mercredi 10 juin 2015

Projet Hélène 5 – phrases 21-25

Se había prometido ganar plata, mucha plata, tanta como pudiera, para, un día, poder volver. Volver. Alguna vez, cuando todo se hubiese calmado. Por ahora, cada vez que lo pensaba,  le era imposible imaginar ese regreso. Le era difícil hacer rimar en su cabeza la palabra volver y el sonido de sus pasos saliendo del aeropuerto Jorge Chávez de Lima.

Traduction temporaire :
Il s’était promis de gagner de l’argent, beaucoup d’argent, autant qu’il le pourrait pour, un jour, rentrer chez lui. Rentrer. Bientôt, quand tout ce serait calmé. Jusqu’alors, à chaque fois qu’il y pensait, il lui était impossible d’imaginer ce retour. Il n’arrivait pas à faire rimer dans sa tête le mot rentrer avec le son de ses pas sortant de l’aéroport Jorge Chávez de Lima.

4 commentaires:

Hélène a dit…

Il s’était promis de gagner de l’argent, beaucoup d’argent, autant qu’il le pourrait pour, un jour, rentrer chez lui. Rentrer. Un beau jour, quand tout ce sera calmé. Jusqu’alors, à chaque fois qu’il y pensait, il lui était impossible d’imaginer ce retour. Il n’arrivait pas à faire rimer dans sa tête le mot rentrer avec le son de ses pas, sortant de l’aéroport Jorge Chávez de Lima.

Tradabordo a dit…

Il s’était promis de gagner de l’argent, beaucoup d’argent, autant qu’il le pourrait pour, un jour, rentrer chez lui. Rentrer. Un beau jour [une solution pour ne pas répéter « jour » ?], quand tout ce sera [« serait » ? Je te laisse y réfléchir…] calmé. Jusqu’alors, à chaque fois qu’il y pensait, il lui était impossible d’imaginer ce retour. Il n’arrivait pas à faire rimer dans sa tête le mot rentrer avec le son de ses pas, [j'hésite sur la virgule] sortant de l’aéroport Jorge Chávez de Lima.

Hélène a dit…

Il s’était promis de gagner de l’argent, beaucoup d’argent, autant qu’il le pourrait pour, un jour, rentrer chez lui. Rentrer. Bientôt, quand tout ce serait calmé. Jusqu’alors, à chaque fois qu’il y pensait, il lui était impossible d’imaginer ce retour. Il n’arrivait pas à faire rimer dans sa tête le mot rentrer avec le son de ses pas sortant de l’aéroport Jorge Chávez de Lima.

Tradabordo a dit…

Il s’était promis de gagner de l’argent, beaucoup d’argent, autant qu’il le pourrait pour, un jour, rentrer chez lui. Rentrer. Bientôt, quand tout ce serait calmé. Jusqu’alors, à chaque fois qu’il y pensait, il lui était impossible d’imaginer ce retour. Il n’arrivait pas à faire rimer dans sa tête le mot rentrer avec le son de ses pas sortant de l’aéroport Jorge Chávez de Lima.

OK.