—A ti nada. Eres mayor de edad y te mandaste a una mujer mayor de edad. No es tu culpa que luego le haya dado un infarto… Vamos a investigar al resto de la familia. El incesto es un delito.
—Sí, sí, lo imagino.
Salgo y camino por el pasillo de la estación. Me detengo ante un vidrio. Veo mi reflejo, mi doble. Nadie más se detiene a verlo. Nadie más que uno puede verlo en esas circunstancias. Pienso en Didier, en las respuestas. Ahora me quedo con la historia. El hombre que era hijo y hermano de su madre, que se acostaba con ella y que no soportó nada de eso, con un cuchillo de caza entró a su garaje y de un solo tajo se cortó la mano derecha. Luego se cortaría el cuello con un lápiz. Tengo un cuchillo ahora a mi lado, cerca de mi mano. Lo guardo en el abrigo que recuperé de la casa de Didier. Lo llevo conmigo siempre. Si me llego a encontrar con mi doble yo seré quien le diga esas palabras y tomaré el filo hasta acabarlo en él. Sólo uno puede estar en la ciudad, ¿no? Y pienso ser yo.
Traduction temporaire :
Ensuite, il se serait tailladé le cou avec un crayon. À présent, il y a un couteau à côté de moi, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai tout ça et je me servirai du tranchant de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Or, ce sera moi.
— Pour toi, rien. Tu es majeur et tu t'es envoyé en l'air avec une femme majeure. Ce n'est pas ta faute si elle a fait un infarctus après… On va enquêter sur le reste de la famille. L'inceste est un délit.
— Oui, oui, j'imagine.
Je sors et emprunte le couloir de la gare. Je m'arrête devant une vitre. J'y vois mon reflet, mon double. Personne d'autre ne s'arrête pour le regarder. Personne d'autre ne peut le voir dans ces circonstances. Je pense à Didier, à ses réponses. À présent, je me concentre sur l'histoire.Ensuite, il se serait tailladé le cou avec un crayon. À présent, il y a un couteau à côté de moi, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai tout ça et je me servirai du tranchant de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Or, ce sera moi.
26 commentaires:
Annelise L
— Pour toi, rien. Tu es majeur et tu t'es envoyé en l'air avec une femme majeure. Ce n'est pas ta faute si elle a fait un infarctus après… On va interroger le reste de la famille. L'inceste est un délit.
— Oui, oui, j'imagine.
Je sors et marche en empruntant le passage de la gare. Je m'arrête devant un morceau de verre. J'y vois mon reflet, mon double. Personne d'autre ne s'arrête pour le regarder. Il n'y a qu'une seule personne qui puisse le voir dans ces circonstances. Je pense à Didier, à ses réponses. À présent, je me remémore l'histoire. L'homme qui était le fils et le frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a rien supporté de tout cela, qui est entré dans son garage avec un couteau de chasse et qui, d'un trait, s'est tranché la main droite. Ensuite il s'est cisaillé le cou à l'aide d'un stylo. J'ai un couteau à côté de moi en ce moment, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai ces mots et je me servirai de la lame jusqu'à ce que j'en ai terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Et ce sera moi.
- Pour toi : rien. Tu es plus grand et tu t'es offert à une femme mûre. Ce n'est pas de ta faute si après cela, un infarctus lui est survenu... Nous allons interroger la famille. L'inceste est un délit.
- Oui, oui, j'imagine.
Je sors et marche le long du quai de la gare. Je m'arrête devant une vitre. J'y vois mon reflet, mon double. Personne d'autre ne s'arrête pour le voir. Personne d'autre qu'une seule personne ne peut le voir dans de telles circonstances. Je pense à Didier, aux réponses. Alors, je reviens sur cette histoire. L'homme, qui était le fils et le frère de sa mère, lequel couchait avec elle et n'a supporté en rien cela, est entré dans son garage avec un couteau de chasse et d'un seul coup s'est taillé la main droite. Ensuite, il a dû se tailler le cou avec un stylo. J'ai un couteau près de moi maintenant, à portée de main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si j'en viens à tomber sur mon double, je serai celui qui dira ces mots et prendrai la lame jusqu'à ce que j'en aie fini avec lui. Un seul peut se trouver dans la ville, non? Et je pense que c'est moi.
— Pour toi, rien. Tu es majeur et tu t'es envoyé en l'air avec une femme majeure. Ce n'est pas ta faute si elle a fait un infarctus après… On va interroger [ou « enquêter sur » ? J'hésite…] le reste de la famille. L'inceste est un délit.
— Oui, oui, j'imagine.
