Calles desiertas, llenas de una pálida oscuridad. Parecían túneles abandonados donde los únicos seres con vida eran los postes de alumbrado y nosotros tres. La lluvia hacia rato que se había acabado, los techos ya no goteaban y el cielo se había despejado por completo. Se podía ver las estrellas refulgiendo en el fondo de la noche. Cerca a la Escuela Sebastián Lorente cambiamos de acera. «Vamos por la oscuridad», dijo Rubén. A unos pasos se veía el montículo de arena de una casa en construcción y al lado, el cerro de tierra de una pared de adobe derribada por el abandono y las lluvias. Habían pintas rojas en las paredes de enfrente, rescritas de negro con la idea de hacerlas ilegibles, pero todavía se podía leer: «¡Combatir y Resistir! ¡Viva la Guerra Popular!, 18 y 19 de noviembre, PARO ARMADO - PCP».
Traduction temporaire :
Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée, les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. Les étoiles resplendissaient dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « Allons dans la pénombre », déclara Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la colline de terre d'un mur en briques, en ruines à cause du manque d'entretien et de la pluie. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire ! 18 et 19 novembre, GRÈVE ARMÉE - PCP ».
Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée, les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. Les étoiles resplendissaient dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « Allons dans la pénombre », déclara Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la colline de terre d'un mur en briques, en ruines à cause du manque d'entretien et de la pluie. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire ! 18 et 19 novembre, GRÈVE ARMÉE - PCP ».
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Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée, les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. On pouvait voir les étoiles resplendir dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « On va dans le noir », dit Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la pyramide de terre d'un mur pisé, démoli à cause de l'abandon et les pluies. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire !, 18 et 19 novembre, PARO ARMADO - PCP ».
Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée [« de tomber » ? Nécessaire ? J'hésite…], les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. On pouvait voir [le début est-il nécessaire ?] les étoiles resplendir dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « On va dans le noir [naturel ?] », dit [un verbe plus intéressant ici ?] Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la pyramide [littéral ?] de terre d'un mur pisé [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux…], démoli à cause de l'abandon [je me demande si c'est très ntaurel… mini-hésitation] et les pluies [au pluriel ?]. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire ! 18 et 19 novembre, PARO ARMADO [on ne traduit pas ?] - PCP ».
Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée [« de tomber » ? Nécessaire ? J'hésite…/Il y a beaucoup plus d'occurrences pour "s'était arrêtée"], les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. Les étoiles resplendissaient dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « On va du côté sombre », déclara Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la colline de terre d'un mur en briques, démoli à cause du manque d'entretien et de la pluie. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire ! 18 et 19 novembre, GRÈVE ARMÉE - PCP ».
Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée, les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. Les étoiles resplendissaient dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « On va du côté sombre [non, là, ça fait penser à Star Wars :-)] », déclara Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la colline de terre d'un mur en briques, démoli [« en ruines » ?] à cause du manque d'entretien et de la pluie. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire ! 18 et 19 novembre, GRÈVE ARMÉE - PCP ».
Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée, les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. Les étoiles resplendissaient dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « On va dans la pénombre », déclara Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la colline de terre d'un mur en briques, en ruines à cause du manque d'entretien et de la pluie. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire ! 18 et 19 novembre, GRÈVE ARMÉE - PCP ».
Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée, les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. Les étoiles resplendissaient dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « On va [ou : « Allons » ?] dans la pénombre », déclara Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la colline de terre d'un mur en briques, en ruines à cause du manque d'entretien et de la pluie. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire ! 18 et 19 novembre, GRÈVE ARMÉE - PCP ».
Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée, les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. Les étoiles resplendissaient dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « Allons dans la pénombre », déclara Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la colline de terre d'un mur en briques, en ruines à cause du manque d'entretien et de la pluie. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire ! 18 et 19 novembre, GRÈVE ARMÉE - PCP ».
Des rues désertes, envahies par une pâle obscurité. On aurait dit des tunnels abandonnés où les seuls êtres vivants étaient les lampadaires, et nous trois. Cela faisait un moment que la pluie s'était arrêtée, les toits ne gouttaient plus, et le ciel était entièrement dégagé. Les étoiles resplendissaient dans le fond de la nuit. Près de l’École Sebastián Lorente, nous changeâmes de trottoir. « Allons dans la pénombre », déclara Rubén. À quelques pas, on apercevait le tas de sable d'une maison en construction et à côté, la colline de terre d'un mur en briques, en ruines à cause du manque d'entretien et de la pluie. Il y avait des inscriptions en rouge sur les murs d'en face, recouvertes de noir dans le but de les rendre illisibles, mais on pouvait encore lire : « Combattre et résister ! Vive la Guerre Populaire ! 18 et 19 novembre, GRÈVE ARMÉE - PCP ».
OK.
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