Iba a pasar el domingo con su familia. ¡Cosas de pobre! Él trabajaba algo en Albacete y su mujer servia en un pueblo. El hambre los habia separado. Al principio, hacia el viaje a pie; toda una noche de marcha; y cuando llegaba por la mañana, caia rendido, sin ganas de hablar con su mujer ni de jugar con los chicos. Pero ya se habia despabilado, ya no tenia miedo, y hacia el viaje tan ricamente en el tren. Ver a sus hijos le daba fuerzas para trabajar más toda la semana. Tenia tres: el pequeño era asi, no levantaba dos palmos del suelo, y, sin embargo, le reconocia, y, al verle entrar tendiale los brazos al cuello.
Traduction temporaire :
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il était maintenant bien plus dégourdi, il n'avait plus peur, et il voyageait si bien en train !
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : le cadet avait beau être haut comme trois pommes, il reconnaissait quand même son père, et, lorsqu'il le voyait rentrer, il tendait les bras vers son cou.
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : le cadet avait beau être haut comme trois pommes, il reconnaissait quand même son père, et, lorsqu'il le voyait rentrer, il tendait les bras vers son cou.
19 commentaires:
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des trucs de pauvres ! Il travaillait à Albacète et sa femme officiait dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le voyage à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans l'envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il s'était déjà dépêché, à présent il n'avait plus peur, il faisait un voyage en train si agréable. Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois :
ainsi, le petit ne dépassait pas deux empans, cependant, ce dernier le reconnaissait, et, lorsqu'il le voyait rentrer, il lui tendait les bras en direction de son cou[formulation que je ne trouve vraiment pas naturelle, cependant j'ai beau chercher, je n'arrive pas à retranscrire l'idée sans m'éloigner de la VO..., auriez-vous des idées ?].
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des trucs [registre ?] de pauvres ! Il travaillait [et le « algo » ?] à Albacète et sa femme officiait [FS] dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait [on peut laisser, mais comme vous en avez déjà un dans la section d'avant, je crains qu'on se complique les choses pour nos futures relectures…] le voyage à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans l'envie de [fluide ?] parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il s'était déjà dépêché [CS ?], à présent il n'avait plus peur, il faisait [idem] un voyage en train si agréable [pas exactement ce que dit le texte…].
Faisons déjà cela.
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois :
ainsi, le petit ne dépassait pas deux empans, cependant, ce dernier le reconnaissait, et, lorsqu'il le voyait rentrer, il lui tendait les bras en direction de son cou[formulation que je ne trouve vraiment pas naturelle, cependant j'ai beau chercher, je n'arrive pas à retranscrire l'idée sans m'éloigner de la VO..., auriez-vous des idées ?].
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des choses de pauvres ! Il travaillait dans quelque chose à Albacète et sa femme était domestique dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il voyageait à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il s'était déjà réveillé, à présent il n'avait plus peur, il voyageait si merveilleusement bien en train.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des choses de pauvres ! Il travaillait dans quelque chose [CS] à Albacète et sa femme était domestique [registre / contexte ?] dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il voyageait [« faisait le trajet » ?] à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il s'était déjà réveillé [sens ?], à présent il n'avait plus peur, il voyageait si merveilleusement bien en train [pas très naturel].
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des choses de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et sa femme était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il avait déjà donné, à présent il n'avait plus peur, il voyageait si confortablement en train.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des choses [« histoires » ?] de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et sa femme [« épouse » – pour ne pas répéter ?] était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il avait déjà donné [CS ?], à présent il n'avait plus peur, il voyageait si [« bien » ?] confortablement en train.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il avait déjà donné [je n'arrive pas à traduire "despabilado", j'ai beau cherché, le sens ne colle pas. Une amie espagnole me dit qu'elle y voit plusieurs sens : il s'est mis au travail/ il est devenu courageux... Auriez-vous une idée ? Tandis que sur la RAE, ils parlent de quelqu'un d'intelligent, de vif, d'éveillé...], à présent il n'avait plus peur, il voyageait si bien en train.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il avait déjà donné [je n'arrive pas à traduire "despabilado", j'ai beau cherché, le sens ne colle pas. Une amie espagnole me dit qu'elle y voit plusieurs sens : il s'est mis au travail/ il est devenu courageux... Auriez-vous une idée ? Tandis que sur la RAE, ils parlent de quelqu'un d'intelligent, de vif, d'éveillé...], à présent il n'avait plus peur, il voyageait si bien en train.
