La acompañe a la calle. Lottie había adelgazado, tenía el cabello despeinado y los ojos hinchados, casi inexpresivos.
—¿Te acuerdas de mí? —le pregunté.
—No —dijo con un tono distraído pero con absoluta certeza.
—¿Cómo te llamas? —dije. Cualquier otra persona hubiese tomado esa pregunta por tonta.
— ¡Oh!, me dicen Lottie, — respondió en voz baja.
Abrí mi billetera y le entregué los tres billetes que tenía. Ella los arrugó con una mano y los metió en su bolso de plástico negro. Quise besarla pero me contuve. La vi alejarse con esos huesos frágiles por la avenida larga y fría cuando una ráfaga de viento trajo un olor a canela y sándalo.
Traduction temporaire :
Je l'ai raccompagnée dehors. Elle avait maigri, ses cheveux étaient ébouriffés et ses yeux gonflés, presque inexpressifs.
— Tu te souviens de moi ?
— Non, a-t-elle assuré sur un ton distrait.
— Quel est ton prénom ?
N'importe qui d'autre aurait trouvé cette question idiote.
— Oh ! On me surnomme Lotie, a-t-elle répondu à voix basse.
J'ai ouvert mon portefeuille et lui ai tendu les trois billets qui s'y trouvaient. Elle les a froissés avant de les ranger dans son sac en plastique noir. J'ai eu envie de l'embrasser, mais me suis retenu. Je regardais ses os fragiles s'éloigner sur l'avenue longue et froide quand une rafale de vent m'a apporté une odeur de cannelle et de bois de santal.
— Tu te souviens de moi ?
— Non, a-t-elle assuré sur un ton distrait.
— Quel est ton prénom ?
N'importe qui d'autre aurait trouvé cette question idiote.
— Oh ! On me surnomme Lotie, a-t-elle répondu à voix basse.
J'ai ouvert mon portefeuille et lui ai tendu les trois billets qui s'y trouvaient. Elle les a froissés avant de les ranger dans son sac en plastique noir. J'ai eu envie de l'embrasser, mais me suis retenu. Je regardais ses os fragiles s'éloigner sur l'avenue longue et froide quand une rafale de vent m'a apporté une odeur de cannelle et de bois de santal.
10 commentaires:
Je l'ai raccompagnée dehors. Elle avait maigri, ses cheveux étaient ébouriffés et ses yeux gonflés, presque inexpressifs.
— Tu te rappelles de moi ?
— Non, a-t-elle assuré d'un ton distrait.
— Quel est ton prénom ? – n'importe qui d'autre aurait trouvé cette question idiote.
— Oh ! On me surnomme Lotie, a-t-elle répondu à voix basse.
J'ai ouvert mon portefeuille et je lui ai donné les trois billets qui s'y trouvaient. Elle les a froissés avant de les ranger dans son sac en plastique noir. J'ai eu envie de l'embrasser mais je me suis retenu. Je regardais ses os fragiles s'éloigner sur l'avenue longue et froide quand une rafale de vent m'a apporté une odeur de cannelle et de bois de santal.
Je l'ai raccompagnée dehors. Elle avait maigri, ses cheveux étaient ébouriffés et ses yeux gonflés, presque inexpressifs.
— Tu te rappelles de [grammaire] moi ?
— Non, a-t-elle assuré [« répliqué » / « rétorqué » ?] d'un ton distrait.
— Quel est ton prénom ? – [supprime] n'importe qui d'autre aurait trouvé cette question idiote.
— Oh ! On me surnomme Lotie, a-t-elle répondu à voix basse.
J'ai ouvert mon portefeuille et je [nécessaire ?] lui ai donné [« tendu » ?] les trois billets qui s'y trouvaient. Elle les a froissés avant de les ranger dans son sac en plastique noir. J'ai eu envie de l'embrasser [virgule] mais je [nécessaire ?] me suis retenu. Je regardais ses os fragiles s'éloigner sur l'avenue longue et froide quand une rafale de vent m'a apporté une odeur de cannelle et de bois de santal.
Je l'ai raccompagnée dehors. Elle avait maigri, ses cheveux étaient ébouriffés et ses yeux gonflés, presque inexpressifs.
— Tu te souviens de moi ?
