MARISOL IBARRA (Chili)
Perros que ladran
Fue lo de siempre, te sacaste la correa y me la amarraste al cuello. Tu rostro estaba sobre el mío tirando el tufo caliente.
Lo sentí duro entrar una y otra vez, mientras jalabas de la correa con tanta fuerza que apreté los párpados por el dolor que me causabas.
Antes del final, tomaste con tu otra mano el arma, la pusiste haciendo presión sobre mi es- tómago. ¡Mami! gritó ella. Al fin abrí los ojos para verla infinitamente frágil, asustada en el umbral de la habitación.
Corre a ver a tu perro, que está ladrando, le dije.
En cosa de segundos giré el arma contra tu miembro y lo sentí acabar en sangre, por última vez.
Traduction temporaire :
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! cria-t-elle.
J'ouvris finalement les yeux et je la vis, infiniment fragile, effrayée sur le seuil de la porte de la chambre. Cours voir ton chien, il est en train d'aboyer, lui ordonnai-je. En quelques secondes à peine, je retournai l'arme contre ton membre et je le sentis exploser en sang, pour la dernière fois.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! cria-t-elle.
J'ouvris finalement les yeux et je la vis, infiniment fragile, effrayée sur le seuil de la porte de la chambre. Cours voir ton chien, il est en train d'aboyer, lui ordonnai-je. En quelques secondes à peine, je retournai l'arme contre ton membre et je le sentis exploser en sang, pour la dernière fois.
38 commentaires:
Titre + Phrase 1
« Chiens aux abois »
Ce fut comme d'habitude, ils te retirèrent ta laisse et l'attachèrent à mon cou.
Auteur + pays
« Chiens aux abois [CS ? Pourquoi ce choix ?????] »
Ce fut comme d'habitude, ils te retirèrent ta laisse et l'attachèrent à mon cou [CS].
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, ils te retirèrent ta laisse et l'attachèrent à mon col.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, ils te retirèrent ta laisse et l'attachèrent à mon col.
CS… il faut que tu lises moins vite la V.O.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon col.
[Désolée, vraiment très mauvaise lecture !]
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas [ou passé composé ? Sans doute plus naturel, non ?] la laisse et tu l'attachas à mon col [« cou »].
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou.
OK. Tu peux mettre la suite… mais en laissant tout le début.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou.
Ton visage était près du mien, expirant de l'air chaud.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, expirant [« soufflant » ?] de l'air chaud.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud.
OK. Tu peux mettre la suite.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud.
Je le sentis pénétrer une fois, puis une autre, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que mes paupières se serrèrent de douleur.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer [que faut-il comprendre ?] une fois, puis une autre, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que mes paupières se serrèrent de douleur.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis sur ma peau une fois, puis une autre, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que mes paupières se serrèrent de douleur.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis sur ma peau [ajout qui change le sens, je crois] une fois, puis une autre, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que mes paupières se serrèrent [?] de douleur.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis me traverser une fois, puis une autre, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je serrai mes paupières de douleur.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis me traverser [« pénétrer » ? J'hésite…] une fois, puis une autre [pas dans le sens de « encore et encore » ?], dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je serrai [« fermai » ?] mes [ou dans le possessif ?] paupières de douleur.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
OK.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu as enlevé la laisse et tu l'as attachée à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant la fin, tu as prit l'arme de ton autre main, tu as fait pression sur mon estomac avec le canon. Maman ! s'est-elle écriée.
[Problème de temps : première phrase: passé composé / deuxième phrase: passé simple / troisième phrase: passé composé. Il faut harmoniser non ?]
Oui, vas-y… choisis.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant la fin, tu pris l'arme de ton autre main, tu fis pression sur mon estomac avec le canon. Maman ! s'écria-t-elle.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant la fin [naturel ?], tu pris [« saisis » ?] l'arme de [« avec » / « dans » ?] ton autre main, tu fis pression [naturel ?] sur mon estomac avec le canon. Maman ! s'écria-t-elle.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main, enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! s'écria-t-elle.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main, enfonças [bizarre les temps, non ? présent ???] le canon dans mon estomac. Maman ! s'écria-t-elle.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! s'écria-t-elle.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! s'écria-t-elle.
OK.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! s'écria-t-elle.
J'ouvris finalement les yeux et je la vis, infiniment fragile, effrayée à l'entrée de la chambre.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! s'écria-t-elle.
J'ouvris finalement les yeux et je la vis, infiniment fragile, effrayée à l'entrée de la chambre.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! s'écria [pourquoi pas « cria » ?]-t-elle.
J'ouvris finalement les yeux et je la vis, infiniment fragile, effrayée à l'entrée [ou « sur le seuil de » ? Comme tu préfères] de la chambre.
Et tu ajouteras la fin.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! cria-t-elle.
J'ouvris finalement les yeux et je la vis, infiniment fragile, effrayée sur le seuil de la porte de la chambre.
Cours voir ton chien, il est en train d'aboyer, lui ordonnai-je. En quelques secondes à peine, je retournai l'arme contre ton membre et je le sentis finir en sang, pour la dernière fois.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! cria-t-elle.
J'ouvris finalement les yeux et je la vis, infiniment fragile, effrayée sur le seuil de la porte de la chambre. Cours voir ton chien, il est en train d'aboyer, lui ordonnai-je. En quelques secondes à peine, je retournai l'arme contre ton membre et je le sentis finir en sang [clair ?], pour la dernière fois.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! cria-t-elle.
J'ouvris finalement les yeux et je la vis, infiniment fragile, effrayée sur le seuil de la porte de la chambre. Cours voir ton chien, il est en train d'aboyer, lui ordonnai-je. En quelques secondes à peine, je retournai l'arme contre ton membre et je le sentis exploser en sang, pour la dernière fois.
MARISOL IBARRA (Chili)
« Des chiens qui aboient »
Comme d'habitude, tu enlevas la laisse et tu l'attachas à mon cou. Ton visage était près du mien, soufflant de l'air chaud. Je le sentis pénétrer ma peau encore et encore, dur, pendant que tu tirais sur la laisse avec tant de force que je fermai les paupières de douleur.
Avant que cela ne s'arrête, tu saisis l'arme avec ton autre main et tu enfonças le canon dans mon estomac. Maman ! cria-t-elle.
J'ouvris finalement les yeux et je la vis, infiniment fragile, effrayée sur le seuil de la porte de la chambre. Cours voir ton chien, il est en train d'aboyer, lui ordonnai-je. En quelques secondes à peine, je retournai l'arme contre ton membre et je le sentis exploser en sang, pour la dernière fois.
OK.
Le texte est fini alors ? :-)
Je le relie et vous le renvoie corrigé ?
Oui, c'était un micro… Relis et envoie. Un autre ? à toi de voir si tu as le temps d'en suivre deux en même temps.
Je suis partante pour un autre !!
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