Mi gata me mira toda ella quieta. Y yo sigo ahí, de pie, sin moverme del umbral de mi habitación. Ni me uno a ellas ni las arrastro por el pasillo ni clavo mis uñas en el hocico. Solo me quedo allí mirando. Micaela. Mica. Mi. Mi, mi, mí. Agarra a la gata de tal modo que aplasta el cuello y las patas del animal contra sí. Conozco ese contacto. Puedo sentir el pelo de mi gata sobre mi propio pecho. Acariciarla y morderle las orejas, eso le falta a Micaela. También siento mi humedad en el umbral de los labios a punto de escaparse, pero aprieto los muslos y doy un puñetazo en el quicio de la puerta.
Traduction temporaire :
Ma chatte me regarde, parfaitement immobile. Et moi, je reste là, debout, sans bouger du pas de ma chambre. Je ne les rejoins pas, ne les traîne pas dans le couloir et ne plante pas non plus mes ongles dans sa gueule. Je reste juste là, à regarder. Micaela. Mica. Mi. Mi, mi, moi. Elle attrape la chatte d'une telle façon qu'elle écrase le cou et les pattes de l'animal contre elle. Je connais ce contact. Je peux sentir le pelage de ma chatte sur ma propre poitrine. La caresser et lui mordre les oreilles, ça, Micaela ne le fait pas. Je sens également l'humidité au bord de mes lèvres, prête à s'échapper, mais je sers les cuisses et je donne un coup de poing dans l'encadrement de la porte.
Ma chatte me regarde, parfaitement immobile. Et moi, je reste là, debout, sans bouger du pas de ma chambre. Je ne les rejoins pas, ne les traîne pas dans le couloir et ne plante pas non plus mes ongles dans sa gueule. Je reste juste là, à regarder. Micaela. Mica. Mi. Mi, mi, moi. Elle attrape la chatte d'une telle façon qu'elle écrase le cou et les pattes de l'animal contre elle. Je connais ce contact. Je peux sentir le pelage de ma chatte sur ma propre poitrine. La caresser et lui mordre les oreilles, ça, Micaela ne le fait pas. Je sens également l'humidité au bord de mes lèvres, prête à s'échapper, mais je sers les cuisses et je donne un coup de poing dans l'encadrement de la porte.
4 commentaires:
Ma chatte me regarde, immobile. Et moi, je reste là, debout, sans bouger du pas de la porte de ma chambre. Je ne les rejoins pas, ne les traîne pas dans le couloir et ne plante pas non plus mes ongles dans sa gueule. Je reste seulement là, à regarder. Micaela. Mica. Mi. Mi, mi, moi. Elle attrape la chatte d'une telle façon qu'elle aplatit le cou et les pattes de l'animal contre elle. Je connais ce contact. Je peux sentir le pelage de ma chatte sur ma propre poitrine. La caresser et lui mordre les oreilles, ça, Micaela ne le fait pas. Je sens également l'humidité au bord de mes lèvres prête à s'échapper, mais je sers les cuisses et je donne un coup de poing dans l'encadrement de la porte.
Ma chatte me regarde, [il faut quand même rendre l'idée de « toda »] immobile. Et moi, je reste là, debout, sans bouger du pas de la porte de ma chambre. Je ne les rejoins pas, ne les traîne pas dans le couloir et ne plante pas non plus mes ongles dans sa gueule. Je reste seulement [« juste » ?] là, à regarder. Micaela. Mica. Mi. Mi, mi, moi. Elle attrape la chatte d'une telle façon qu'elle aplatit [« écrase » ?] le cou et les pattes de l'animal contre elle. Je connais ce contact. Je peux sentir le pelage de ma chatte sur ma propre poitrine. La caresser et lui mordre les oreilles, ça, Micaela ne le fait pas. Je sens également l'humidité au bord de mes lèvres [virgule ?] prête à s'échapper, mais je sers les cuisses et je donne un coup de poing dans l'encadrement de la porte [supprime le « porte » que tu as un peu plus tôt].
Ma chatte me regarde, parfaitement immobile. Et moi, je reste là, debout, sans bouger du pas de ma chambre. Je ne les rejoins pas, ne les traîne pas dans le couloir et ne plante pas non plus mes ongles dans sa gueule. Je reste juste là, à regarder. Micaela. Mica. Mi. Mi, mi, moi. Elle attrape la chatte d'une telle façon qu'elle écrase le cou et les pattes de l'animal contre elle. Je connais ce contact. Je peux sentir le pelage de ma chatte sur ma propre poitrine. La caresser et lui mordre les oreilles, ça, Micaela ne le fait pas. Je sens également l'humidité au bord de mes lèvres, prête à s'échapper, mais je sers les cuisses et je donne un coup de poing dans l'encadrement de la porte.
Ma chatte me regarde, parfaitement immobile. Et moi, je reste là, debout, sans bouger du pas de ma chambre. Je ne les rejoins pas, ne les traîne pas dans le couloir et ne plante pas non plus mes ongles dans sa gueule. Je reste juste là, à regarder. Micaela. Mica. Mi. Mi, mi, moi. Elle attrape la chatte d'une telle façon qu'elle écrase le cou et les pattes de l'animal contre elle. Je connais ce contact. Je peux sentir le pelage de ma chatte sur ma propre poitrine. La caresser et lui mordre les oreilles, ça, Micaela ne le fait pas. Je sens également l'humidité au bord de mes lèvres, prête à s'échapper, mais je sers les cuisses et je donne un coup de poing dans l'encadrement de la porte.
OK.
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