Se arrodilló frente a él, murmuró algo a sus oídos y sin dejar de llorar lo atrajo con fuerza y hundió sus ásperos labios contra los suyos. De inmediato Julio sintió la lengua del tipo revolcándose en su garganta, los gruesos bigotes lastimando su nariz y el aliento a tabaco asfixiándolo. No entendía nada. Su madre lloraba. ¿Y luego, hijo, qué pasó luego?
–Nada –contestó él–. Sólo se fue sin decir nada. –Y luego de unos segundos, abriendo más los ojos–: Era mi papá ¿no?
–Claro que no. Tu papá está muerto.
–Pero…
–¿Entiendes eso, verdad?
–Sí.
–No vuelvas a hablar con nadie, hijo. Estás prohibido.
–¿Y tú crees que no he visto lo que has hecho? –dice Julio–. ¿Ah, burra?
Traduction temporaire :
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rêches contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les moustaches rugueuses lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
— Rien, a-t-il répondu. Il est juste parti sans rien dire. Et après quelques secondes, en ouvrant davantage les yeux : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais…
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parle plus à personne, fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu, ce que tu as fait ? dit Julio. Hein, bourrique ?
16 commentaires:
Il se mit à genoux face à lui, murmura quelque chose et sans cesser de pleurer l'attira avec force et plongea ses âpres lèvres dans les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type bouger dans sa bouche, les grosses moustaches lui faisaient mal au nez et l'odeur du tabac dans son souffle l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
– Rien –a-t-il répondu–. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
– Bien sûr que non. Ton père est mort.
– Mais...
– Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
– Oui.
– Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
– Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ?
Il se mit à genoux [ou « s'agenouilla » ? Je vous laisse trancher…] face à lui, murmura quelque chose [et « a sus oídos » ?] et [virgule] sans cesser de pleurer [virgule] l'attira avec force et plongea [bizarre, non ? Je sais que c'est la traduction littérale, mais bon…] ses âpres lèvres [naturel ?] dans [?????] les siennes.
Faisons déjà cela.
Julio sentit immédiatement la langue du type bouger dans sa bouche, les grosses moustaches lui faisaient mal au nez et l'odeur du tabac dans son souffle l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
– Rien –a-t-il répondu–. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
– Bien sûr que non. Ton père est mort.
– Mais...
– Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
– Oui.
– Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
– Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à l'oreille et, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rugueuses contre les siennes.
Faisons déjà cela.
Julio sentit immédiatement la langue du type bouger dans sa bouche, les grosses moustaches lui faisaient mal au nez et l'odeur du tabac dans son souffle l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
– Rien –a-t-il répondu–. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
– Bien sûr que non. Ton père est mort.
– Mais...
– Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
– Oui.
– Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
– Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à l'oreille [à l'oreille de qui ? Il manque quelque chose ici] et, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rugueuses contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type bouger [« tourner » ?] dans sa bouche, les grosses [inexact ? Vérifiez] moustaches lui faisaient mal [un peu fort ? Ou alors une solution sans « faire »] au nez et l'odeur du tabac dans son souffle [mal dit] l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
– [tiret long pour les dialogues = — ; occupez-vous de remplacer jusqu'au bout du fragment] Rien –a-t-il répondu–. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
– Bien sûr que non. Ton père est mort.
– Mais...
– Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
– Oui.
– Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
– Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille et, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rugueuses contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les irrégulières moustaches le piquaient au nez et l'odeur du tabac dans sa respiration l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
— Rien –a-t-il répondu–. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais...
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille et, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et [il faut supprimer l'un des « et »] posa ses lèvres rugueuses contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les irrégulières [mal dit] moustaches le [mal dit] piquaient au [mal dit] nez et l'odeur du tabac dans sa respiration [mal dit] l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
Faisons déjà cela.
— Rien –a-t-il répondu–. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais...
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rugueuses contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les inégales moustaches lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
[Faisons déjà cela.
— Rien –a-t-il répondu–. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais...
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ? ]
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rugueuses contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les inégales [FS] moustaches lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
[Faisons déjà cela.
— Rien –a-t-il répondu–. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais...
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ? ]
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rugueuses contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les épaisses moustaches lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
[Faisons déjà cela.
— Rien –a-t-il répondu–. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais...
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ? ]
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rugueuses contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les épaisses [« rugueuses » / « rêches » + placé après] moustaches lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
— Rien –[pas tiret, mais virgule // harmonisez dans la suite]a-t-il répondu–[le point suffit ; pas de tiret]. Il est juste parti sans rien dire. –Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux– : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais...
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? –dit Julio–. Hein bourrique ? ]
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rugueuses contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les moustaches rugueuses lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
— Rien, a-t-il répondu. Il est juste parti sans rien dire. Et après quelques secondes, en ouvrant plus les yeux : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais...
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles plus aux inconnus fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? Dit Julio. Hein bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rugueuses contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les moustaches rugueuses [on a « rugueuses » dans la phrase d'avant ; il faut trouver un synonyme pour l'un ou l'autre – je crois vous avoir proposé autre chose pour ici, mais voyez si vous trouvez mieux ou s'il est plus simple de changer le premier] lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
— Rien, a-t-il répondu. Il est juste parti sans rien dire. Et après quelques secondes, en ouvrant plus [« davantage » ?] les yeux : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais... [les raccourci clavier pour les points de suspension ; pas trois points à la suite]
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles plus aux inconnus [pas ce qui est écrit] [virgule] fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? D[minuscule]it Julio. Hein [virgule] bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rèches contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les moustaches rugueuses lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
— Rien, a-t-il répondu. Il est juste parti sans rien dire. Et après quelques secondes, en ouvrant davantage les yeux : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais…
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles plus à personne, fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu ce que tu as fait ? dit Julio. Hein, bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rèches [orthographe] contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les moustaches rugueuses lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
— Rien, a-t-il répondu. Il est juste parti sans rien dire. Et après quelques secondes, en ouvrant davantage les yeux : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais…
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parles [grammaire] plus à personne, fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu [virgule] ce que tu as fait ? dit Julio. Hein, bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rêches contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les moustaches rugueuses lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
— Rien, a-t-il répondu. Il est juste parti sans rien dire. Et après quelques secondes, en ouvrant davantage les yeux : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais…
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parle plus à personne, fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu, ce que tu as fait ? dit Julio. Hein, bourrique ?
Il s'agenouilla face à lui, murmura quelque chose à son oreille, sans cesser de pleurer, l'attira avec force et posa ses lèvres rêches contre les siennes. Julio sentit immédiatement la langue du type tourner dans sa bouche, les moustaches rugueuses lui piquaient le nez et l'odeur du tabac dans son haleine l'asphyxiait. Il ne comprenait rien. Sa mère pleurait. Et ensuite fiston, que s'est-il passé ?
— Rien, a-t-il répondu. Il est juste parti sans rien dire. Et après quelques secondes, en ouvrant davantage les yeux : C'était mon père, non ?
— Bien sûr que non. Ton père est mort.
— Mais…
— Tu comprends ça, n'est-ce-pas ?
— Oui.
— Ne parle plus à personne, fiston. Je te l'interdis.
— Et tu crois que je n'ai pas vu, ce que tu as fait ? dit Julio. Hein, bourrique ?
OK.
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