Y en Guilherme, que no dejaba de crecer, un futuro que le sonreía con los hoyuelos más hermosos y una perspectiva de la vida completamente nueva. El ciclo tranquilo que le ponían delante y que tendría que terminar a solas, era, después de todo, una promesa que aceptaba sin miedo ni alternativas. Era curiosamente un síntoma que –comprendía– formaba parte de la madurez, y que llegaba con sus pesados pies de hábitos silenciosos y pacientes, y que con ella el tiempo se suavizaba, elegía su ritmo y su propia forma.
Traduction temporaire :
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait avec de belles fossettes, ainsi que de toutes nouvelles perspectives. Le cycle tranquille qui s'ouvrait devant lui et au bout duquel il devrait aller seul était, en fin de compte, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – de ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, vêtus de silence et de patience, permettant au temps de s’apaiser, de choisir son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait avec de belles fossettes, ainsi que de toutes nouvelles perspectives. Le cycle tranquille qui s'ouvrait devant lui et au bout duquel il devrait aller seul était, en fin de compte, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – de ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, vêtus de silence et de patience, permettant au temps de s’apaiser, de choisir son rythme et sa propre forme.
12 commentaires:
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait jusqu’aux oreilles et une toute nouvelle perspective. La vie tranquille qui s’offrait à lui et qu’il devrait terminer seul était, après tout, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Il y voyait curieusement – d’après ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés de silence et de patience, et grâce à laquelle le temps s’apaisait, choisissait son rythme et sa propre forme.
Quelques incertitudes, tu verras...
Et en [lié à la phrase d'avant ? Je ne me souviens pas… mais il faut vérifier parce que la construction est évidemment très bizarre] Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait jusqu’aux oreilles et une toute nouvelle perspective.
La vie tranquille qui s’offrait à lui et qu’il devrait terminer seul était, après tout, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Il y voyait curieusement – d’après ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés de silence et de patience, et grâce à laquelle le temps s’apaisait, choisissait son rythme et sa propre forme.
Il avait trouvé en Nuria une épouse douce et conventionnelle, et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait jusqu’aux oreilles, ainsi qu'une toute nouvelle perspective.
La vie tranquille qui s’offrait à lui et qu’il devrait terminer seul était, après tout, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Il y voyait curieusement – d’après ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés de silence et de patience, et grâce à laquelle le temps s’apaisait, choisissait son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait jusqu’aux oreilles, ainsi qu'une toute nouvelle perspective. La vie [non, là, je ne pense pas que tu devrais reprendre la V.O. à ce point] tranquille qui s’offrait à lui et qu’il devrait terminer seul était, après tout, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Il y voyait curieusement – d’après ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés de silence et de patience, et grâce à laquelle le temps s’apaisait, choisissait son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait jusqu’aux oreilles, ainsi qu'une toute nouvelle perspective de vie. Le cycle tranquille qui s’offrait à lui et qu’il devrait terminer seul était, après tout, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – d’après ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés de silence et de patience, et grâce à laquelle le temps s’apaisait, choisissait son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait jusqu’aux oreilles [une expression en espagnol ou une création de l'auteur ?], ainsi qu'une toute nouvelle perspective de vie. Le cycle tranquille qui s’offrait à lui et qu’il devrait terminer seul était, après tout, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – d’après ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés de silence et de patience, et grâce à laquelle le temps s’apaisait, choisissait son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait avec de belles fossettes [une expression en espagnol ou une création de l'auteur ? // "sonreír con los hoyuelos" existe, même si peu d'occurrences sur google (2). Difficile de parler de création de l'auteur dans ce cas. Ceci dit, l'expression en français "sourire jusqu'aux oreilles" est très courante, ce qui crée un décalage avec le cas espagnol. Ton avis ?], ainsi qu'une toute nouvelle perspective de vie. Le cycle tranquille qui s’offrait à lui et qu’il devrait terminer seul était, après tout, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – d’après ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés de silence et de patience, et grâce à laquelle le temps s’apaisait, choisissait son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait avec de belles fossettes, ainsi qu'une toute nouvelle perspective de vie [ok… bon, supprime « de vie » et mets-le au pluriel]. Le cycle tranquille qui s’offrait à lui [ou « s'ouvrait devant lui » ? J'hésite] et qu’il devrait terminer [ou « et au bout duquel il devrait aller » ?] seul était, après tout [« en fin de compte »], une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – d’après ce [naturel ?] qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés [pourquoi le pluriel… Je suis paumée ; reprends déjà le début, que le panorama soit dégagé…] de silence et de patience, et grâce à laquelle le temps s’apaisait, choisissait son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait avec de belles fossettes, ainsi que de toutes nouvelles perspectives. Le cycle tranquille qui s'ouvrait devant lui et au bout duquel il devrait aller seul était, en fin de compte, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – de ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés [accord avec "pas", cf. la préposition dans "pies de hábitos..."] de silence et de patience, permettant au temps de s’apaiser, de choisir son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait avec de belles fossettes, ainsi que de toutes nouvelles perspectives. Le cycle tranquille qui s'ouvrait devant lui et au bout duquel il devrait aller seul était, en fin de compte, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – de ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, habillés [« vêtus » ? Comme tu veux] de silence et de patience, permettant au temps de s’apaiser, de choisir son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait avec de belles fossettes, ainsi que de toutes nouvelles perspectives. Le cycle tranquille qui s'ouvrait devant lui et au bout duquel il devrait aller seul était, en fin de compte, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – de ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, vêtus de silence et de patience, permettant au temps de s’apaiser, de choisir son rythme et sa propre forme.
Et en Guilherme, qui ne cessait de grandir, un futur qui lui souriait avec de belles fossettes, ainsi que de toutes nouvelles perspectives. Le cycle tranquille qui s'ouvrait devant lui et au bout duquel il devrait aller seul était, en fin de compte, une promesse qu’il acceptait sans crainte, ni faux-fuyants. Curieusement, il y voyait – de ce qu’il comprenait – un symptôme de maturité, arrivant à pas lourds, vêtus de silence et de patience, permettant au temps de s’apaiser, de choisir son rythme et sa propre forme.
OK.
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