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La noche lo sorprendió en un lugar sin nombre. Una pequeña casa se alzaba a pocos metros. Entró en ella y ahí se protegió de la baja temperatura. Al siguiente día, cuando las primeras luces lo despertaron, recorrió la casa. Los platos, los cubiertos, algunas tazas corroídas y llenas de polvo adornaban el centro de una mesa de madera. En el dormitorio, un viejo vestido antes rojo ahora decolorado por la luz del sol, se confundía con el color a tierra que impregnaba toda la habitación. El anciano miró desde la ventana el jardín abandonado que se mezclaba con el bosque. Aliaksei salió de la casa y reemprendió el viaje. “Estas eran tierras buenas”, pensó callando. “Nadezhda solía vivir por estas zonas. Pero Nadezhda ya no debe de vivir en estas zonas”.
Traduction temporaire :
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, se dressait une petite maison. Il y entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il parcourut les lieux : les assiettes, les couverts, quelques tasses rouillées et pleines de poussières agrémentaient le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, et à présent décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. À travers la vitre, le vieil homme regarda le jardin abandonné ne faire plus qu'un avec la forêt. Aliaksei sortit et se remit en route. « Ça, c’étaient de bonnes terres », se dit-il intérieurement. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais, désormais, elle ne doit plus s'y trouver ».
Traduction temporaire :
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, se dressait une petite maison. Il y entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il parcourut les lieux : les assiettes, les couverts, quelques tasses rouillées et pleines de poussières agrémentaient le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, et à présent décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. À travers la vitre, le vieil homme regarda le jardin abandonné ne faire plus qu'un avec la forêt. Aliaksei sortit et se remit en route. « Ça, c’étaient de bonnes terres », se dit-il intérieurement. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais, désormais, elle ne doit plus s'y trouver ».
8 commentaires:
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, il y avait une petite maison, où il entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il la parcourut : les assiettes, les couverts, quelques tasses oxydées et pleines de poussières décoraient le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. Le vieil homme regarda à travers la vitre le jardin abandonné, qui se confondait avec la forêt. Aliaksei sortit de la maison et reprit son chemin. « Ça, c’étaient des bonnes terres », se dit-il tout bas. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais Nadezhda n’y vit sans doute plus ».
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, il y avait [« se dressait » ?] une petite maison, où il [comme en V.O. : « Il y » // attention à la tentation de la réécriture gratuite] entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il la parcourut [« les lieux » ?] : les assiettes, les couverts, quelques tasses oxydées et pleines de poussières décoraient [bizarre, non ?] le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. Le vieil homme regarda à travers la vitre le jardin abandonné [syntaxe ?], qui se confondait avec la forêt. Aliaksei sortit de la maison [nécessaire ?] et reprit son chemin. « Ça, c’étaient des bonnes terres », se dit-il tout bas [texte ?]. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais Nadezhda n’y vit sans doute plus ».
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, se dressait une petite maison. Il y entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il parcourut les lieux : les assiettes, les couverts, quelques tasses oxydées et pleines de poussières agrémentaient le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. Le vieil homme regarda le jardin abandonné se confondre avec la forêt, à travers la vitre. Aliaksei sortit et reprit son chemin. « Ça, c’étaient des bonnes terres », pensa-t-il, sans mot dire. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais Nadezhda n’y vit sans doute plus ».
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, se dressait une petite maison. Il y entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il parcourut les lieux : les assiettes, les couverts, quelques tasses oxydées et pleines de poussières agrémentaient le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. Le vieil homme regarda le jardin abandonné se confondre avec la forêt, à travers la vitre [mets-le au début]. Aliaksei sortit et reprit son chemin [ou « se remit en marche / en route » ? Comme tu veux…]. « Ça, c’étaient des bonnes terres », pensa-t-il, sans mot dire [« se dit-il intérieurement » ?]. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais Nadezhda n’y vit sans doute plus ».
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, se dressait une petite maison. Il y entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il parcourut les lieux : les assiettes, les couverts, quelques tasses oxydées et pleines de poussières agrémentaient le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. À travers la vitre, le vieil homme regarda le jardin abandonné se confondre avec la forêt. Aliaksei sortit et se remit en route. « Ça, c’étaient des bonnes terres », se dit-il intérieurement. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais Nadezhda n’y vit sans doute plus ».
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, se dressait une petite maison. Il y entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il parcourut les lieux : les assiettes, les couverts, quelques tasses oxydées [« rouillées » ?] et pleines de poussières agrémentaient le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, [cheville : « et à présent » ou inutile ?] décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. À travers la vitre, le vieil homme regarda le jardin abandonné se confondre [« ne faire plus qu'un » ? J'hésite…] avec la forêt. Aliaksei sortit et se remit en route. « Ça, c’étaient des [« de » ?] bonnes terres », se dit-il intérieurement. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais Nadezhda n’y vit [répétition volontaire ?] sans doute plus ».
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, se dressait une petite maison. Il y entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il parcourut les lieux : les assiettes, les couverts, quelques tasses rouillées et pleines de poussières agrémentaient le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, et à présent décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. À travers la vitre, le vieil homme regarda le jardin abandonné ne faire plus qu'un avec la forêt. Aliaksei sortit et se remit en route. « Ça, c’étaient de bonnes terres », se dit-il intérieurement. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais, désormais, elle ne doit plus s'y trouver ».
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La nuit le surprit dans un lieu sans nom. À quelques mètres, se dressait une petite maison. Il y entra pour se protéger du froid. Le lendemain, lorsque les premières lumières le réveillèrent, il parcourut les lieux : les assiettes, les couverts, quelques tasses rouillées et pleines de poussières agrémentaient le centre de la table en bois. Dans la chambre, une vieille robe autrefois rouge, et à présent décolorée par les rayons du soleil, rappelait la couleur terre qui dominait. À travers la vitre, le vieil homme regarda le jardin abandonné ne faire plus qu'un avec la forêt. Aliaksei sortit et se remit en route. « Ça, c’étaient de bonnes terres », se dit-il intérieurement. « Nadezhda vivait dans les parages. Mais, désormais, elle ne doit plus s'y trouver ».
OK.
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