vendredi 31 octobre 2014

Projet Émilie 5 – phrases 179-188

La señora Ema se hizo un bollo contra la pared y se tapó los ojos, pero espió por entre los dedos. Vio una cabeza gris, un lomo peludo y dos brazos largos que se arrastraban por el piso. El perezoso caminaba despacio, balanceándose. Las manos terminaban en garras negras y filosas. Era un animal digno y triste como una tortuga sin caparazón. A la señora Ema le dio lástima, pero eso ni hizo que dejara de temerle. Entonces el perezoso le echó los brazos al cuello y se colgó sobre su pecho. La señora Ema estuvo a punto de gritar. El perezoso apoyó la cara en su hombro y se durmió. Sólo en ese momento la señora Ema comprendió que el perezoso era inofensivo y el alma le volvió al cuerpo.

Traduction temporaire :
Madame Ema se recroquevilla contre le mur et se cacha les yeux, n'en regardant pas moins entre ses doigts. Elle aperçut une tête grise, un dos velu et deux longs bras qui traînaient sur le sol. Le paresseux progressait doucement, en se balançant. Ses mains se terminaient par des griffes noires et effilées. C’était un animal digne et triste ressemblant à une tortue sans carapace. Il fit de la peine à madame Ema, ce qui ne l’empêcha pas d’en avoir toujours aussi peur. Le paresseux jeta alors ses bras autour de son cou et s’y suspendit, appuyé sur sa poitrine. Madame Ema faillit hurler. L’animal posa sa tête sur son épaule et s’endormit. C’est seulement à cet instant que madame Ema comprit que le paresseux était inoffensif et qu’elle put reprendre ses esprits.

6 commentaires:

Emilie a dit…

Madame Ema se recroquevilla contre le mur et se cacha les yeux, tout en épiant entre ses doigts. Elle vit une tête grise, un dos velu et deux longs bras qui traînaient sur le sol. Le paresseux avançait doucement, en se balançant. Ses mains se terminaient par des griffes noires et effilées. C’était un animal digne et triste comme une tortue sans carapace. Il fit de la peine à madame Ema, ce qui n’empêcha pas celle-ci d’en avoir toujours aussi peur. Le paresseux jeta alors ses bras à son cou et s’y suspendit, posé sur sa poitrine. Madame Ema faillit hurler. L’animal appuya sa tête sur son épaule et s’endormit. C’est seulement à cet instant que madame Ema comprit que le paresseux était inoffensif et qu’elle reprit ses esprits.

Tradabordo a dit…

Madame Ema se recroquevilla contre le mur et se cacha les yeux, tout en épiant [« n'en regardant mieux pas moins » ou quelque chose comme ça ?] entre ses doigts. Elle vit [« aperçut » ?] une tête grise, un dos velu et deux longs bras qui traînaient sur le sol. Le paresseux avançait [« progressait » – car je crois qu'on a déjà ?] doucement, en se balançant. Ses mains se terminaient par des griffes noires et effilées. C’était un animal digne et triste comme [dans le sens de « ressemblant à » ?] une tortue sans carapace. Il fit de la peine à madame Ema, ce qui n’empêcha pas celle-ci [simplifie] d’en avoir toujours aussi peur. Le paresseux jeta alors ses bras à [« autour » ?] son cou et s’y suspendit, posé sur [peu clair] sa poitrine. Madame Ema faillit hurler. L’animal appuya sa tête sur son épaule et s’endormit. C’est seulement à cet instant que madame Ema comprit que le paresseux était inoffensif et qu’elle reprit [« put reprendre » ?] ses esprits.

Emilie a dit…

Madame Ema se recroquevilla contre le mur et se cacha les yeux, tout en n'en regardant pas moins entre ses doigts. Elle aperçut une tête grise, un dos velu et deux longs bras qui traînaient sur le sol. Le paresseux progressait doucement, en se balançant. Ses mains se terminaient par des griffes noires et effilées. C’était un animal digne et triste ressemblant à une tortue sans carapace. Il fit de la peine à madame Ema, ce qui ne l’empêcha pas d’en avoir toujours aussi peur. Le paresseux jeta alors ses bras autour de son cou et s’y suspendit, en appui sur sa poitrine. Madame Ema faillit hurler. L’animal posa sa tête sur son épaule et s’endormit. C’est seulement à cet instant que madame Ema comprit que le paresseux était inoffensif et qu’elle put reprendre ses esprits.

Tradabordo a dit…

Madame Ema se recroquevilla contre le mur et se cacha les yeux, tout en [nécessaire ?] n'en regardant pas moins entre ses doigts. Elle aperçut une tête grise, un dos velu et deux longs bras qui traînaient sur le sol. Le paresseux progressait doucement, en se balançant. Ses mains se terminaient par des griffes noires et effilées [ou « aiguisées » ? Je ne sais pas trop…]. C’était un animal digne et triste ressemblant à une tortue sans carapace. Il fit de la peine à madame Ema, ce qui ne l’empêcha pas d’en avoir toujours aussi peur. Le paresseux jeta alors ses bras autour de son cou et s’y suspendit, en appui [bof] sur sa poitrine. Madame Ema faillit hurler. L’animal posa sa tête sur son épaule et s’endormit. C’est seulement à cet instant que madame Ema comprit que le paresseux était inoffensif et qu’elle put reprendre ses esprits.

Emilie a dit…

Madame Ema se recroquevilla contre le mur et se cacha les yeux, n'en regardant pas moins entre ses doigts. Elle aperçut une tête grise, un dos velu et deux longs bras qui traînaient sur le sol. Le paresseux progressait doucement, en se balançant. Ses mains se terminaient par des griffes noires et effilées [j'hésitais aussi, mais "aiguisées" fait + agressif, non ?]. C’était un animal digne et triste ressemblant à une tortue sans carapace. Il fit de la peine à madame Ema, ce qui ne l’empêcha pas d’en avoir toujours aussi peur. Le paresseux jeta alors ses bras autour de son cou et s’y suspendit, appuyé sur sa poitrine. Madame Ema faillit hurler. L’animal posa sa tête sur son épaule et s’endormit. C’est seulement à cet instant que madame Ema comprit que le paresseux était inoffensif et qu’elle put reprendre ses esprits.

Tradabordo a dit…

Madame Ema se recroquevilla contre le mur et se cacha les yeux, n'en regardant pas moins entre ses doigts. Elle aperçut une tête grise, un dos velu et deux longs bras qui traînaient sur le sol. Le paresseux progressait doucement, en se balançant. Ses mains se terminaient par des griffes noires et effilées. C’était un animal digne et triste ressemblant à une tortue sans carapace. Il fit de la peine à madame Ema, ce qui ne l’empêcha pas d’en avoir toujours aussi peur. Le paresseux jeta alors ses bras autour de son cou et s’y suspendit, appuyé sur sa poitrine. Madame Ema faillit hurler. L’animal posa sa tête sur son épaule et s’endormit. C’est seulement à cet instant que madame Ema comprit que le paresseux était inoffensif et qu’elle put reprendre ses esprits.

OK.