jeudi 30 octobre 2014

Projet Irène – phrases 193-200

17.

No, sí, mierda. Parece que le pegué al barman. Por eso salí corriendo. Y ahora estoy escondido tras el auto de Mauricio.
Esperando que los imbéciles de mis amigos salgan del boliche de una buena vez y nos vayamos de este infierno.
Se escuchan sirenas de la policía. Evidentemente me buscan a mí. Si buscan en este puto rincón de San Miguel me van a encontrar.

Traduction temporaire :

17.

Non, si…, merde. J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la bagnole de Mauricio. À attendre que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Évidemment, c’est moi qu’ils recherchent. S’ils ratissent ce putain de coin de San Miguel, ils vont me pincer. 

14 commentaires:

IRENE a dit…

17.
Non, oui, merde. J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la caisse de Mauricio. En attendant que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Evidemment, c’est moi qu’ils cherchent. S’ils cherchent dans ce putain de coin de San Miguel, ils vont me trouver.

Tradabordo a dit…

17.

Non, oui, merde. J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la caisse [j'ai cru que c'était la caisse enregistreuse, vu le contexte… Change, ça prête à confusion] de Mauricio. En attendant [maladroit : « À attendre… »] que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Evidemment, c’est moi qu’ils [« re »]cherchent. S’ils cherchent [un moyen de ne pas répéter ? « Fouiner » ?] dans ce putain de coin de San Miguel, ils vont me trouver.

IRENE a dit…

17.

Non, oui, merde. J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la bagnole de Mauricio. À attendre que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Évidemment, c’est moi qu’ils recherchent. S’ils ratissent ce putain de coin de San Miguel, ils vont me trouver.

Tradabordo a dit…

17.

Non, oui [« si »], merde. J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la bagnole de Mauricio. À attendre que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Évidemment, c’est moi qu’ils recherchent. S’ils ratissent ce putain de coin de San Miguel, ils vont me trouver [« me mettre la main dessus » ?].

IRENE a dit…

17.

Non, oui [« si : bof!!!»], merde. J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la bagnole de Mauricio. À attendre que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Évidemment, c’est moi qu’ils recherchent. S’ils ratissent ce putain de coin de San Miguel, ils vont me choper / pincer ? [« me mettre la main dessus » ?].

Tradabordo a dit…

17.

Non, oui [« si : bof!!!» Et pourtant : non, je n'ai touché personne, ah si…], merde. J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la bagnole de Mauricio. À attendre que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Évidemment, c’est moi qu’ils recherchent. S’ils ratissent ce putain de coin de San Miguel, ils vont me choper / pincer ? [« me mettre la main dessus » ? Comme tu veux].

IRENE a dit…

17.

Non, ah si…, merde. [Comme ça? Ok mais c'est beaucoup plus élaboré]

J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la bagnole de Mauricio. À attendre que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Évidemment, c’est moi qu’ils recherchent. S’ils ratissent ce putain de coin de San Miguel, ils vont pincer.

Tradabordo a dit…

Pas besoin du « ah »… c'était pour t'expliquer d'où venait l'idée du « si ».

IRENE a dit…

17.

Non, ah si…, merde. [Comme ça? Ok mais c'est beaucoup plus élaboré]

J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la bagnole de Mauricio. À attendre que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Évidemment, c’est moi qu’ils recherchent. S’ils ratissent ce putain de coin de San Miguel, ils vont me pincer.

Tradabordo a dit…

Cf mon commentaire précédent.

IRENE a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Tradabordo a dit…

Recolle l'ensemble des phrases. Bref, remets systématiquement tout au propre pour le copier-coller. Tu le sais, ça n'est pas une lubie, mais avec une cinquantaine de textes en même temps, chaque seconde gagnée est importante… d'autant que tout cela me prend entre 3 et 4 heures par jour.

IRENE a dit…


17.

Non, si…, merde. J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la bagnole de Mauricio. À attendre que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Évidemment, c’est moi qu’ils recherchent. S’ils ratissent ce putain de coin de San Miguel, ils vont me pincer.

Désolée !
Je fais 50 choses en même tps !!

Tradabordo a dit…

Oui, mais du coup, c'est à moi que tu fais perdre du temps… parce que toutes ces manips pour de simples coquilles………………

17.

Non, si…, merde. J’ai l’impression d’avoir touché le barman. C’est pour ça que je suis sorti à toute vitesse. Et maintenant, je suis caché derrière la bagnole de Mauricio. À attendre que mes crétins de potes sortent enfin de la boîte et que nous partions de cet enfer. On entend des sirènes de la police. Évidemment, c’est moi qu’ils recherchent. S’ils ratissent ce putain de coin de San Miguel, ils vont me pincer.

OK.