—¿Ustedes creen o no en esas cosas?
—Claro que creemos. El Diablo existe. El Diablo toma muchas formas. Pero tenemos que darle la espalda. La mejor manera de combatir al diablo es ignorarlo, dice el Culto.
—Claro que creemos. El Diablo existe. El Diablo toma muchas formas. Pero tenemos que darle la espalda. La mejor manera de combatir al diablo es ignorarlo, dice el Culto.
El diablo puede tomar muchas formas, pensó Verónica.
Puede ser un auto sin conductor, o un hombre con la cara pintada en una alcantarilla, puede ser un chico con un tubo de oxígeno detrás de una puerta o una vieja con fuego en los ojos, no, no, no.
Mariela continuó:
—Celeste estaba obsesionada con la casa embrujada. No sé cuántas veces le dijimos que se olvidara; rezamos juntas, con mis papás, para que dejara de pensar en la casa. Pero ella decía que, cuando pasaba por la puerta, la llamaban desde adentro. Que había visto una mano en la ventana, saludándola, aunque la casa estaba deshabitada. Una tarde se metió en la casa. Quería comprobar que nosotros teníamos razón, eso nos dijo, que la casa estaba vacía. Y lloraba, gritaba que estábamos equivocados. Subió hasta el primer piso de la casa y, cuando entró en una de las habitaciones, vio a una persona ahorcada, colgada de una viga del techo. Decía que la persona, un hombre, tenía la cara negra. Y que cuando ella entró, abrió los ojos.
Traduction temporaire :
— Et vous, vous y croyez ou pas ?
— Bien sûr qu'on y croit ! Le Diable existe. Le Diable revêt des tas d'apparences. Mais nous devons lui tourner le dos. D'après le Culte, la meilleure manière de le combattre, c'est de l'ignorer.
Le Diable peut prendre des tas d'apparences, songea Verónica. Aussi bien celle d'une voiture sans conducteur, que celle d'un homme au visage peint dans une bouche d’égout, d'un garçon sous oxygène derrière une porte, ou d'une vieille femme aux yeux de braise, non, non, non.
Mariela reprit :
— Celeste était obnubilée par la maison ensorcelée. Je sais pas combien de fois on lui a conseillé de l'oublier. Elles ont prié ensemble, avec mes parents, pour qu'elle arrête d'y penser. Mais elle affirmait que quand elle passait devant la porte, on l'appelait de l'intérieur. Que la maison avait beau être inhabitée, elle avait vu une main lui faire signe à la fenêtre. Une après-midi, elle était entrée. Sous prétexte de vérifier qu'on avait raison, que la maison était effectivement vide. Et elle pleurait, hurlait qu'on se trompait. Elle était montée au premier étage, et en pénétrant dans l'une des chambres, elle avait découvert une personne pendue, accrochée à une poutre du plafond. Elle décrivait que l'individu, un homme, avait le visage noir et qu'à son arrivée, il avait ouvert les yeux.
— Et vous, vous y croyez ou pas ?
— Bien sûr qu'on y croit ! Le Diable existe. Le Diable revêt des tas d'apparences. Mais nous devons lui tourner le dos. D'après le Culte, la meilleure manière de le combattre, c'est de l'ignorer.
Le Diable peut prendre des tas d'apparences, songea Verónica. Aussi bien celle d'une voiture sans conducteur, que celle d'un homme au visage peint dans une bouche d’égout, d'un garçon sous oxygène derrière une porte, ou d'une vieille femme aux yeux de braise, non, non, non.
Mariela reprit :
— Celeste était obnubilée par la maison ensorcelée. Je sais pas combien de fois on lui a conseillé de l'oublier. Elles ont prié ensemble, avec mes parents, pour qu'elle arrête d'y penser. Mais elle affirmait que quand elle passait devant la porte, on l'appelait de l'intérieur. Que la maison avait beau être inhabitée, elle avait vu une main lui faire signe à la fenêtre. Une après-midi, elle était entrée. Sous prétexte de vérifier qu'on avait raison, que la maison était effectivement vide. Et elle pleurait, hurlait qu'on se trompait. Elle était montée au premier étage, et en pénétrant dans l'une des chambres, elle avait découvert une personne pendue, accrochée à une poutre du plafond. Elle décrivait que l'individu, un homme, avait le visage noir et qu'à son arrivée, il avait ouvert les yeux.
7 commentaires:
— Et vous, vous y croyez ou pas ?
— Bien sûr qu'on y croit ! Le Diable existe. Le Diable revêt bien des apparences. Mais nous devons lui tourner le dos. La meilleure manière de le combattre, c'est de l'ignorer d'après le Culte.
Le Diable peut prendre bien des apparences, songea Verónica. Aussi bien celle d'une voiture sans conducteur, que celle d'un homme au visage peint dans une bouche d’égout, d'un garçon sous oxygène derrière une porte, ou d'une vieille femme aux yeux de braise, non, non, non.
