lundi 2 février 2015

Projet Nancy 4 – phrases 48-52

Es cierto que las mujeres quieren ser lo primero en tu vida, pero lo malo está en que detestan que se les postergue por un enfoque social geopolítico o una crítica literaria. Sencillamente no lo toleran. Y menos cuando uno deja sonar el teléfono sin contestar porque está en lo más interesante de la novela policial o cuando uno les dice que esa película, que ellas tanto quieren ver, es la adaptación de un libro, que por qué mejor no lo leemos juntos. Sinceramente, creo que es error de ellas. ¿O me equivoco? 

Traduction temporaire :
Il est vrai que les femmes veulent être ce qui compte le plus dans nos vies ; le problème, c'est qu'elles détestent qu'on les néglige pour une étude sociale de géopolitique ou une critique littéraire. Elles ne le tolèrent pas. Elles supportent encore moins qu'on ne leur réponde pas au téléphone parce qu'on arrive au moment le plus intéressant d'un roman policier, ou bien qu'on leur propose de lire un livre ensemble parce que le film qu'elles ont tant envie voir en est une adaptation. Je crois sincèrement qu'elles ont tort. Est-ce que je me trompe ?

8 commentaires:

Nancy a dit…

Il est vrai que les femmes veulent être ce qui compte le plus dans nos vies ; le problème, c'est qu'elles détestent qu'on les néglige pour une étude sociale de géopolitique ou une critique littéraire. Elles ne tolèrent pas cela. Elles supportent encore moins qu'on ne leur réponde pas au téléphone parce qu'on arrive au moment le plus intéressant d'un roman policier, ou bien qu'on leur propose de lire un livre ensemble dans la mesure où le film qu'elles ont tant envie voir en est une adaptation. Je crois qu'elles ont tort. Est-ce que je me trompe ?

Tradabordo a dit…

Il est vrai que les femmes veulent être ce qui compte le plus dans nos vies ; le problème, c'est qu'elles détestent qu'on les néglige pour une étude sociale de géopolitique ou une critique littéraire. Elles ne tolèrent pas cela. Elles supportent encore moins qu'on ne leur réponde pas au téléphone parce qu'on arrive au moment le plus intéressant d'un roman policier, ou bien qu'on leur propose de lire un livre ensemble dans la mesure où [pas très naturel] le film qu'elles ont tant envie voir en est une adaptation. Je crois qu'elles ont tort. Est-ce que je me trompe ?

Nancy a dit…

Il est vrai que les femmes veulent être ce qui compte le plus dans nos vies ; le problème, c'est qu'elles détestent qu'on les néglige pour une étude sociale de géopolitique ou une critique littéraire. Elles ne tolèrent pas cela. Elles supportent encore moins qu'on ne leur réponde pas au téléphone parce qu'on arrive au moment le plus intéressant d'un roman policier, ou bien qu'on leur propose de lire un livre ensemble puisque le film qu'elles ont tant envie voir en est une adaptation. Je crois qu'elles ont tort. Est-ce que je me trompe ?

Tradabordo a dit…

Il est vrai que les femmes veulent être ce qui compte le plus dans nos vies ; le problème, c'est qu'elles détestent qu'on les néglige pour une étude sociale de géopolitique ou une critique littéraire. Elles ne tolèrent pas cela [« elle ne le tolèrent pas » ?]. Elles supportent encore moins qu'on ne leur réponde pas au téléphone parce qu'on arrive au moment le plus intéressant d'un roman policier, ou bien qu'on leur propose de lire un livre ensemble puisque [« parce que » ?] le film qu'elles ont tant envie voir en est une adaptation. Je crois [et l'adverbe ?] qu'elles ont tort. Est-ce que je me trompe ?

Nancy a dit…

Il est vrai que les femmes veulent être ce qui compte le plus dans nos vies ; le problème, c'est qu'elles détestent qu'on les néglige pour une étude sociale de géopolitique ou une critique littéraire. Elles ne le tolèrent pas. Elles supportent encore moins qu'on ne leur réponde pas au téléphone parce qu'on arrive au moment le plus intéressant d'un roman policier, ou bien qu'on leur propose de lire un livre ensemble parce que le film qu'elles ont tant envie voir en est une adaptation. Je crois sincèrement qu'elles ont tort. Est-ce que je me trompe ?

Tradabordo a dit…

Il est vrai que les femmes veulent être ce qui compte le plus dans nos vies ; le problème, c'est qu'elles détestent qu'on les néglige pour une étude sociale de géopolitique ou une critique littéraire. Elles ne le tolèrent pas. Elles supportent encore moins qu'on ne leur réponde pas au téléphone parce qu'on arrive au moment le plus intéressant d'un roman policier, ou bien qu'on leur propose de lire un livre ensemble parce que le film qu'elles ont tant envie voir en est une adaptation. Je crois sincèrement qu'elles ont tort. Est-ce que je me trompe ?

OK.

Nancy a dit…

Bonjour,
as-tu publié la phrase suivante ? Je ne la vois pas…

Tradabordo a dit…

En effet, j'ai oublié. Je le fais.