mercredi 20 avril 2016

Projet Hadjer – phrases 182-190

—Trepaud, es usted un puto loco, afirmó Ramírez, alertando cómo sus manos se apretaban en señal de defensa.
David se apartó del librero y caminó en dirección a Ramírez. Abrazaba el libro de Denbrough y, como una revelación, señaló en dirección al quinto cuadro que colgaba en la pared. Dibujada en tonos oscuros, sobresalía una sonrisa marcada con una especie de mancha roja muy intensa. El rojo más intenso que había visto Ramírez en su vida.
Del interior del libro, David extrajo una fotografía del hijo desaparecido de Ramírez, la usaba como separador de hojas para no olvidar el pasaje de la novela de Denbrough que narraba “la sonrisa del payaso”. Luego tomó la fotografía entre sus dedos y colocó la imagen a la misma altura que el quinto cuadro. Ambas imágenes se convirtieron en una sola visión ante los ojos desorbitados de Ramírez. Su hijo estaba muerto y sonreía en la pared de Trepaud.

Traduction temporaire :
— Trepaud, vous êtes un putain de cinglé, affirma Ramírez, remarquant que ses mains se resserraient en signe de défense.
David s'écarta de la bibliothèque et se dirigea vers Ramírez. Il tenait contre lui le livre de Denbrough et, comme s'il avait une révélation, il fit geste en direction du cinquième tableau accroché au mur. Dessiné dans des tons sombres, un sourire flanqué d'une espèce de tâche rouge très intense ressortait. Le rouge le plus intense que Ramírez ait vu de sa vie.
David extirpa de l'intérieur du livre une photographie du fils disparu, dont il se servait comme marque-page pour ne pas oublier le passage du roman de Denbrough qui racontait "le sourire du clown". Il prit la photo entre ses doigts et plaça l'image à la même hauteur que le cinquième tableau. Tous les deux se confondirent en une seule vision sous les yeux exorbités de Ramírez : son fils était mort et souriait sur  le mur de Trepaud.

10 commentaires:

Unknown a dit…

—Trepaud, vous êtes un putain de fou, affirma Ramírez, ses mains serrées en alerte, en signe de défense.
David s'écarta de la bibliothèque et marcha en direction de Ramírez. Il serrait dans ses bras le livre de Denbrough et, comme une révélation fit un signal en direction du cinquième tableau accroché au mur. Peint avec des tons obscurs, se distinguait un sourire marqué d'une espèce de tâche rouge très intense. Le rouge le plus intense que Ramírez ait vu de sa vie.
David sortit de l'intérieur du livre une photographie du fils disparu de Ramírez, qu'il utilisait comme marque-page pour ne pas oublier le passage du roman de Denbrough qui racontait "le sourire du clown". Il prit ensuite la photo entre ses doigts et plaça l'image à la même hauteur que le cinquième tableau. Toutes les deux se transformèrent en une seule vision face aux yeux exorbités de Ramírez. Son fils était mort et souriait sur le mur de Trepaud.

Tradabordo a dit…

—[espace]Trepaud, vous êtes un putain de fou [« cinglé » ?], affirma Ramírez, ses mains serrées en alerte, en signe de défense [la fin est complètement à reprendre].
David s'écarta de la bibliothèque et marcha en direction de [« se dirigea vers » ?] Ramírez. Il serrait [juste : « tenait » ?] dans ses bras le livre de Denbrough et, comme une révélation [virgule] fit un signal [CS] en direction du cinquième tableau accroché au mur.

Corrigez déjà ça.

Peint avec des tons obscurs, se distinguait un sourire marqué d'une espèce de tâche rouge très intense. Le rouge le plus intense que Ramírez ait vu de sa vie.
David sortit de l'intérieur du livre une photographie du fils disparu de Ramírez, qu'il utilisait comme marque-page pour ne pas oublier le passage du roman de Denbrough qui racontait "le sourire du clown". Il prit ensuite la photo entre ses doigts et plaça l'image à la même hauteur que le cinquième tableau. Toutes les deux se transformèrent en une seule vision face aux yeux exorbités de Ramírez. Son fils était mort et souriait sur le mur de Trepaud.

Unknown a dit…

— Trepaud, vous êtes un putain de cinglé, affirma Ramírez, en alerte, comme si ses mains se resserraient en signe de défense.
David s'écarta de la bibliothèque et se dirigea vers Ramírez. Il tenait dans ses bras le livre de Denbrough et, comme une révélation, fixa du regard le cinquième tableau accroché au mur.


Peint avec des tons obscurs, se distinguait un sourire marqué d'une espèce de tâche rouge très intense. Le rouge le plus intense que Ramírez ait vu de sa vie.
David sortit de l'intérieur du livre une photographie du fils disparu de Ramírez, qu'il utilisait comme marque-page pour ne pas oublier le passage du roman de Denbrough qui racontait "le sourire du clown". Il prit ensuite la photo entre ses doigts et plaça l'image à la même hauteur que le cinquième tableau. Toutes les deux se transformèrent en une seule vision face aux yeux exorbités de Ramírez. Son fils était mort et souriait sur le mur de Trepaud.

Tradabordo a dit…

— Trepaud, vous êtes un putain de cinglé, affirma Ramírez, en alerte, comme si ses mains se resserraient en signe de défense.

