Marisa Alvez
Rebeldía del silencIo
Sí, mi amor, dijo ella y bajó los ojos. Una vez más, y se calló.
Pero el silencio, esta vez, fue subiendo desde los pies ateridos por los insultos, desde las manos muertas por las caricias ignoradas, desde la mirada oscurecida por los reproches, desde las palabras milenariamente mudas, desde las lágrimas ocultas.
Cuando no pudo más, y cuando todo fue silencio, porque no había más por qué decir, cuando el decir era inútil, ahíta de silencio, silencio en ella, silencio en el otro, silencio que ya no unía sino que separaba, cuando sintió que todo iba a explotar, cerró los ojos, mientras seguía preparando el café, apretó intensamente los párpados, y se escapó por la ventana.
Él tomó la taza casi sin mirarla. Después la abrazó y le hizo el amor. Feliz, noche a noche, aún sigue poseyendo su cuerpo. Lo único que queda de ella.
Traduction temporaire :
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois-là, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle continuait de préparer le café, elle plaqua intensément ses mains contre ses paupières, et s'échappa par la fenêtre.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois-là, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle continuait de préparer le café, elle plaqua intensément ses mains contre ses paupières, et s'échappa par la fenêtre.
Il saisit la tasse presque sans la regarder. Ensuite, il la prit dans ses bras et lui fit l'amour. Heureux, nuit après nuit, il possède toujours son corps. La seule chose qu'il reste d'elle.
17 commentaires:
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle et elle baissa les yeux. Une fois de plus, et elle se tut.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle et elle baissa les yeux. Une fois de plus, et elle se tut.
OK. Vous pouvez mettre la suite.
Laissez quand même le début à chaque fois.
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle et elle baissa les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois, monta depuis ses pieds transis par les insultes, depuis ses mains mortes par les caresses ignorées, depuis son regard assombri par les reproches, depuis ses mots mille fois restés muets, depuis ses larmes cachées.
HELP !!! =) Ici, je ne sais pas si je dois conserver les articles définis ou si je dois les remplacer par des adj. possessifs...
Vous remettrez le nom de l'auteur ; comme expliqué, je dois pouvoir faire le copier-coller facilement dans le doc définitif.
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle et elle [« avant de » ?] baissa les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois, monta [ou « grimpa » ? J'hésite… Je vous laisse trancher] depuis ses pieds transis par [« à cause » ?] les insultes, depuis ses mains mortes par [idem ?] les caresses ignorées, depuis son regard assombri par [idem ?] les reproches, depuis ses mots mille fois [sûr ?] restés muets, depuis ses larmes cachées.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées.
OK. Vous pouvez mettre la suite.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais qui séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle préparait le café, elle pressa intensément ses paupières, avant de s'échapper par la fenêtre.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais qui séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle préparait le café, elle pressa intensément ses paupières, avant de s'échapper par la fenêtre.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois[« -là » ?], grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais qui [nécessaire ?] séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle préparait [et le « seguía » ?] le café, elle pressa [pour en faire du jus ????? ;-)))))] intensément ses paupières, avant de [construction que vous avez déjà mis ; cf première phrase] s'échapper par la fenêtre.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois-là, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle continuait de préparer le café, elle plaqua intensément ses mains contre ses paupières, et s'échappa par la fenêtre.
ps: c'est pas beau de se moquer ! ;p
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois-là, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle continuait de préparer le café, elle plaqua intensément ses mains contre ses paupières, et s'échappa par la fenêtre.
OK.
Vous pouvez enchaîner avec la fin.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois-là, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle continuait de préparer le café, elle plaqua intensément ses mains contre ses paupières, et s'échappa par la fenêtre.
Il saisit la tasse presque sans la regarder. Ensuite, il la prit dans ses bras et lui fit l'amour. Heureux, nuit après nuit, il possède encore son corps. La seule chose qu'il reste d'elle.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois-là, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était devenu inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle continuait de préparer le café, elle plaqua intensément ses mains contre ses paupières, et s'échappa par la fenêtre.
Il saisit la tasse presque sans la regarder. Ensuite, il la prit dans ses bras et lui fit l'amour. Heureux, nuit après nuit, il possède encore [« toujours » ; sinon, je crois que c'est un peu ambigu] son corps. La seule chose qu'il reste d'elle.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois-là, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était devenu inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle continuait de préparer le café, elle plaqua intensément ses mains contre ses paupières, et s'échappa par la fenêtre.
Il saisit la tasse presque sans la regarder. Ensuite, il la prit dans ses bras et lui fit l'amour. Heureux, nuit après nuit, il possède toujours son corps. La seule chose qu'il reste d'elle.
Marisa Alvez
Révolte du silence
Oui, mon amour, dit-elle, avant de baisser les yeux. Une fois de plus, et elle se tut. Mais le silence, cette fois-là, grimpa depuis ses pieds transis à cause des insultes, depuis ses mains mortes à cause des caresses ignorées, depuis son regard assombri à cause des reproches, depuis ses mots éternellement restés muets, depuis ses larmes cachées. Quand elle n'en put plus, et quand tout ne fut que silence, parce qu'il n'y avait plus rien à dire, quand parler était devenu inutile, épuisée par le silence, le silence en elle, le silence dans l'autre, silence qui ne réunissait plus mais séparait, quand elle sentit que tout allait exploser, elle ferma les yeux, tandis qu'elle continuait de préparer le café, elle plaqua intensément ses mains contre ses paupières, et s'échappa par la fenêtre.
Il saisit la tasse presque sans la regarder. Ensuite, il la prit dans ses bras et lui fit l'amour. Heureux, nuit après nuit, il possède toujours son corps. La seule chose qu'il reste d'elle.
OK.
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