-Me parece mentira que estoy de regreso –dijo, cuando mi madre salió al paso y le dijo algo al soldado, quizás preguntando por mi padre. Juan tosió con dificultad, sacó un trapo de la camisa y secó los agrios sudores de agosto sobre la vitalidad pérdida.
-Tu marido está bien. Sigue luchando en el frente. Me dijo que te dijera que te quiere mucho, y que por las noches, antes de entregarte al sueño, hables con el niño de él, y le beses en su nombre.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
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— C'est incroyable que je sois de retour, confia-t-il à ma mère s'engagea sur le chemin et interrogea le soldat, probablement au sujet de mon père. Juan toussa difficilement, sortit un chiffon de sa chemise et sécha les aigres gouttes de sueur du mois d'août sur sa vitalité perdue.
— Ton mari va bien. Il continue de lutter sur le front. Il m'a demandé de te dire qu'il t'aimait beaucoup, et qu'avant de t'endormir, tu parles de lui au petit, et que tu l'embrasses pour lui.
— C'est incroyable que je sois de retour, confia-t-il à ma mère s'engagea [relis] sur le chemin et interrogea le soldat, probablement [pas plus hypothétique en V.O. ?] au sujet de mon père. Juan toussa difficilement, sortit un chiffon de sa chemise et sécha les aigres [placé après ?] gouttes de sueur du mois d'août sur sa vitalité perdue.
— Ton mari va bien. Il continue de lutter sur le front. Il m'a demandé de te dire qu'il t'aimait beaucoup, et qu'avant de t'endormir, tu parles de lui au petit [naturel ?], et que tu l'embrasses pour lui.
— C'est incroyable que je sois de retour, confia-t-il à ma mère qui s'engagea sur le chemin et interrogea le soldat, peut-être au sujet de mon père. Juan toussa difficilement, sortit un chiffon de sa chemise et sécha les gouttes de sueur aigres du mois d'août sur sa vitalité perdue.
— Ton mari va bien. Il continue de lutter sur le front. Il m'a demandé de te dire qu'il t'aimait beaucoup, et qu'avant de t'endormir, tu parles de lui à votre fils, et que tu l'embrasses pour lui.
— C'est incroyable que [une solution plus près de la V.O. ? En passant par quelque chose comme : « J'arrive pas à croire… »] je sois de retour, confia-t-il à [au fait : pas vraiment ce que dit la V.0.] ma mère qui s'engagea sur le chemin [sûre ?] et interrogea le soldat,
Bon, reprenons déjà ce début…
peut-être au sujet de mon père. Juan toussa difficilement, sortit un chiffon de sa chemise et sécha les gouttes de sueur aigres du mois d'août sur sa vitalité perdue.
— Ton mari va bien. Il continue de lutter sur le front. Il m'a demandé de te dire qu'il t'aimait beaucoup, et qu'avant de t'endormir, tu parles de lui à votre fils, et que tu l'embrasses pour lui.
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, confia-t-il à [au fait : pas vraiment ce que dit la V.0. // oui, mais c'est pour éviter la répétition de "dire" un peu plus loin] ma mère qui prit les devants et interrogea le soldat,
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, confia-t-il à [au fait : pas vraiment ce que dit la V.0. // oui, mais c'est pour éviter la répétition de "dire" un peu plus loin // OK, mais le pb, c'est qu'il ne confie / dit pas à la mère] ma mère qui prit les devants et interrogea le soldat,
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, pendant que ma mère prenait les devants et interrogeait le soldat,
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, pendant que ma mère prenait les devants [ou juste « s'approchait » ? J'hésite sur l'interprétation] et interrogeait le soldat,
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, pendant que ma mère prenait les devants [ou juste « s'approchait » ? J'hésite sur l'interprétation // Apparemment, "salir al paso", c'est l'idée d'aller au-devant, d'anticiper] et interrogeait le soldat,
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, pendant que ma mère prenait les devants [ou juste « s'approchait » ? J'hésite sur l'interprétation // Apparemment, "salir al paso", c'est l'idée d'aller au-devant, d'anticiper /// demande quand même son avis à Elena] et interrogeait le soldat,
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, mais ma mère coupa la parole au soldat et l'interrogea,
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, mais ma mère coupa la parole au soldat et l'interrogea,
Ah, c'est cela, finalement ? Où as-tu trouvé ?
J'ai demandé à Elena ! :-)
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, mais ma mère coupa la parole au soldat et l'interrogea,
Alors OK. Tu peux ajouter la suite.
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, mais ma mère coupa la parole au soldat et l'interrogea, peut-être au sujet de mon père. Juan toussa difficilement, sortit un chiffon de sa chemise et sécha les gouttes de sueur aigres du mois d'août sur sa vitalité perdue.
— Ton mari va bien. Il continue de lutter sur le front. Il m'a demandé de te dire qu'il t'aimait beaucoup, et qu'avant de t'endormir, tu parles de lui à votre fils, et que tu l'embrasses pour lui.
-Me parece mentira que estoy de regreso –dijo, cuando mi madre salió al paso y le dijo algo al soldado, quizás preguntando por mi padre. Juan tosió con dificultad, sacó un trapo de la camisa y secó los agrios sudores de agosto sobre la vitalidad pérdida.
-Tu marido está bien. Sigue luchando en el frente. Me dijo que te dijera que te quiere mucho, y que por las noches, antes de entregarte al sueño, hables con el niño de él, y le beses en su nombre.
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, mais ma mère coupa la parole au soldat et l'interrogea, peut-être au sujet de mon père. Juan toussa difficilement [on le dirait ? J'hésite… Vérifie], sortit un chiffon de sa chemise et sécha les gouttes de sueur aigres du mois d'août sur sa vitalité perdue.
— Ton mari va bien. Il continue de lutter sur le front. Il m'a demandé de te dire qu'il t'aimait beaucoup, et qu'avant de t'endormir, tu parles de lui à votre fils, et que tu l'embrasses pour lui.
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, mais ma mère coupa la parole au soldat et l'interrogea, peut-être au sujet de mon père. Juan toussa péniblement [plus d’occurrences qu'avec "difficilement" !], sortit un chiffon de sa chemise et sécha les gouttes de sueur aigres du mois d'août sur sa vitalité perdue.
— Ton mari va bien. Il continue de lutter sur le front. Il m'a demandé de te dire qu'il t'aimait beaucoup, et qu'avant de t'endormir, tu parles de lui à votre fils, et que tu l'embrasses pour lui.
— J'arrive pas à croire que je sois de retour, lança-t-il, mais ma mère coupa la parole au soldat et l'interrogea, peut-être au sujet de mon père. Juan toussa péniblement, sortit un chiffon de sa chemise et sécha les gouttes de sueur aigres du mois d'août sur sa vitalité perdue.
— Ton mari va bien. Il continue de lutter sur le front. Il m'a demandé de te dire qu'il t'aimait beaucoup, et qu'avant de t'endormir, tu parles de lui à votre fils, et que tu l'embrasses pour lui.
OK.
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