Rossana Díaz Costa (Pérou)
Con Alfredo, en La Coruña
Y yo muerto de miedo, pensando en el Pontiac; tal vez Jimmy se iba a enterar de que ése era el de mi padre, se iba a burlar tal vez, lo iba a ver más viejo, más ancho, más feo que yo. “Con Jimmy, en Paracas”, Alfredo Bryce Echenique.
Fue Silvia, mi compañera de clase, la que me dijo ese día por la mañana: “Alfredo Bryce Echenique está en La Coruña y va a dar una conferencia hoy día por la noche en el Teatro Colón”. No lo pensé dos veces. Hablé al mediodía con las madres de mis pequeños alumnos y asunto arreglado. Les daría media hora menos de clase a cada uno y podría llegar a tiempo a ver y escuchar a Alfredo, curiosamente, en La Coruña.
Traduction temporaire :
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; Jimmy apprendrait-il qu’elle était à mon père, peut-être se moquerait-il, la verrait-il plus vielle, plus grosse, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
22 commentaires:
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, en Corogne
En pensant à la Pontiac j'étais mort de peur ; car Jimmy apprendrait que cette dernière était éventuellement celle de mon père, il se moquerait probablement, il le verrait plus vieux, plus gros, plus moche que moi. « En compagnie de Jimmy, à Paracas », Alfredo Bryce Echenique.
Ce fut Sylvia, ma copine d’école, qui m’a dit ce matin là : « Alfredo Bryce Echenique est en Corogne et il va faire une conférence cette nuit même au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé à midi aux mères de mes petits élèves et l’affaire était dans le sac. Je leur ferai une demie heure de moins de cours à chacun et je pourrais y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, en Corogne.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, en Corogne [ou la ville ? J'hésite]
En pensant à la Pontiac j'étais mort de peur ; car Jimmy apprendrait que cette dernière était éventuellement celle de mon père, il se moquerait probablement, il le verrait plus vieux, plus gros, plus moche que moi. « En compagnie de Jimmy, à Paracas », Alfredo Bryce Echenique.
[question 1 à propos de la phrase d'exergue : ce texte de Bryce Echenique a-t-il été traduit ? Car si c'est le cas, mieux vaut prendre la traduction officielle… car c'est cela que connaît le lecteur francophone. On ne traduit que s'il n'existe pas de traduction officielle. Je vous laisse vérifier et me dire // Cf Amazon ou BNF]
Ce fut Sylvia, ma copine d’école, qui m’a dit [là, on a un sérieux pb de temps, car vous ne pouvez pas mélanger le passé simple [« fut »] et le passé composé « m'a dit » // c'est l'un ou l'autre et vous devez le décider au départ, puis vous y tenir… Il fait harmoniser. Quoi qu'il en soit, en français « ce fut » n'est pas très naturel… On passerait plus spontanément par « C'est » : c'est dans cette maison que je suis né, etc. Il n'en reste pas moins que vous devez choisir à quel temps du passé vous allez traduire votre texte… Ça dépend du type de narrateur, du ton général du texte, etc.] ce matin là [orthographe] [et : «» este día ] ? :
Bon réglons déjà les différents problèmes que pose cette section et on verra la suite après.
« Alfredo Bryce Echenique est en Corogne et il va faire une conférence cette nuit même au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé à midi aux mères de mes petits élèves et l’affaire était dans le sac. Je leur ferai une demie heure de moins de cours à chacun et je pourrais y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, en Corogne.
j'aimerais qu'on mette la citation de côté, pour l'instant, j'irais en bibliothèque pour trouver la traduction déjà faite...
concernant "ese dia" que vous avez souligné, je mettais dit que "ce matin-là" traduisait bien l'idée de "ese dia por la mña"
sinon je peux essayer la chose suivante: " en ce jour matinal" /un matin/ dans la matinée du même jour...
ce qui donne:
Avec Alfredo, en Corogne
"[citation à trouver]"
C'est Sylvia, ma copine d’école, qui m’a dit dans la matinée du même jour: « Alfredo Bryce Echenique est en Corogne et il va faire une conférence cette nuit même au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé à midi aux mères de mes petits élèves et l’affaire était dans le sac. Je leur ferai une demi heure de moins de cours à chacun et je pourrais y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, en Corogne.
Remettre le nom de l'auteur et le pays – je dois ensuite faire le copier / coller dans « Travaux en cours » (colonne de droite)
Avec Alfredo, en Corogne
"[citation à trouver]"
C'est Sylvia, ma copine d’école, qui m’a dit dans la matinée du même jour[espace avant les signes de ponctuation fort + revenez plus près de la V.O. Vous vous éloignez inutilement]: « Alfredo Bryce Echenique est en Corogne et il va faire [il y a un verbe mieux] une conférence cette nuit [« nuit » ?] même [nécessaire alors qu'on a « ce » ?] au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. [deux points explicatifs ?] J’en [« en » ?] ai parlé à midi [au début de la phrase ? Essayez et voyez ce qui est mieux] aux mères de mes petits élèves et l’affaire était dans le sac [pourquoi vous changez alors que la traduction littérale convient très bien ? Attention à la tentation du changement pour le changement]. Je leur ferai une demi heure [orthographe] de moins de cours à chacun et je pourrais [grammaire // relisez-vous bien avant de publier] y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, en Corogne.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, en Corogne
"[citation en cours !!]"
