Cuando llegó el café, como si se hubieran puesto de acuerdo con una seña, los tres me estrecharon la mano para felicitarme y decirme que estaban encantados de que fuera a pudrirme junto con ellos en esa ciudad perdida, sepultada por la nieve, y de compartir conmigo la alta tarea de enseñarles literatura a las legiones de bestias de caras atontadas por la cerveza y deditos siempre ocupados en el celular, que la institución no dejaría de servirme semestre a semestre, por el resto de mi vida.
Traduction temporaire :
À l'heure du café, comme s'étant mis d'accord d'un simple signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je vienne dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins dont la cervelle était abrutie par la bière et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner, semestre après semestre, pour le reste de mes jours.
À l'heure du café, comme s'étant mis d'accord d'un simple signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je vienne dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins dont la cervelle était abrutie par la bière et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner, semestre après semestre, pour le reste de mes jours.
11 commentaires:
À l'heure du café, comme s'ils s'étaient mis d'accord d'un signe, les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncer qu'ils étaient ravis que j'aille dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de bêtes aux visages abrutis par la bière et aux petits doigts accaparés par leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de me prodiguer semestre après semestre pour le reste de ma vie.
À l'heure du café, comme s'ils s'étaient mis d'accord d'un signe [naturel ? Peut-être est-ce à cause du « d'un »… J'ai beau relire, ça coince…], [« tous »] les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncer [passé simple] qu'ils étaient ravis que j'aille [mal dit ici] dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de bêtes [mal dit] aux visages [« têtes »] abrutis par la bière et aux petits doigts accaparés par leur portable [toute cette partie n'est pas très naturelle…], que l'institution n'arrêterait pas de me prodiguer [bof] semestre après semestre pour le reste de ma vie.
À l'heure du café, comme s'ils s'étaient mis d'accord d'un signe [naturel ? Peut-être est-ce à cause du « d'un »… J'ai beau relire, ça coince…], [« tous »] les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncer [passé simple] qu'ils étaient ravis que j'aille [mal dit ici] dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de bêtes [mal dit] aux visages [« têtes »] abrutis par la bière et aux petits doigts accaparés par leur portable [toute cette partie n'est pas très naturelle…], que l'institution n'arrêterait pas de me prodiguer [bof] semestre après semestre pour le reste de ma vie.
À l'heure du café, comme s'ils s'étaient mis d'accord en faisant un signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je dépérisse avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins aux têtes abrutis par la bière et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner semestre après semestre pour le reste de ma vie.
À l'heure du café, comme s'ils s'étaient [« s'étant »] mis d'accord en faisant un [« avec un (simple) »] signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je [« vienne »] dépérisse avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins aux têtes abrutis [« dont la tête était… »] par la bière et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner [virgule] semestre après semestre [virgule] pour le reste de ma vie [« de mes jours »].
À l'heure du café, comme s'ils s'étant mis d'accord avec un simple signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je vienne dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins aux têtes d'abrutis à cause de la bière [J'essaye comme ceci d'abord...] et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner, semestre après semestre, pour le reste de mes jours.
À l'heure du café, comme s'ils s'étant [?] mis d'accord avec [non, décidément, ton « d'un » est mieux] un simple signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je vienne dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins aux têtes d'abrutis à cause de la bière [J'essaye comme ceci d'abord... Pas de sens] et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner, semestre après semestre, pour le reste de mes jours.
À l'heure du café, comme s'étant mis d'accord d'un simple signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je vienne dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins dont la tête était abrutie par la bière et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner, semestre après semestre, pour le reste de mes jours.
À l'heure du café, comme s'étant mis d'accord d'un simple signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je vienne dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins dont la tête [« cervelle »] était abrutie par la bière et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner, semestre après semestre, pour le reste de mes jours.
À l'heure du café, comme s'étant mis d'accord d'un simple signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je vienne dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins dont la cervelle était abrutie par la bière et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner, semestre après semestre, pour le reste de mes jours.
À l'heure du café, comme s'étant mis d'accord d'un simple signe, tous les trois me serrèrent la main pour me féliciter et m'annoncèrent qu'ils étaient ravis que je vienne dépérir avec eux dans cette ville paumée, ensevelie sous la neige, et de partager avec moi l’honorable tâche d'apprendre la littérature aux légions de crétins dont la cervelle était abrutie par la bière et aux petits doigts affairés sur leur portable, que l'institution n'arrêterait pas de m'assigner, semestre après semestre, pour le reste de mes jours.
OK.
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