Mariela reprit : — Celeste était obnubilée par la maison ensorcelée. Je sais pas combien de fois on lui a conseillé de l'oublier ; on a prié ensemble, avec mes parents, pour qu'elle arrête d'y penser. Mais elle affirmait que quand elle passait devant la porte, on l'appelait de l'intérieur. Que la maison avait beau être inhabitée, elle avait vu une main lui faire signe à la fenêtre. Une après-midi, elle entra dans la maison. Sous prétexte de vérifier qu'on avait raison, que la maison était bel et bien vide. Et elle pleurait, hurlait qu'on s'était trompés. Elle monta au premier étage, et en pénétrant dans l'une des chambres, elle découvrit une personne pendue, accrochée à une poutre du plafond. Elle déclarait que l'individu, un homme, avait le visage noir et qu'à son arrivée, il avait ouvert les yeux.
— Et vous, vous y croyez ou pas ?
— Bien sûr qu'on y croit ! Le Diable existe. Le Diable revêt bien des apparences. Mais nous devons lui tourner le dos. La meilleure manière de le combattre, c'est de l'ignorer d'après le Culte.
Le Diable peut prendre beaucoup d'apparences, songea Verónica. Aussi bien celle d'une voiture sans conducteur, que celle d'un homme au visage peint dans une bouche d’égout, d'un garçon sous oxygène derrière une porte, ou d'une vieille femme aux yeux de braise, non, non, non.
Mariela reprit : — Celeste était obnubilée par la maison ensorcelée. Je sais pas combien de fois on lui a conseillé de l'oublier, on a prié ensemble, avec mes parents, pour qu'elle arrête d'y penser. Mais elle affirmait que quand elle passait devant la porte, on l'appelait de l'intérieur. Que la maison avait beau être inhabitée, elle avait vu une main lui faire signe à la fenêtre. Une après-midi, elle entra dans la maison. Sous prétexte de vérifier qu'on avait raison, que la maison était bel et bien vide. Et elle pleurait, hurlait qu'on s'était trompés. Elle monta au premier étage, et en pénétrant dans l'une des chambres, elle découvrit une personne pendue, accrochée à une poutre du plafond. Elle déclarait que l'individu, un homme, avait le visage noir et qu'à son arrivée, il avait ouvert les yeux.
— Et vous, vous y croyez ou pas ?
— Bien sûr qu'on y croit ! Le Diable existe. Le Diable revêt bien des [ou par « des tas de » ? Comme tu veux… Je crois que ce sont des ados qui parlent, non ?] apparences. Mais nous devons lui tourner le dos. La meilleure manière de le combattre, c'est de l'ignorer d'après le Culte [mets-le avant].
Le Diable peut prendre bien des [le cas échéant, il faudra que tu changes ici] apparences, songea Verónica. Aussi bien celle d'une voiture sans conducteur, que celle d'un homme au visage peint dans une bouche d’égout, d'un garçon sous oxygène derrière une porte, ou d'une vieille femme aux yeux de braise, non, non, non.
Mariela reprit :
— Celeste était obnubilée par la maison ensorcelée. Je sais pas combien de fois on lui a conseillé de l'oublier ; [PAS DE ; DANS LES DIALOGUES !]
on a prié ensemble, avec mes parents, pour qu'elle arrête d'y penser. Mais elle affirmait que quand elle passait devant la porte, on l'appelait de l'intérieur. Que la maison avait beau être inhabitée, elle avait vu une main lui faire signe à la fenêtre. Une après-midi, elle entra dans la maison. Sous prétexte de vérifier qu'on avait raison, que la maison était bel et bien vide. Et elle pleurait, hurlait qu'on s'était trompés. Elle monta au premier étage, et en pénétrant dans l'une des chambres, elle découvrit une personne pendue, accrochée à une poutre du plafond. Elle déclarait que l'individu, un homme, avait le visage noir et qu'à son arrivée, il avait ouvert les yeux.
— Et vous, vous y croyez ou pas ?
— Bien sûr qu'on y croit ! Le Diable existe. Le Diable revêt des tas d'apparences. Mais nous devons lui tourner le dos. D'après le Culte, la meilleure manière de le combattre, c'est de l'ignorer .
Le Diable peut prendre des tas d'apparences, songea Verónica. Aussi bien celle d'une voiture sans conducteur, que celle d'un homme au visage peint dans une bouche d’égout, d'un garçon sous oxygène derrière une porte, ou d'une vieille femme aux yeux de braise, non, non, non.
Mariela reprit :
— Celeste était obnubilée par la maison ensorcelée. Je sais pas combien de fois on lui a conseillé de l'oublier, on a prié ensemble, avec mes parents, pour qu'elle arrête d'y penser. Mais elle affirmait que quand elle passait devant la porte, on l'appelait de l'intérieur. Que la maison avait beau être inhabitée, elle avait vu une main lui faire signe à la fenêtre. Une après-midi, elle entra dans la maison. Sous prétexte de vérifier qu'on avait raison, que la maison était bel et bien vide. Et elle pleurait, hurlait qu'on s'était trompés. Elle monta au premier étage, et en pénétrant dans l'une des chambres, elle découvrit une personne pendue, accrochée à une poutre du plafond. Elle déclarait que l'individu, un homme, avait le visage noir et qu'à son arrivée, il avait ouvert les yeux.