C'est Sylvia, ma copine d’école, qui m’a dit ce jour-là dans la matinée : « Alfredo Bryce Echenique est en Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferai une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, en Corogne.
1. Je ne mettrais pas les « : » après « je n’y ai pas réfléchi à deux fois, je comprends bien l’idée explicatif qu’engendre les « : » mais je veux comme l’auteur marquer une rupture, une pause si vous préférez.
2. Si j’ai mis « en » dans « j’en ai parlé » c’est pour marquer l’oralité, on sent un discours indirect libre et le niveau de langue me semble courant c’est pourquoi j’ai opté pour « j’en ai parlé » plutôt que « j’ai parlé »
3. Je ne comprends pas pourquoi « pourrais » ne marche pas ?, d’une part l’espagnol met le conditionnel, marquant l’hypothèse et le français à cette même valeur ; d’autre part, cette éventualité d’aller voir Alfredo est renforcée par « y être à temps », rien n’est sûr. Je ne sais pas si vous pensiez au futur mais dans ce contexte il ne me semble pas être plus marquant que le conditionnel.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, en Corogne
"[citation en cours]"
C'est Sylvia, ma copine d’école, qui m’a dit [mettez ça après] ce jour-là [virgule] dans la matinée : « Alfredo Bryce Echenique est en Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferai [temps] une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais [« ainsi »] y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, en Corogne.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, en Corogne
"[citation en cours]"
Ce jour-là, dans la matinée, ma copine d'école, Sylvia, m'a dit : « Alfredo Bryce Echenique est en Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, en Corogne.
1. je me demande si le début, mis comme ça, n'est pas plus fluide et on ne perd pas le sens d'origine. Qu'en pensez-vous?
2. je veux bien mettre votre proposition de "ainsi" il est vrai que la tournure sonne mieux comme ça, mais vous même vous nous dîtes de ne pas faire de "rajout" que si le texte d'origine marche aussi bien en français qu'en espagnol il faut le laisser tel quel. si je vous dis cela c'est pour mieux comprendre les démarches lorsqu'il faut traduire et ainsi améliorer la qualité de mes phrases.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, en Corogne
"[citation en cours]"
Ce jour-là, dans la matinée, ma copine d'école, Sylvia, m'a dit : « Alfredo Bryce Echenique est en Corogne [plus j'y réfléchis, plus je me demande si c'est pas la ville… puisque c'est dans un endroit précis… // le cas échéant, il faudra changer dans le titre] et il va donner [juste un indicatif ?] une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je [nécessaire ?] pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, en Corogne.
1. je me demande si le début, mis comme ça, n'est pas plus fluide et on ne perd pas le sens d'origine. Qu'en pensez-vous?
2. je veux bien mettre votre proposition de "ainsi" il est vrai que la tournure sonne mieux comme ça, mais vous même vous nous dîtes [orthographe / grammaire : DITES – pas d'accent] de ne pas faire de "rajout" que si le texte d'origine marche aussi bien en français qu'en espagnol il faut le laisser tel quel. si je vous dis cela c'est pour mieux comprendre les démarches lorsqu'il faut traduire et ainsi améliorer la qualité de mes phrases. // cf ce que je vous ai expliqué sur le parvis hier quand vous attendiez Monsieur L. ;-)
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
En pensant à la Pontiac j'étais mort de peur ; car Jimmy apprendrait que cette dernière était éventuellement celle de mon père, il se moquerait probablement, il le verrait plus vieux, plus gros, plus moche que moi. « En compagnie de Jimmy, à Paracas », Alfredo Bryce Echenique.
Ce jour-là, dans la matinée, ma copine d'école, Sylvia, m'a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
1. suite à notre conversation, j'ai supprimé l'ancien message pour rectifier le problème concernant La Corogne
2. toujours lors de notre conversation, et suite à l'incapacité de trouver une traduction déjà faite de la citation je vous mets de nouveau ma proposition.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
En pensant à la Pontiac j'étais mort de peur [vous changez trop… C'est de la réécriture] ; car [FS / CS] Jimmy apprendrait que cette dernière [nécessaire ?] était éventuellement [pourquoi cet ajout qui change le sens ?] celle de mon père, il se moquerait probablement, il le [CS ?] verrait plus vieux, plus gros, plus moche que moi. « En compagnie de Jimmy, à Paracas [ne traduisez pas, puisque cela n'a pas été traduit] », Alfredo Bryce Echenique.
