. Uno, dos, tres…doce. Al llegar al trece, al último que podía ver, sonreí. Celebré reconocerlo. Era el tipo que en la fiesta se la había pasado tomado de la mano de Roxana. De mi Roxana. «Te jodiste, calancón», dije para mí. Lo miré a los ojos. Me saludó elevando las cejas. Levanté mis cejas también. Era evidente que era mayor que nosotros.

Je commençai à les compter : un, deux, trois… douze. Arrivé au treizième, le dernier que je pouvais voir, je souris. Je me félicitai de le reconnaître. C'était le gars qui avait passé la soirée à tenir la main de Roxana. De ma Roxana. « On t'a eu [virgule] le mal foutu [pas génial comme surnom] ! », me dis-je en mon for intérieur [je pense que ce sera mieux avec l'adverbe]. Je le regardai dans les yeux. Il me salua en haussant les sourcils. Je fis pareil [de même ?]. Manifestement, il était plus âgé que nous [je me demande si tu dis exactement la même chose].