Siento que me desvanezco, que la habitación se mueve de forma circular. Me acerco más a la mesa y veo la foto del papá de Didier.
—Nunca lo conocí… ¿cómo se dieron cuenta?
—Con los papeles que encontramos en la casa, las fotos guardadas. Es tan asqueroso. ¿Nunca sospechó?
—No… ella me llamó Didier ayer.
—¿Cuando se la tiraba?
—Ajá
—¡Dios Santo! ¡Qué familia más loca! Lamento que te hayan metido en esa locura, muchacho. Ya te puedes ir… esto era algo que debías saber.
—¿Qué va a pasar ahora?
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
6 commentaires:
Annelise L
Je sens que je m'évanouis, que la chambre tourne autour de moi. Je m'approche de la table et vois la photo du père de Didier.
— Je ne l'ai jamais connu… comment se sont-ils aperçus de tout ça ?
— Avec les papiers qu'on a retrouvés dans la maison, les photos conservées. C'est tellement dégoûtant. Vous n'avez jamais rien soupçonné ?
— Non… elle m'a appelé Didier hier.
— Pendant que vous vous la faisiez ?
— Voilà
— Mon Dieu ! Quelle famille de dingues ! Je suis désolé qu'ils t'aient fichu dans cette pagaille, mon garçon. Tu peux y aller maintenant… il fallait que tu sois au courant.
— Et ensuite, qu'est-ce qui va se passer ?
Je sens que je m'évanouis, que la chambre tourne autour de moi. Je m'approche [et le « más » ?] de la table et vois la photo du père de Didier.
— Je ne l'ai jamais connu… comment se sont-ils aperçus [« rendu compte »] de tout ça ?
— Avec les papiers qu'on a retrouvés dans la maison, les photos conservées [nécessaire ? J'hésite]. C'est tellement dégoûtant. Vous n'avez jamais rien soupçonné ?
— Non… elle m'a appelé Didier hier.
— Pendant que vous vous la faisiez ?
— Voilà [point]
— Mon Dieu ! Quelle famille de dingues ! Je suis désolé qu'ils t'aient fichu dans cette pagaille [FS ?], mon garçon. Tu peux y aller maintenant… il fallait que tu sois au courant.
— Et ensuite, qu'est-ce qui va se passer ?
Annelise L
Je sens que je m'évanouis, que la chambre tourne autour de moi. Je m'approche davantage de la table et vois la photo du père de Didier.
— Je ne l'ai jamais connu… comment se sont-ils rendu compte de tout ça ?
— Avec les papiers qu'on a retrouvés dans la maison, les photos conservées. C'est tellement dégoûtant. Vous n'avez jamais rien soupçonné ?
— Non… elle m'a appelé Didier hier.
— Pendant que vous vous la faisiez ?
— Voilà.
— Mon Dieu ! Quelle famille de dingues ! Je suis désolé qu'ils t'aient embarqué dans cette psychose, mon garçon. Tu peux y aller maintenant… il fallait que tu sois au courant.
— Et ensuite, qu'est-ce qui va se passer ?
Je sens que je m'évanouis, que la chambre tourne autour de moi. Je m'approche davantage de la table et vois la photo du père de Didier.
— Je ne l'ai jamais connu… comment se sont-ils rendu compte de tout ça ?
— Avec les papiers qu'on a retrouvés dans la maison, les photos conservées. C'est tellement dégoûtant. Vous n'avez jamais rien soupçonné ?
— Non… elle m'a appelé Didier hier.
— Pendant que vous vous la faisiez ?
— Voilà.
— Mon Dieu ! Quelle famille de dingues ! Je suis désolé qu'ils t'aient embarqué dans cette psychose [trop loin de la V.O. // mieux quelque chose comme « cette histioire / histoire de fous »], mon garçon. Tu peux y aller maintenant… il fallait que tu sois au courant.
— Et ensuite, qu'est-ce qui va se passer ?
Annelise L
Je sens que je m'évanouis, que la chambre tourne autour de moi. Je m'approche davantage de la table et vois la photo du père de Didier.
— Je ne l'ai jamais connu… comment se sont-ils rendu compte de tout ça ?
— Avec les papiers qu'on a retrouvés dans la maison, les photos conservées. C'est tellement dégoûtant. Vous n'avez jamais rien soupçonné ?
— Non… elle m'a appelé Didier hier.
— Pendant que vous vous la faisiez ?
— Voilà.
— Mon Dieu ! Quelle famille de dingues ! Je suis désolé qu'ils t'aient embarqué dans cette histoire de fous, mon garçon. Tu peux y aller maintenant… il fallait que tu sois au courant.
— Et ensuite, qu'est-ce qui va se passer ?
Je sens que je m'évanouis, que la chambre tourne autour de moi. Je m'approche davantage de la table et vois la photo du père de Didier.
— Je ne l'ai jamais connu… comment se sont-ils rendu compte de tout ça ?
— Avec les papiers qu'on a retrouvés dans la maison, les photos conservées. C'est tellement dégoûtant. Vous n'avez jamais rien soupçonné ?
— Non… elle m'a appelé Didier hier.
— Pendant que vous vous la faisiez ?
— Voilà.
— Mon Dieu ! Quelle famille de dingues ! Je suis désolé qu'ils t'aient embarqué dans cette histoire de fous, mon garçon. Tu peux y aller maintenant… il fallait que tu sois au courant.
— Et ensuite, qu'est-ce qui va se passer ?
OK.
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