Fue Silvia, mi compañera de clase, la que me dijo ese día por la mañana: “Alfredo Bryce Echenique está en La Coruña y va a dar una conferencia hoy día por la noche en el Teatro Colón”. No lo pensé dos veces. Hablé al mediodía con las madres de mis pequeños alumnos y asunto arreglado. Les daría media hora menos de clase a cada uno y podría llegar a tiempo a ver y escuchar a Alfredo, curiosamente, en La Coruña.
[Qd même ennuyeux d'avoir supprimé la tournure « Fue… quien » // revenez à la V.O.] Ce jour-là, dans la matinée, ma copine d'école, Sylvia, m'a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; peut-être que Jimmy apprendrait que cette dernière était celle de mon père, il se moquerait probablement, il le verrait plus vieux, plus gros, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
1. « cette dernière » me semblait bien du point de vu anaphorique pour éviter la tournure « celle-ci » mais je peux en changer. Mais c’était aussi pour éviter la répétition entre « celle-ci » et plus loin « celle de mon père »
2. Je pense que « lo iba a ver más viejo etc” fait écho au père, comme on parle de voiture, la Pontiac donne peut-être un genre, vous voyez ? c’est la différence entre celui qui a une 2CV et celui qui a un coupé cabriolet. Je pense donc dans cette tournure que Jimmy voit à travers la voiture, l’image du père, quelqu’un de plus vieux etc.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; peut-être que [pas besoin] Jimmy apprendrait[« -il »] que cette dernière [« qu'elle » suffit // allez vers l'allègement…] était celle de mon père, il se moquerait probablement [pas besoin… restez sur la construction de votre « peut-être »], il le [le père ou la voiture ?] verrait [toujours régit par le « peut-être » ?] plus vieux, plus gros, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; Jimmy apprendrait-il qu’elle était à mon père, peut-être qu’il se moquerait, il le verrait plus vieux, plus gros, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
1. « Il le verrait » est, pour moi, régit par le « peut-être », mais le conditionnel marque déjà l’hypothèse, le fait de mettre « peut-être » renforcerait le doute, mais surtout, ne serait-ce pas un ajout par rapport au texte d’origine ?
2. Pour vous répondre sur « il le verrait » il s’agit du père, sinon j’aurais mis « la » et la suite aurait été au féminin. Je ne vois pas ce qu’il ne va pas dans la formulation ; en espagnol le doute est très présent « el Pontiac, el padre », mais en français la distinction est plus précise puisque c’est au féminin… en somme, pour moi, il s’agit du père.
2. oui, j'ai compris, je ne suis pas encore vieille à ce point ;-) Et si, donc, je vous le fais remarquer, il y a fort à parier que c'est pour vous signaler implicitement / diplomatiquement, que vous avez un contresens… et que vous gagneriez par conséquent à reconsidérer la question.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; Jimmy apprendrait-il qu’elle était à mon père, peut-être qu’il se moquerait, il la verrait plus vielle, plus grosse, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
1. en y réfléchissant d'avantage, il se peut qu'on parle de la voiture, dans le sens ou Jimmy pensera que la voiture n'est pas de l'âge du narrateur. j'espère que c'est bien ça car sinon je ne vois pas...
Oui, bien sûr, qu'il parle de la voiture.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; Jimmy apprendrait-il qu’elle était à mon père, peut-être qu’il se moquerait [« peut-être se moquerait-il »], il la verrait plus vielle, plus grosse, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; Jimmy apprendrait-il qu’elle était à mon père, peut-être se moquerait-il, il la verrait plus vielle, plus grosse, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; Jimmy apprendrait-il qu’elle était à mon père, peut-être se moquerait-il, il la verrait [« la verrait-il »… puisque c'est toujours régi par votre « peut-être »] plus vielle, plus grosse, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne [point]
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; Jimmy apprendrait-il qu’elle était à mon père, peut-être se moquerait-il, la verrait-il plus vielle, plus grosse, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
Rossana Díaz Costa (Pérou)
Avec Alfredo, à La Corogne
Et moi, mort de peur, je songeais à la Pontiac ; Jimmy apprendrait-il qu’elle était à mon père, peut-être se moquerait-il, la verrait-il plus vielle, plus grosse, plus moche que moi. «Con Jimmy, en Paracas», Alfredo Bryce Echenique.
C'est Sylvia, ma copine d’école, ce jour-là, dans la matinée, qui m’a dit : « Alfredo Bryce Echenique est à La Corogne et il va donner une conférence ce soir au théâtre Colón ». Je n’y ai pas réfléchi à deux fois. J’en ai parlé aux mères de mes petits élèves et l’affaire était réglée à midi. Je leur ferais une demi-heure de moins de cours à chacun et je pourrais ainsi y être à temps pour voir et écouter Alfredo, avec curiosité, à La Corogne.
OK ! On peut passer à la suite.
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