mercredi 20 avril 2016

Projet Eugénie / Audrey – phrases 40-49

Y entonces piensa en su Dios y le habla: «¿Me escuchas, Diosito? Yo tengo mucha fe en ti, de veras. Pero a veces no sé, me gustaría que me dijeras qué hago aquí. Ya todos se fueron, estoy vieja y no sirvo para nada..., ni siquiera para matar una cucaracha soy buena. Con mi gordo todo sería distinto, pero te lo llevaste... y no es reclamo, ¿eh? Tú eres perfecto. Es sólo que lo extraño mucho». Con el día clareado por completo, Irene termina su monólogo de siempre: el mismo que, no importa cuántas veces lo pronuncie, jamás va a ser respondido. Se enfila, ahora sí, hacia su habitación. Con la luz del día se iluminan las paredes y espejean los retratos colgados de la recámara.

Traduction temporaire :
Et alors elle pense à son Dieu et lui parle : « tu m’écoutes, petit Dieu ? J’ai une grande foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon chéri, tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Quoi qu'il en soit ce n’est pas une réclamation, hein ? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne sa chambre, pour de vrai cette fois. Avec la lumière du jour, les murs s'illuminent et les portraits accrochés dans la chambre brillent.

14 commentaires:

Audrey Di Pierro a dit…

Et ensuite elle pense à son Dieu et lui parle:« Tu m'écoutes petit Dieu? Moi, j'ai beaucoup de foi en toi, de vraies. Mais parfois je ne sais pas, j'aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, je suis vieille et je ne suis bonne à rien..., je ne suis même pas bonne pour tuer un cafard. Avec mon tout gros ce serait différent, mais tu l'as emmené...et ce n'est pas un appel,eh? Tu es parfait. C'est seulement qu'il me manque beaucoup». Avec le jour qui s'éclaircit complétement, Irene termine son monologue habituel: le même que , peu importe combien de fois elle le prononce, il ne sera jamais répondu. Maintenant, elle va directement dans sa chambre. Avec la lumière du jour, s'éclaircissent les murs qui reflètent les portraits accrochés de la chambre.

Unknown a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle « tu m’écoutes, petit Dieu? J’ai beaucoup de foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas douée pour tuer un cafard. Avec mon chéri tout serait différent, mais tu l’as emporté… Mais ce n’est pas une réclamation hein? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour fini, Irene termine son monologue de toujours: le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponses. Elle file, cette fois vraiment, dans sa chambre. Avec la lumière du jour s’illuminent les murs et s’illuminent les portraits accrochés dans la chambre.

Tradabordo a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle [mettez les deux points, comme dans la V.O.] « tu m’écoutes, petit Dieu? J’ai beaucoup de [avec « beaucoup », ça ne va pas…] foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi [virgule] je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas douée [mal dit ici] pour tuer un cafard. Avec mon chéri [on m'a traduit comme ça avant ?] [virgule] tout serait différent, mais tu l’as emporté [pas une chose, mais une personne]… Mais ce n’est pas une réclamation [que dit le dico unilingue ? Je ne dis pas que ça ne va pas…] hein[espace]? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour fini [bof], Irene termine son monologue de toujours[« de toujours » ou « éternel » ?][espace]: le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponses [ou singulier ?]. Elle file [sûre ?], cette fois vraiment [bof], dans sa chambre. Avec la lumière du jour s’illuminent les murs et s’illuminent [mal dit ou pb de syntaxe] les portraits accrochés dans la chambre.

Audrey Di Pierro a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle: « tu m’écoutes, petit Dieu? J’ai énormément de foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne pour tuer un cafard. Avec mon gros tout serait différent, mais tu l’as emmené… Mais ce n’est pas un appel hein? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le jour qui s'éclaircit complétement, Irene termine son monologue éternel: le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Maintenant, elle va directement dans sa chambre. Avec la lumière du jour, s'éclaircissent les murs qui reflètent les portraits accrochés de la chambre.

Unknown a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle: « tu m’écoutes, petit Dieu? J’ai très foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon chéri (c'est la première fois qu'elle parle de son"chéri"), tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Mais ce n’est pas une réclamation (il dit bien réclamation) hein ? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne, cette fois pour de vrai, sa chambre. Avec la lumière du jour s’illuminent les murs et s'illuminent aussi les portraits accrochés dans la chambre.