Je sors et marche en empruntant [et avec juste « emprunte » ?] le passage [sûre ?] de la gare. Je m'arrête devant un morceau de verre [sûre ?]. J'y vois mon reflet, mon double. Personne d'autre ne s'arrête pour le regarder. Il n'y a qu'une seule personne [est-ce exactement ce que dit la V.O. ?] qui puisse le voir dans ces circonstances. Je pense à Didier, à ses [j'hésite, pour le possessif…] réponses. À présent, je me remémore [FS ?] l'histoire.
Faisons déjà cela.
L'homme qui était le fils et le frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a rien supporté de tout cela, qui est entré dans son garage avec un couteau de chasse et qui, d'un trait, s'est tranché la main droite. Ensuite il s'est cisaillé le cou à l'aide d'un stylo. J'ai un couteau à côté de moi en ce moment, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai ces mots et je me servirai de la lame jusqu'à ce que j'en ai terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Et ce sera moi.
Annelise L
— Pour toi, rien. Tu es majeur et tu t'es envoyé en l'air avec une femme majeure. Ce n'est pas ta faute si elle a fait un infarctus après… On va enquêter sur le reste de la famille. L'inceste est un délit.
— Oui, oui, j'imagine.
Je sors et emprunte le couloir de la gare. Je m'arrête face à une vitre. J'y vois mon reflet, mon double. Personne d'autre ne s'arrête pour le regarder. Personne d'autre ne peut le voir dans ces circonstances. Je pense à Didier, à ses réponses. À présent, je me concentre sur l'histoire.
— Pour toi, rien. Tu es majeur et tu t'es envoyé en l'air avec une femme majeure. Ce n'est pas ta faute si elle a fait un infarctus après… On va enquêter sur le reste de la famille. L'inceste est un délit.
— Oui, oui, j'imagine.
Je sors et emprunte le couloir de la gare. Je m'arrête face à [« devant » ?] une vitre. J'y vois mon reflet, mon double. Personne d'autre ne s'arrête pour le regarder. Personne d'autre ne peut le voir dans ces circonstances. Je pense à Didier, à ses réponses. À présent, je me concentre sur l'histoire.
Annelise L
— Pour toi, rien. Tu es majeur et tu t'es envoyé en l'air avec une femme majeure. Ce n'est pas ta faute si elle a fait un infarctus après… On va enquêter sur le reste de la famille. L'inceste est un délit.
— Oui, oui, j'imagine.
Je sors et emprunte le couloir de la gare. Je m'arrête devant une vitre. J'y vois mon reflet, mon double. Personne d'autre ne s'arrête pour le regarder. Personne d'autre ne peut le voir dans ces circonstances. Je pense à Didier, à ses réponses. À présent, je me concentre sur l'histoire.
— Pour toi, rien. Tu es majeur et tu t'es envoyé en l'air avec une femme majeure. Ce n'est pas ta faute si elle a fait un infarctus après… On va enquêter sur le reste de la famille. L'inceste est un délit.
— Oui, oui, j'imagine.
Je sors et emprunte le couloir de la gare. Je m'arrête devant une vitre. J'y vois mon reflet, mon double. Personne d'autre ne s'arrête pour le regarder. Personne d'autre ne peut le voir dans ces circonstances. Je pense à Didier, à ses réponses. À présent, je me concentre sur l'histoire.
OK.
Tu peux ne mettre que la suite – j'ai déjà collé le début dans le post.
Annelise L
L'homme qui était le fils et le frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a rien supporté de tout cela, qui est entré dans son garage avec un couteau de chasse et qui, d'un trait, s'est tranché la main droite. Ensuite il s'est cisaillé le cou à l'aide d'un stylo. J'ai un couteau à côté de moi en ce moment, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai ces mots et je me servirai de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Et ce sera moi.
El hombre que era hijo y hermano de su madre, que se acostaba con ella y que no soportó nada de eso, con un cuchillo de caza entró a su garaje y de un solo tajo se cortó la mano derecha. Luego se cortaría el cuello con un lápiz. Tengo un cuchillo ahora a mi lado, cerca de mi mano. Lo guardo en el abrigo que recuperé de la casa de Didier. Lo llevo conmigo siempre. Si me llego a encontrar con mi doble yo seré quien le diga esas palabras y tomaré el filo hasta acabarlo en él. Sólo uno puede estar en la ciudad, ¿no? Y pienso ser yo.
L'homme [virgule ?] qui était le fils et le frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a rien supporté de tout cela [naturel ?], qui [non] est entré dans son garage avec un couteau de chasse et qui [non], d'un trait [mal dit], s'est tranché la main droite.