— Et vous, vous y croyez ou pas ?
— Bien sûr qu'on y croit ! Le Diable existe. Le Diable revêt des tas d'apparences. Mais nous devons lui tourner le dos. D'après le Culte, la meilleure manière de le combattre, c'est de l'ignorer [espace en trop].
Le Diable peut prendre des tas d'apparences, songea Verónica. Aussi bien celle d'une voiture sans conducteur, que celle d'un homme au visage peint dans une bouche d’égout, [cheville : « ou » ? Comme tu veux…] d'un garçon sous oxygène derrière une porte, ou d'une vieille femme aux yeux de braise, non, non, non.
Mariela reprit :
— Celeste était obnubilée par la maison ensorcelée. Je sais pas combien de fois on lui a conseillé de l'oublier, [point ?] on a prié ensemble [du coup, on ne sait pas que la sœur est impliquée], avec mes parents, pour qu'elle arrête d'y penser. Mais elle affirmait que quand elle passait devant la porte, on l'appelait de l'intérieur. Que la maison avait beau être inhabitée, elle avait vu une main lui faire signe à la fenêtre. Une après-midi, elle entra [temps ?] dans la maison [nécessaire ?]. Sous prétexte de vérifier qu'on avait raison, que la maison était bel et bien [« effectivement » ? Comme tu veux] vide. Et elle pleurait, hurlait qu'on s'était trompés [temps]. Elle monta au premier étage, et en pénétrant dans l'une des chambres, elle découvrit [temps] une personne pendue, accrochée à une poutre du plafond. Elle déclarait [pas très naturel] que l'individu, un homme, avait le visage noir et qu'à son arrivée, il avait ouvert les yeux.
— Et vous, vous y croyez ou pas ?
— Bien sûr qu'on y croit ! Le Diable existe. Le Diable revêt des tas d'apparences. Mais nous devons lui tourner le dos. D'après le Culte, la meilleure manière de le combattre, c'est de l'ignorer.
Le Diable peut prendre des tas d'apparences, songea Verónica. Aussi bien celle d'une voiture sans conducteur, que celle d'un homme au visage peint dans une bouche d’égout, d'un garçon sous oxygène derrière une porte, ou d'une vieille femme aux yeux de braise, non, non, non.
Mariela reprit :
— Celeste était obnubilée par la maison ensorcelée. Je sais pas combien de fois on lui a conseillé de l'oublier. Elles ont prié ensemble, avec mes parents, pour qu'elle arrête d'y penser. Mais elle affirmait que quand elle passait devant la porte, on l'appelait de l'intérieur. Que la maison avait beau être inhabitée, elle avait vu une main lui faire signe à la fenêtre. Une après-midi, elle était entrée. Sous prétexte de vérifier qu'on avait raison, que la maison était effectivement vide. Et elle pleurait, hurlait qu'on se trompait. Elle était montée au premier étage, et en pénétrant dans l'une des chambres, elle avait découvert une personne pendue, accrochée à une poutre du plafond. Elle décrivait que l'individu, un homme, avait le visage noir et qu'à son arrivée, il avait ouvert les yeux.
— Et vous, vous y croyez ou pas ?
— Bien sûr qu'on y croit ! Le Diable existe. Le Diable revêt des tas d'apparences. Mais nous devons lui tourner le dos. D'après le Culte, la meilleure manière de le combattre, c'est de l'ignorer.
Le Diable peut prendre des tas d'apparences, songea Verónica. Aussi bien celle d'une voiture sans conducteur, que celle d'un homme au visage peint dans une bouche d’égout, d'un garçon sous oxygène derrière une porte, ou d'une vieille femme aux yeux de braise, non, non, non.
Mariela reprit :
— Celeste était obnubilée par la maison ensorcelée. Je sais pas combien de fois on lui a conseillé de l'oublier. Elles ont prié ensemble, avec mes parents, pour qu'elle arrête d'y penser. Mais elle affirmait que quand elle passait devant la porte, on l'appelait de l'intérieur. Que la maison avait beau être inhabitée, elle avait vu une main lui faire signe à la fenêtre. Une après-midi, elle était entrée. Sous prétexte de vérifier qu'on avait raison, que la maison était effectivement vide. Et elle pleurait, hurlait qu'on se trompait. Elle était montée au premier étage, et en pénétrant dans l'une des chambres, elle avait découvert une personne pendue, accrochée à une poutre du plafond. Elle décrivait que l'individu, un homme, avait le visage noir et qu'à son arrivée, il avait ouvert les yeux.
OK.
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