Tradabordo a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle[espace]: « tu m’écoutes, petit Dieu[espace]? J’ai très [mal dit] foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon chéri (c'est la première fois qu'elle parle de son"chéri" // OK et du coup, adapté ? J'hésite), tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Mais [embêtant, les deux « mais » à la suite ; trouvez une solution] ce n’est pas une réclamation [virgule] hein ? [sûre, pour le point d'interrogation ?] Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne, cette fois pour de vrai [inversez la syntaxe], sa chambre. Avec la lumière du jour s’illuminent [mal placé] les murs et s'illuminent aussi les portraits accrochés dans la chambre.

Eugénie a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle : « tu m’écoutes, petit Dieu ? J’ai énormément de foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon aimé, tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Quoi qu'il en soit ce n’est pas une réclamation, hein ? [sûre, pour le point d'interrogation ?](oui ça me semble adapté) Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne, pour de vrai cette fois, sa chambre. Avec la lumière du jour les murs s'illuminent et s'illuminent aussi les portraits accrochés dans la chambre.

Tradabordo a dit…

Eugénie : je vous ai donné un petit coup de pouce pour votre note finale de mon cours de version et je ne le regrette pas :-)

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle : « tu m’écoutes, petit Dieu ? J’ai énormément de foi [« j'ai une grande foi »] en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon aimé [Regardez quand même sur internet pour voir le registre ; avec les guillemets, pour voir dans quel contexte, etc., les filles le disent…], tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Quoi qu'il en soit ce n’est pas une réclamation, hein ? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne, pour de vrai cette fois, sa chambre [mettez-le avant]. Avec la lumière du jour les murs s'illuminent et s'illuminent [n'en gardez qu'un] aussi les portraits accrochés dans la chambre.

Audrey Di Pierro a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle : « tu m’écoutes, petit Dieu ? J’ai une grande foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon bien aimé , tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Quoi qu'il en soit ce n’est pas une réclamation, hein ? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Pour de vrai cette foi , elle regagne sa chambre . Avec la lumière du jour les murs s'illuminent et s'enluminent aussi les portraits accrochés dans la chambre.

Eugénie a dit…

Merci Madame, cela me motive encore plus :-)


Et alors elle pense à son Dieu et lui parle : « tu m’écoutes, petit Dieu ? J’ai une grande foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon tendre ( je suis allée voir sur internet et je comprends bien que c'est une valeur affective familière qui désigne son "amoureux" mais je ne sais pas comment bien le transcrire...), tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Quoi qu'il en soit ce n’est pas une réclamation, hein ? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne sa chambre, pour de vrai cette fois. Avec la lumière du jour les murs et les portraits accrochés dans la chambre s'illuminent.

Tradabordo a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle : « tu m’écoutes, petit Dieu ? J’ai une grande foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon tendre [« amoureux » ou votre « chéri » du début ? Je vous laisse trancher], tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Quoi qu'il en soit ce n’est pas une réclamation, hein ? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne sa chambre, pour de vrai cette fois. Avec la lumière du jour [virgule] les murs et les portraits accrochés dans la chambre s'illuminent [je viens de re-regarder la V.O. et ça n'est pas ce qui est dit].

Eugénie a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle : « tu m’écoutes, petit Dieu ? J’ai une grande foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon chéri, tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Quoi qu'il en soit ce n’est pas une réclamation, hein ? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne sa chambre, pour de vrai cette fois. Avec la lumière du jour, les murs s'illuminent et les portraits accrochés dans la chambre brillent.

Audrey Di Pierro a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle : « tu m’écoutes, petit Dieu ? J’ai une grande foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon tendre chéri, tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Quoi qu'il en soit ce n’est pas une réclamation, hein ? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne sa chambre, pour de vrai cette fois. Avec la lumière du jour, les murs s'illuminent et les portraits accrochés dans la chambre resplendissent.

Tradabordo a dit…

Et alors elle pense à son Dieu et lui parle : « tu m’écoutes, petit Dieu ? J’ai une grande foi en toi, vraiment. Mais parfois je ne sais pas, j’aimerais que tu me dises ce que je fais ici. Ils sont déjà tous partis, moi, je suis vieille et je ne sers à rien…, je ne suis même pas bonne à tuer un cafard. Avec mon chéri, tout serait différent, mais tu me l'as enlevé… Quoi qu'il en soit ce n’est pas une réclamation, hein ? Tu es parfait. C’est juste qu’il me manque beaucoup ». Avec le lever du jour achevé, Irene termine son monologue éternel : le même qui, peu importe combien de fois elle le prononce, ne recevra jamais de réponse. Elle regagne sa chambre, pour de vrai cette fois. Avec la lumière du jour, les murs s'illuminent et les portraits accrochés dans la chambre brillent.

OK.

Audrey ?