Ensuite il s'est cisaillé le cou à l'aide d'un stylo. J'ai un couteau à côté de moi en ce moment, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai ces mots et je me servirai de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Et ce sera moi.
Annelise L
L'homme qui était à la fois fils et frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a plus supporté la situation, est entré dans son garage avec un couteau de chasse et, d'une seule entaille, s'est tranché la main droite.
L'homme qui était à la fois fils et frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a plus supporté la situation, est entré dans son garage avec un couteau de chasse et, d'une seule entaille [en le mettant à la fin, est-ce que ce ne serait pas plus fluide ? Essaie], s'est tranché la main droite.
Annelise L
L'homme qui était à la fois fils et frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a plus supporté la situation, est entré dans son garage avec un couteau de chasse et s'est tranché la main droite, d'une seule entaille.
L'homme, qui était à la fois fils et frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a plus supporté la situation, est entré dans son garage avec un couteau de chasse et s'est tranché la main droite, [virgule nécessaire ?] d'une seule entaille.
Annelise L
L'homme, qui était à la fois fils et frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a plus supporté la situation, est entré dans son garage avec un couteau de chasse et s'est tranché la main droite d'une seule entaille.
L'homme, qui était à la fois fils et frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a plus supporté la situation, est entré dans son garage avec un couteau de chasse et s'est tranché la main droite d'une seule entaille.
OK. Tu peux ajouter la suite. Laisse ce bout-là.
Annelise L
L'homme, qui était à la fois fils et frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a plus supporté la situation, est entré dans son garage avec un couteau de chasse et s'est tranché la main droite d'une seule entaille. Ensuite il s'est cisaillé le cou à l'aide d'un stylo. J'ai un couteau à côté de moi en ce moment, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai ces mots et je me servirai de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Et ce sera moi.
L'homme, qui était à la fois fils et frère de sa mère, qui couchait avec elle et qui n'a plus supporté la situation, est entré dans son garage avec un couteau de chasse et s'est tranché la main droite d'une seule entaille.
Luego se cortaría el cuello con un lápiz. Tengo un cuchillo ahora a mi lado, cerca de mi mano. Lo guardo en el abrigo que recuperé de la casa de Didier. Lo llevo conmigo siempre. Si me llego a encontrar con mi doble yo seré quien le diga esas palabras y tomaré el filo hasta acabarlo en él. Sólo uno puede estar en la ciudad, ¿no? Y pienso ser yo.
Ensuite [VIRGULE PUISQUE TU NE COMMENCES PAS PAR LE SUJET !] il s'est cisaillé [temps ?????????] le cou à l'aide d'un stylo [FS ?].
Bon reprends ça et au cas où, relis donc un peu la suite ;-)
J'ai un couteau à côté de moi en ce moment, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai ces mots et je me servirai de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Et ce sera moi.
Annelise L
Ensuite, il se serait cisaillé le cou avec un crayon. Il y a un couteau à côté de moi à présent, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai tout ça et je me servirai du tranchant du couteau jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y en avoir qu'un seul en ville, non ? Et ce sera moi.
Ensuite, il se serait cisaillé [« tailladé » ?] le cou avec un crayon. Il y a un couteau à côté de moi à présent, près de ma main [la syntaxe peut sans doute être plus naturelle ; fais des essais…]. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai tout ça et je me servirai du tranchant du couteau [naturel ?] jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y en avoir qu'un seul en ville [mal dit], non ? Et ce sera moi.
Annelise L
Ensuite, il se serait tailladé le cou avec un crayon. À présent, il y a un couteau à côté de moi, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai tout ça et je me servirai du tranchant de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Et ce sera moi.
Ensuite, il se serait tailladé le cou avec un crayon. À présent, il y a un couteau à côté de moi, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré de [sans] chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai tout ça et je me servirai du tranchant de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Et [« Or, »] ce sera moi.
Annelise L
Ensuite, il se serait tailladé le cou avec un crayon. À présent, il y a un couteau à côté de moi, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai tout ça et je me servirai du tranchant de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Or, ce sera moi.
Ensuite, il se serait tailladé le cou avec un crayon. À présent, il y a un couteau à côté de moi, près de ma main. Je le garde dans le manteau que j'ai récupéré chez Didier. Je l'ai toujours sur moi. Si jamais je tombe sur mon double, c'est moi qui lui dirai tout ça et je me servirai du tranchant de la lame jusqu'à ce que j'en aie terminé avec lui. Il ne peut y avoir que l'un de nous deux en ville, non ? Or, ce sera moi.
OK.
Maintenant, tu peux relire. Remets bien la mise en page de la V.O.
Tu veux enchaîner ?
Je vais relire, et je prends le suivant ;-)
OK.
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