Él no quiere hablar acerca de nada, ni siquiera se ha vuelto a colocar la dentadura postiza. Hace frío en esta tarde. Pasan más semanas, nuevas evaluaciones. Desfiles de enfermeras y de tubos llenos de sangre. Les dan un nombre, un diagnóstico, un decreto: neumonía intrahospitalaria. Un regalo del hospital, a cambio de sus dos piernas. El cielo grisáceo invita a ocultarse, a llorar, a no pensar y a quedarse estáticos, a acurrucarse bajo la frazada y aplastarse sobre el colchón. Procesos que demoran semanas y los médicos que siguen seccionando lo sano y lo enfermo.
Traduction temporaire :
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. L'après-midi est froide. Des semaines s’écoulent, avec de nouveaux examens. Un défilé d’infirmières et de tubes de sang. On lui donne un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, en échange de ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et les médecins, eux, continuent de sectionner des membres saints et malades.
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. L'après-midi est froide. Des semaines s’écoulent, avec de nouveaux examens. Un défilé d’infirmières et de tubes de sang. On lui donne un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, en échange de ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et les médecins, eux, continuent de sectionner des membres saints et malades.
12 commentaires:
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. Cette après-midi-là est froide. De nouvelles semaines s’écoulent, d'autres examens. Des défilés d’infirmières et de tubes de sang. Ils lui donnent un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, contre ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et, pendant ce temps-là [cheville ?], les médecins continuent de sectionner les membres saints et malades.
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. Cette [dém. nécessaire ?] après-midi-là est froide. De nouvelles [« D'autres » / « Davantage » ? Vois ce qui est mieux entre les 3] semaines s’écoulent, d'autres examens. Des défilés d’infirmières et de tubes de sang. Ils [« On » ?] lui donnent un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, contre [ou carrément : « en échange de » ? Je te laisse trancher – si je puis dire ;-)] ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et, pendant ce temps-là [cheville ? ou : « et les médecins, eux, »], les médecins continuent de sectionner les membres saints et malades.
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. L'après-midi est froide. De nouvelles [« D'autres » / « Davantage » ? Vois ce qui est mieux entre les 3 // Je penche pour "D'autres". Chloé, ton avis ?] semaines s’écoulent, de nouveaux examens. Des défilés d’infirmières et de tubes de sang. On lui donne un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, en échange de ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et les médecins, eux, continuent de sectionner les membres saints et malades.
Chloé, j'attends ton avis sur tout ça… Tranchez ensemble et présentez-moi une version sans alternatives ;-)
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. L'après-midi est froide. D'autres semaines s’écoulent, de nouveaux examens. Des défilés d’infirmières et de tubes de sang. On lui donne un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, en échange de ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et les médecins, eux, continuent de sectionner les membres saints et malades.
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. L'après-midi est froide. D'autres semaines s’écoulent, de nouveaux examens. Des défilés d’infirmières et de tubes de sang. On lui donne un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, en échange de ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et les médecins, eux, continuent de sectionner les membres saints et malades.
Ok pour moi. À toi de jouer, Caroline.
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. L'après-midi est froide. D'autres [« Des » ?] semaines s’écoulent, [« avec » ?] de nouveaux examens. Des [« Un » ?] défilés d’infirmières et de tubes de sang. On lui donne un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, en échange de ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et les médecins, eux, continuent de sectionner les [« des » ?] membres saints et malades.
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. L'après-midi est froide. Des semaines s’écoulent, avec de nouveaux examens. Un défilé d’infirmières et de tubes de sang. On lui donne un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, en échange de ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et les médecins, eux, continuent de sectionner des membres saints et malades.
Attendez, je suis perdue… C'est la bonne section pour la suite ou l'autre ?
Effectivement, on travaille sur deux sections en même temps... Il faut terminer celle-ci d'abord..
OK.
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. L'après-midi est froide. Des semaines s’écoulent, avec de nouveaux examens. Un défilé d’infirmières et de tubes de sang. On lui donne un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, en échange de ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et les médecins, eux, continuent de sectionner des membres saints et malades.
OK.
Hélène ?
Il ne veut parler de rien, il n’a même pas remis son dentier. L'après-midi est froide. Des semaines s’écoulent, avec de nouveaux examens. Un défilé d’infirmières et de tubes de sang. On lui donne un nom, un diagnostic, un décret : pneumonie nosocomiale. Un cadeau de l’hôpital, en échange de ses deux jambes. Le ciel grisâtre invite à se cacher, à pleurer, à ne pas penser et à rester statiques, à se blottir sous la couverture et à s’écraser sur le matelas. Des processus qui durent des semaines et les médecins, eux, continuent de sectionner des membres saints et malades.
OK.
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