Je vous envoie Elena.
Bonjour,
Pero ya se habia despabilado, ya no tenia miedo, y hacia el viaje tan ricamente en el tren.
C'est dans le sens de "avivado", je le traduirais par "dégourdir".
Bonjour,
Merci beaucoup pour votre réponse =)
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il s'était déjà dégourdi, à présent il n'avait plus peur, il voyageait si bien en train. Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois :
ainsi, le petit ne dépassait pas deux empans, cependant, ce dernier le reconnaissait, et, lorsqu'il le voyait rentrer, il lui tendait les bras jusqu'au cou.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il s'était déjà [pas très naturel] dégourdi, à présent il n'avait plus peur, [« et » ?] il voyageait si bien en train. [point d'exclamation ?]
Ver a sus hijos le daba fuerzas para trabajar más toda la semana. Tenia tres:
el pequeño era asi, no levantaba dos palmos del suelo, y, sin embargo, le reconocia, y, al verle entrar tendiale los brazos al cuello.
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : ainsi, le [pas ce que dit la V.O.] petit ne dépassait pas deux empans [naturel ?], cependant, ce dernier le reconnaissait [naturel ?], et, lorsqu'il le voyait rentrer, il lui tendait les bras jusqu'au [dis donc, il doit avoir les bras très très très longs ;-)] cou.
Oui, au fait, merci, Elena.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il s'était déjà["déjà" n'est pas naturel ou c'est "dégourdi" d'après vous ?], à présent il n'avait plus peur, et il voyageait si bien en train !
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : ainsi, le cadet était haut comme trois pommes, cependant, ce dernier reconnaissait son père [je rajoute "son père" pour rendre la structure plus naturelle, qu'en pensez-vous ?] , et, lorsqu'il le voyait rentrer, il lui tendait les bras en direction du cou[pas naturel ici d'après/on ne se moque pas hein ! ^^].
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il s'était déjà["déjà" n'est pas naturel ou c'est "dégourdi" d'après vous ? Le « déjà »], à présent il n'avait plus peur, et il voyageait si bien en train !
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : ainsi [nécessaire ?], le cadet était haut comme trois pommes, cependant [? Bon, passez par « avoir beau »], ce dernier reconnaissait son père [je rajoute "son père" pour rendre la structure plus naturelle, qu'en pensez-vous ?] , et, lorsqu'il le voyait rentrer, il lui tendait les bras en direction du cou[pas naturel ici d'après/on ne se moque pas hein ! ^^].
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il s'était dégourdi auparavant, à présent il n'avait plus peur, et il voyageait si bien en train !
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : le cadet avait beau être haut comme trois pommes, il reconnaissait quand même son père , et, lorsqu'il le voyait rentrer, il tendait les bras en direction de son cou.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il était maintenant bien plus dégourdi , à présent il n'avait plus peur, et il voyageait si bien en train !
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : le cadet avait beau être haut comme trois pommes, il reconnaissait quand même son père , et, lorsqu'il le voyait rentrer, il tendait les bras vers son cou.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il était maintenant bien plus dégourdi, à présent [nécessaire, vu qu'on a déjà « maintenant » ?] il n'avait plus peur, et il voyageait si bien en train !
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : le cadet avait beau être haut comme trois pommes, il reconnaissait quand même son père, et, lorsqu'il le voyait rentrer, il tendait les bras vers son cou.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il était maintenant bien plus dégourdi, il n'avait plus peur, et il voyageait si bien en train !
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : le cadet avait beau être haut comme trois pommes, il reconnaissait quand même son père, et, lorsqu'il le voyait rentrer, il tendait les bras vers son cou.
Il allait passer le dimanche avec sa famille. Des histoires de pauvres ! Il travaillait un peu à Albacète et son épouse était servante dans un village. La faim les avait séparés. Au début, il faisait le trajet à pied : toute une nuit de marche, et quand il arrivait le matin, il s'écroulait d'épuisement, sans aucune envie de parler à sa femme ou de jouer avec ses enfants. Mais il était maintenant bien plus dégourdi, il n'avait plus peur, et il voyageait si bien en train !
Voir ses enfants lui donnait la force de travailler encore plus toute la semaine. Il en avait trois : le cadet avait beau être haut comme trois pommes, il reconnaissait quand même son père, et, lorsqu'il le voyait rentrer, il tendait les bras vers son cou.
OK.
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