— Non, a-t-elle assuré [« répliqué » / « rétorqué » ?/ou "affirmé" : je pensais remplacer "pero con absoluta certeza" par un verbe exprimant la certitude pour alléger la phrase] d'un ton distrait.
— Quel est ton prénom ? N'importe qui d'autre aurait trouvé cette question idiote.
— Oh ! On me surnomme Lotie, a-t-elle répondu à voix basse.
J'ai ouvert mon portefeuille et lui ai tendu les trois billets qui s'y trouvaient. Elle les a froissés avant de les ranger dans son sac en plastique noir. J'ai eu envie de l'embrasser, mais me suis retenu. Je regardais ses os fragiles s'éloigner sur l'avenue longue et froide quand une rafale de vent m'a apporté une odeur de cannelle et de bois de santal.
Je l'ai raccompagnée dehors. Elle avait maigri, ses cheveux étaient ébouriffés et ses yeux gonflés, presque inexpressifs.
— Tu te souviens de moi ?
— Non, a-t-elle assuré d'[ou « sur » ? J'hésite]un ton distrait.
— Quel est ton prénom ?
N'importe qui d'autre aurait trouvé cette question idiote.
— Oh ! On me surnomme Lotie, a-t-elle répondu à voix basse.
J'ai ouvert mon portefeuille et lui ai tendu les trois billets qui s'y trouvaient. Elle les a froissés avant de les ranger dans son sac en plastique noir. J'ai eu envie de l'embrasser, mais me suis retenu. Je regardais ses os fragiles s'éloigner sur l'avenue longue et froide quand une rafale de vent m'a apporté une odeur de cannelle et de bois de santal.
Je l'ai raccompagnée dehors. Elle avait maigri, ses cheveux étaient ébouriffés et ses yeux gonflés, presque inexpressifs.
— Tu te souviens de moi ?
— Non, a-t-elle assuré sur un ton distrait.
— Quel est ton prénom ?
N'importe qui d'autre aurait trouvé cette question idiote.
— Oh ! On me surnomme Lotie, a-t-elle répondu à voix basse.
J'ai ouvert mon portefeuille et lui ai tendu les trois billets qui s'y trouvaient. Elle les a froissés avant de les ranger dans son sac en plastique noir. J'ai eu envie de l'embrasser, mais me suis retenu. Je regardais ses os fragiles s'éloigner sur l'avenue longue et froide quand une rafale de vent m'a apporté une odeur de cannelle et de bois de santal.
Je l'ai raccompagnée dehors. Elle avait maigri, ses cheveux étaient ébouriffés et ses yeux gonflés, presque inexpressifs.
— Tu te souviens de moi ?
— Non, a-t-elle assuré sur un ton distrait.
— Quel est ton prénom ?
N'importe qui d'autre aurait trouvé cette question idiote.
— Oh ! On me surnomme Lotie, a-t-elle répondu à voix basse.
J'ai ouvert mon portefeuille et lui ai tendu les trois billets qui s'y trouvaient. Elle les a froissés avant de les ranger dans son sac en plastique noir. J'ai eu envie de l'embrasser, mais me suis retenu. Je regardais ses os fragiles s'éloigner sur l'avenue longue et froide quand une rafale de vent m'a apporté une odeur de cannelle et de bois de santal.
OK.
Je l'ai raccompagnée dehors. Elle avait maigri, ses cheveux étaient ébouriffés et ses yeux gonflés, presque inexpressifs.
— Tu te souviens de moi ?
— Non, a-t-elle assuré sur un ton distrait.
— Quel est ton prénom ?
N'importe qui d'autre aurait trouvé cette question idiote.
— Oh ! On me surnomme Lotie, a-t-elle répondu à voix basse.
J'ai ouvert mon portefeuille et lui ai tendu les trois billets qui s'y trouvaient. Elle les a froissés avant de les ranger dans son sac en plastique noir. J'ai eu envie de l'embrasser, mais me suis retenu. Je regardais ses os fragiles s'éloigner sur l'avenue longue et froide quand une rafale de vent m'a apporté une odeur de cannelle et de bois de santal.
OK.
Je me trompe ou c'est terminé ?
C'est terminé !
OK… alors je te laisse relire. Tu verras que dans « Travaux en cours », il manque des phrases… Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, sans doute un bug… Vérifie pour être certaine d'avoir tout.
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