Creo que resoplé varias veces. Después me levanté, abrí la puerta del baño, la cerré y apagué la luz. Iba a entrar en la habitación, Micaela estaba allí, en mi propio lecho, abrazada a mi animal y desnuda bajo mi edredón. Quería hacerle entender que no tenía derecho a jugar así conmigo. Pero me quedé en el umbral como un voyeur golpeado por sus expectativas. Justo ahí, bajo el quicio de la puerta, a menos de un metro de mi cama, se me grabó una escena a martillazos que aún me llega de improviso:
Traduction temporaire :
Je crois que je soufflai plusieurs fois. Puis, je me levai, ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais regagner la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sous mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le seuil tel un voyeur pétrifié par les émotions de l'attente. Juste là, dans l'encadrement, à moins d'un mètre d'elles, une scène qui me revient encore à l'improviste se grava à coups de marteau :
Je crois que je soufflai plusieurs fois. Puis, je me levai, ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais regagner la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sous mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le seuil tel un voyeur pétrifié par les émotions de l'attente. Juste là, dans l'encadrement, à moins d'un mètre d'elles, une scène qui me revient encore à l'improviste se grava à coups de marteau :
9 commentaires:
Je crois que je grognai plusieurs fois. Puis, je me levai, j'ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais entrer dans la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sur mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le pas de porte comme un voyeur frappé par ses attentes. Juste là, dans l'encadrement de la porte, à moins d'un mètre de mon lit, une scène qui me revient encore de temps en temps se grava à coups de marteau :
Je crois que je grognai plusieurs fois. Puis, je me levai, j'ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais entrer dans la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sur mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le pas de porte comme un voyeur frappé par ses attentes. Juste là, dans l'encadrement de la porte, à moins d'un mètre de mon lit, une scène qui me revient encore de temps en temps se grava à coups de marteau :
Je crois que je grognai [FS ?] plusieurs fois. Puis, je me levai, j'[nécessaire ?]ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais entrer [« regagner » ?] dans la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sur [« bajo »] mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le pas de porte [mets « seuil » et ça te permettra de ne pas répéter « porte »] comme un voyeur frappé par ses attentes [clair en français ?]. Juste là, dans l'encadrement de la porte [X3], à moins d'un mètre de mon lit [X2], une scène qui me revient encore de temps en temps se grava à coups de marteau :
Je crois que je soufflai plusieurs fois. Puis, je me levai, ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais regagner la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sous mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le seuil comme un voyeur stupéfait par ses envies. Juste là, dans l'encadrement, à moins d'un mètre d'elles, une scène qui me revient encore de temps en temps se grava à coups de marteau :
Je crois que je soufflai plusieurs fois. Puis, je me levai, ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais regagner la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sous mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le seuil comme un voyeur stupéfait par ses envies [j'hésite sur l'interprétation ; demande quand même son avis à la mère Elena ;-)]. Juste là, dans l'encadrement, à moins d'un mètre d'elles, une scène qui me revient encore de temps en temps [pas ce que dit la V.O.] se grava à coups de marteau :
Je crois que je soufflai plusieurs fois. Puis, je me levai, ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais regagner la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sous mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le seuil tel un voyeur en proie aux émotions de l'attente. Juste là, dans l'encadrement, à moins d'un mètre d'elles, une scène qui me revient encore à l'improviste se grava à coups de marteau :
Je crois que je soufflai plusieurs fois. Puis, je me levai, ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais regagner la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sous mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le seuil tel un voyeur en proie aux [« saisi par » ? J'hésite… Surtout : il faut qu'on aille vers quelque chose de fluide… Sinon, je suis certaine que nous serons obligées d'y revenir au moment des relectures…] émotions de l'attente. Juste là, dans l'encadrement, à moins d'un mètre d'elles, une scène qui me revient encore à l'improviste se grava à coups de marteau :
Je crois que je soufflai plusieurs fois. Puis, je me levai, ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais regagner la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sous mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le seuil tel un voyeur pétrifié par les émotions de l'attente. Juste là, dans l'encadrement, à moins d'un mètre d'elles, une scène qui me revient encore à l'improviste se grava à coups de marteau :
Je crois que je soufflai plusieurs fois. Puis, je me levai, ouvris la porte de la salle de bain, la refermai et éteignis la lumière. J'allais regagner la chambre, Micaela était là, dans mon propre lit, nue sous mon édredon, serrant mon animal dans ses bras. Je voulais lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le droit de jouer avec moi comme ça. Mais je restai sur le seuil, tel un voyeur pétrifié par les émotions de l'attente. Juste là, dans l'encadrement, à moins d'un mètre d'elles, une scène qui me revient encore à l'improviste se grava à coups de marteau :
OK.
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