[je demande son avis à Elena]

David s'écarta de la bibliothèque et se dirigea vers Ramírez. Il tenait dans ses bras le livre de Denbrough et, comme une révélation, fixa du regard le cinquième tableau accroché au mur.


Peint avec des tons obscurs, se distinguait un sourire marqué d'une espèce de tâche rouge très intense. Le rouge le plus intense que Ramírez ait vu de sa vie.
David sortit de l'intérieur du livre une photographie du fils disparu de Ramírez, qu'il utilisait comme marque-page pour ne pas oublier le passage du roman de Denbrough qui racontait "le sourire du clown". Il prit ensuite la photo entre ses doigts et plaça l'image à la même hauteur que le cinquième tableau. Toutes les deux se transformèrent en une seule vision face aux yeux exorbités de Ramírez. Son fils était mort et souriait sur le mur de Trepaud.

Elena a dit…

Bonjour,
Voici ce que je comprends :
— Trepaud, vous êtes un putain de cinglé, affirma Ramírez, en sentant/remarquant que ses mains se resserraient en signe de défense.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

Sabrina a dit…

Cette nouvelle est géniale !!

—Trepaud, vous êtes un putain de cinglé, affirma Ramírez, remarquant que ses mains se resserraient en signe de défense.
David s'écarta de la bibliothèque et se dirigea vers Ramírez. Il tenait enlacé contre lui le livre de Denbrough et, comme une révélation, fit un signe en direction du cinquième tableau accroché au mur. Dessinée dans des tons sombres, se distinguait un sourire flanqué d'une espèce de tâche rouge très intense. Le rouge le plus intense que Ramírez ait vu de sa vie.
David sortit de l'intérieur du livre une photographie du fils disparu, qu'il utilisait comme marque-page pour ne pas oublier le passage du roman de Denbrough qui racontait "le sourire du clown". Il prit ensuite la photo entre ses doigts et plaça l'image à la même hauteur que le cinquième tableau. Tous les deux se confondirent en une seule vision face aux yeux exorbités de Ramírez : son fils était mort et souriait sur le mur de Trepaud.

Tradabordo a dit…

Contente qu'elle te plaise !

—[espace]Trepaud, vous êtes un putain de cinglé, affirma Ramírez, remarquant que ses mains se resserraient en signe de défense.
David s'écarta de la bibliothèque et se dirigea vers Ramírez. Il tenait enlacé [nécessaire ?] contre lui le livre de Denbrough et, comme une révélation, fit [je n'adore pas la syntaxe de ce bout-là] un signe [« geste » ?] en direction du cinquième tableau accroché au mur. Dessinée [grammaire ?] dans des tons sombres, se distinguait [mal dit] un sourire flanqué d'une espèce de tâche rouge très intense. Le rouge le plus intense que Ramírez ait vu de sa vie.
David sortit de l'intérieur du livre une photographie du fils disparu [et « de Ramírez » ?], qu'il utilisait [« dont il se servait » ?] comme marque-page pour ne pas oublier le passage du roman de Denbrough qui racontait "le sourire du clown". Il prit ensuite [nécessaire ?] la photo entre ses doigts et plaça l'image à la même hauteur que le cinquième tableau. Tous les deux se confondirent en une seule vision face aux [« sous les » ?] yeux exorbités de Ramírez : son fils était mort et souriait sur le mur de Trepaud.

Sabrina a dit…

:)
Je n'ai pas répété "Ramirez" car on a compris que c'était bien son fils qui avait disparu et le nom est déjà répété plein de fois.
Oui à toutes tes propositions, elles me plaisent, merci :).

— Trepaud, vous êtes un putain de cinglé, affirma Ramírez, remarquant que ses mains se resserraient en signe de défense.
David s'écarta de la bibliothèque et se dirigea vers Ramírez. Il tenait contre lui le livre de Denbrough et, comme s'il avait une révélation, il fit geste en direction du cinquième tableau accroché au mur. Dessiné dans des tons sombres, un sourire flanqué d'une espèce de tâche rouge très intense ressortait. Le rouge le plus intense que Ramírez ait vu de sa vie.
David extirpa de l'intérieur du livre une photographie du fils disparu, dont il se servait comme marque-page pour ne pas oublier le passage du roman de Denbrough qui racontait "le sourire du clown". Il prit la photo entre ses doigts et plaça l'image à la même hauteur que le cinquième tableau. Tous les deux se confondirent en une seule vision sous les yeux exorbités de Ramírez : son fils était mort et souriait sur le mur de Trepaud.

Tradabordo a dit…

— Trepaud, vous êtes un putain de cinglé, affirma Ramírez, remarquant que ses mains se resserraient en signe de défense.
David s'écarta de la bibliothèque et se dirigea vers Ramírez. Il tenait contre lui le livre de Denbrough et, comme s'il avait une révélation, il fit geste en direction du cinquième tableau accroché au mur. Dessiné dans des tons sombres, un sourire flanqué d'une espèce de tâche rouge très intense ressortait. Le rouge le plus intense que Ramírez ait vu de sa vie.
David extirpa de l'intérieur du livre une photographie du fils disparu, dont il se servait comme marque-page pour ne pas oublier le passage du roman de Denbrough qui racontait "le sourire du clown". Il prit la photo entre ses doigts et plaça l'image à la même hauteur que le cinquième tableau. Tous les deux se confondirent en une seule vision sous les yeux exorbités de Ramírez : son fils était mort et souriait sur le mur de Trepaud.

OK.