jeudi 26 février 2015

Projet Justine / Coralie – phrase 136

Yo tampoco creo ni me interesa la literatura de masas,  piensa la mujer mientras cierra el libro, piensa en la periodista, mira dormir a su esposo, piensa que él también podría estar muerto, piensa en una noche de sexo, piensa qué él, su esposo, podría ser un escritor, excéntrico, culto y despistado, de los que hay por ahí, entonces estaría muerto en su, cuarto, en su cama, a su lado, sangrando, mientras ella va a hacer una entrevista a un, joven escritor que habla de bombas,  policías y mujeres tuertas, esperando que el día sea, diferente.

Traduction temporaire :
Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle referme le roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'ébats sexuels, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, se vidant de son sang, tandis qu'elle, elle va interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes, en espérant que le jour sera différent.

14 commentaires:

Justine a dit…

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle ferme le roman, pense à la journaliste, regarde dormir son mari, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit de sexe, se dit que lui, son mari, pourrait être un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits qu'il y a par ici ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, saignant, tandis qu'en espérant que le jour sera différent, elle irait interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes.

Tradabordo a dit…

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle ferme le roman [« livre » ?], pense à la journaliste [bizarre… sujet ????], regarde dormir son mari, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit de sexe [mal dit], se dit que lui, son mari, pourrait être [« l' »] un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits qu'il y a par ici [mal dit] ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, saignant, tandis qu'en espérant que le jour sera différent, elle irait interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes.

La fin est très confuse.

Justine a dit…

C'est la femme qui ferme le roman « Zone d'exclusion » qui pense à toutes ces choses-là.

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle ferme son roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'amour, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, saignant, tandis qu'en espérant que le jour sera différent, elle irait interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes.

Tradabordo a dit…

Bon, il faudra que tu la joues serré pendant les relectures… parce que je n'y comprends plus rien. Ce texte aura été traduit en si longtemps, que j'ai complètement perdu le fil.

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle [« re » ?]ferme son [« le »] roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'amour [« d'ébats sexuels » ? Histoire de ne pas confondre sexe et amour ;-)], se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, saignant [« se vidant de son sang »], tandis qu'en espérant que le jour sera différent, elle irait [temps ?] interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes.

Justine a dit…

J'ai de gros doutes au niveau de certains temps dans ce texte… les relectures vont être sympas ;-)

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle referme le roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'ébats sexuels, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, se vidant de son sang, tandis qu'en espérant que le jour sera différent, elle va [temps ?/ j'avais mis du conditionnel pour suivre le fil des hypothèses] interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes.

Tradabordo a dit…

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle referme le roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'ébats sexuels, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, se vidant de son sang, tandis qu'en espérant que le jour sera différent, elle va [temps ?/ j'avais mis du conditionnel pour suivre le fil des hypothèses /// mais là, justement, je crois que ça n'est pas une hypothèse] interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes.

Justine a dit…

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle referme le roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'ébats sexuels, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, se vidant de son sang, tandis qu'en espérant que le jour sera différent, elle va interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes.

Tradabordo a dit…

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle referme le roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'ébats sexuels, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, se vidant de son sang, tandis qu'en espérant que le jour sera différent, elle va interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes [pour la fin, voyons quand même ce que cela donne en restant littéral].

Justine a dit…

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle referme le roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'ébats sexuels, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, se vidant de son sang, tandis qu'elle va interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes, en espérant que le jour sera différent.

Tradabordo a dit…

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle referme le roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'ébats sexuels, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, se vidant de son sang, tandis qu'elle [«, elle »] va interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes, en espérant que le jour sera différent.

Justine a dit…

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle referme le roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'ébats sexuels, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, se vidant de son sang, tandis qu'elle, elle va interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes, en espérant que le jour sera différent.

Tradabordo a dit…

Moi non plus, je ne crois pas en la littérature de masse, d'ailleurs, elle ne m'intéresse pas, se dit la femme tandis qu'elle referme le roman. Elle pense à la journaliste, regarde son mari dormir, songe que lui aussi pourrait être mort, pense à une nuit d'ébats sexuels, se dit que lui, son mari, pourrait être l'un de ces écrivains excentriques, cultivés et distraits des environs ; alors, il serait mort dans leur chambre, dans leur lit, à côté d'elle, se vidant de son sang, tandis qu'elle, elle va interviewer un jeune écrivain qui parle de bombes, de policiers et de femmes borgnes, en espérant que le jour sera différent.

OK.

Tu peux relire.

Tu acceptes de faire la voiture balai pour un autre texte ?

Justine a dit…

Oui, aucun problème ! Je prends ce rôle que tu me confies très à cœur ;-)

Tradabordo a dit…

Et je t'en remercie du fond du cœur ;-)
Je t'envoie tout ça par mail.