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“Abuelo” me dijo “¿El fuego se llevó a papá?”
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Natashenka lo tomó de la mano. “Por favor.” Pero Aliaksei estaba cansado. Habían pasado tres años desde la explosión de la planta y Varenska no había aparecido. “Los guardias no te dejarán pasar. La zona está muerta. No te puedes ir papá.” El anciano miró al lado de la cama la noticia de los periódicos. El gobierno soviético detenía la construcción de las unidades cuarta y quinta de la planta. “¿Sabes lo que significa volver ahí?” Su frente arrugada mostraba todavía algunas manchas rojas. Las mismas que a Anya nunca se le quitaron. “¿Sabes lo que significa?” murmuró. Fue entonces cuando Natashenka rompió a llorar.
Traduction temporaire :
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« Grand-père » m’interpella-t-elle. « Est-ce que le feu a emporté papa ? »
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Natashenka le prit par la main. « S’il te plaît ». Mais Aliaksei était fatigué. Trois années s’étaient écoulées depuis l’explosion de la centrale, et Varenska n'avait toujours pas reparu. « Les gardes-frontières ne te laisseront pas passer. La zone est morte. Tu ne peux pas y aller, papa ». Le vieil homme jeta un œil aux nouvelles dans les journaux à côté du lit. Le gouvernement soviétique interrompait la construction des unités quatre et cinq de la centrale. « Tu sais ce que ça veut dire de retourner là-bas ? » Son front ridé présentait encore quelques tâches rouges, les mêmes qu’Anya garda toute sa vie. « Tu sais ce que ça veut dire, hein ? » murmura-t-elle. C’est à ce moment–là que Natashenka éclata en sanglots.
4 commentaires:
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« Grand-père » m’interpella-t-elle. « Le feu a emporté papa ? »
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Natshenka le prit par la main. « S’il te plaît ». Mais Aliaksei était fatigué. Trois années s’étaient écoulées depuis l’explosion de la centrale, et Varenska n’était toujours pas apparu. « Les gardes-frontières ne te laisseront pas passer. La zone contaminée est morte. Tu ne peux pas y aller, papa ». Le vieil homme jeta un œil aux nouvelles, dans les journaux à côté du lit. Le gouvernement soviétique interrompait la construction des unités quatre et cinq de la centrale. « Tu sais ce que ça veut dire retourner là-bas ? » Son front ridé montrait encore quelques tâches rouges, les mêmes qu’Anya garda toute sa vie. « Tu sais ce que ça signifie ? » murmura-t-elle. C’est à ce moment que Natashenka éclata en sanglots.
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« Grand-père » m’interpella-t-elle. « [« est-ce que » ?] Le feu a emporté papa ? »
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Natshenka le prit par la main. « S’il te plaît ». Mais Aliaksei était fatigué. Trois années s’étaient écoulées depuis l’explosion de la centrale, et Varenska n’était toujours pas apparu [« n'avait toujours pas reparu » ?]. « Les gardes-frontières ne te laisseront pas passer. La zone contaminée [ajout nécessaire ?] est morte. Tu ne peux pas y aller, papa ». Le vieil homme jeta un œil aux nouvelles, [sans la virgule] dans les journaux à côté du lit. Le gouvernement soviétique interrompait la construction des unités quatre et cinq de la centrale. « Tu sais ce que ça veut dire [pourquoi tu changes ? La répétition est volontaire] retourner là-bas ? » Son front ridé montrait [« présentait »] encore quelques tâches rouges, les mêmes qu’Anya garda toute sa vie. « Tu sais ce que ça signifie ? » murmura-t-elle. C’est à ce moment[«–là] que Natashenka éclata en sanglots.
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« Grand-père » m’interpella-t-elle. « Est-ce que le feu a emporté papa ? »
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Natashenka le prit par la main. « S’il te plaît ». Mais Aliaksei était fatigué. Trois années s’étaient écoulées depuis l’explosion de la centrale, et Varenska n'avait toujours pas reparu. « Les gardes-frontières ne te laisseront pas passer. La zone est morte. Tu ne peux pas y aller, papa ». Le vieil homme jeta un œil aux nouvelles dans les journaux à côté du lit. Le gouvernement soviétique interrompait la construction des unités quatre et cinq de la centrale. « Tu sais ce que ça veut dire retourner là-bas ? » Son front ridé présentait encore quelques tâches rouges, les mêmes qu’Anya garda toute sa vie. « Tu sais ce que ça veut dire ? » murmura-t-elle. C’est à ce moment–là que Natashenka éclata en sanglots.
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« Grand-père » m’interpella-t-elle. « Est-ce que le feu a emporté papa ? »
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Natashenka le prit par la main. « S’il te plaît ». Mais Aliaksei était fatigué. Trois années s’étaient écoulées depuis l’explosion de la centrale, et Varenska n'avait toujours pas reparu. « Les gardes-frontières ne te laisseront pas passer. La zone est morte. Tu ne peux pas y aller, papa ». Le vieil homme jeta un œil aux nouvelles dans les journaux à côté du lit. Le gouvernement soviétique interrompait la construction des unités quatre et cinq de la centrale. « Tu sais ce que ça veut dire de retourner là-bas ? » Son front ridé présentait encore quelques tâches rouges, les mêmes qu’Anya garda toute sa vie. « Tu sais ce que ça veut dire, hein ? » murmura-t-elle. C’est à ce moment–là que Natashenka éclata en sanglots.
J'ai fait un ou deux ajouts ici ou là… OK.
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