vendredi 6 mai 2016

Projet Chloé T 3 – phrases 186-209

–Bueno, la cosa es que sacó el trago de mi mochila y dimos unos sorbos. Los acordes cadenciosos y la voz sensual de Bowie sonaban a volumen más o menos alto. Sospechaba sus intenciones pero no me atrevía a nada. Ella comenzó a acariciarme, muy tierna.
–¿De verdad?
–Sí, y sin dejar de hacerlo, me besó. Yo la seguí y, sin pensarlo, ya estábamos sobre su cama que olía a talco a pesar del olor de mis sobacos… Todo iba tan bien hasta que comenzó a gritar como loca.
–Ahhhh, así, así –dijo Aleh aferrándose de mí con sus manos–, ahhh, aahhh.
–Uffff que rico –dice Iosu.
–Ni tanto porque su vieja estaba en la casa –dice Jualma.
–¡Ah no jodas!
–Cállate –le dije a media voz en sus oídos–. No grites mucho.
–Quería vengarse de la vieja –dice Iosú.
–Creo que también la estaba imitando –dice Jualma–. Pero igual, no me hacía caso. Yo sabía que estaba fingiendo, para que escuchara su mamá. Gritaba y era más grosera cada vez. Hasta que golpearon la puerta.
–Aleh –dijo la mamá– ¡Sal inmediatamente!
–No voy a salir, porque estoy tirando –respondió Aleh.
–Sal, maldita perra.

Traduction temporaire :
— En fait, elle a sorti la bouteille de mon sac à dos et on a bu quelques gorgées. Las accords cadencés et la voix sensuelle de Bowie jouaient à un volume plus ou moins fort. Je soupçonnais ses intentions, mais j’osais rien entreprendre. Elle a commencé à me caresser, très tendrement.
— Vraiment ?
— Ouais, et sans s’arrêter, elle m’a embrassé. Moi, je lui ai emboîté le pas et, sans que je m'en rende compte, on s’est retrouvés sur son lit, qui sentait le talc malgré l’odeur de mes aisselles… Tout allait pour le mieux, jusqu’à ce qu’elle se mette à hurler comme une folle.
— Ahhhh, vas-y, vas-y, s’est-elle exclamée en s’agrippant à moi, ahhh, ahhhh.
— Ouhhh, trop bien ! s’esclaffe Iosú.
— Pas tant que ça, parce que sa vieille était à la maison, répond Jualma.
— Tu déconnes !
— Tais-toi, lui ai-je murmuré à l’oreille à voix basse. Ne crie pas si fort.
— Elle voulait se venger de sa daronne, dit Iosú.
— Je pense aussi qu’elle l’imitait, poursuit Jualma. Mais que dalle, elle m’écoutait pas. Je savais qu’elle faisait semblant, pour que sa mère entende. Elle gueulait et était de plus en plus grossière. Jusqu’à ce qu’on frappe à la porte.
— Aleh, sors immédiatement ! a ordonné sa mère.
— Je sortirai pas, parce que je suis en train de baiser, a-t-elle rétorqué.
— Sors, sale chienne.

6 commentaires:

Mme B. a dit…

—Bon, en fait, elle a sorti la bouteille de mon sac à dos et on a bu quelques gorgées. Las accords cadencés et la voix sensuelle de Bowie résonnaient à un volume plus ou moins fort.
Je soupçonnais ses intentions, mais j’osais rien entreprendre. Elle a commencé à me caresser, très tendrement.
— C’est vrai ?
— Ouais, et sans s’arrêter, elle m’a embrassé. Moi, je l’ai suivie et, sans me rendre compte, on s’est retrouvés sur son lit qui sentait le talc malgré l’odeur de mes aisselles… Tout allait si bien, jusqu’à ce qu’elle commence à hurler comme une folle.
— Ahhhh, comme ça, comme ça, s’est-elle exclamée en s’accrochant à moi avec ses mains, ahhh, ahhhh.
— Ouhhh, trop bien ! s’esclaffe Iosú.
— Pas tant que ça, parce que sa vieille était à la maison, répond Jualma.
— Tu déconnes !
— Tais-toi, lui ai-je murmuré à l’oreille à voix basse. Ne crie pas trop.
— Elle voulait se venger de sa daronne, dit Iosú.
— Je pense aussi qu’elle était en train de l’imiter, poursuit Jualma. Mais y’avait rien à faire, elle ne m’écoutait pas. Je savais qu’elle faisait semblant, pour que sa mère entende. Elle gueulait et était de plus en plus grossière. Jusqu’à ce qu’on frappe à la porte.
— Aleh, sors immédiatement ! a demandé sa mère.
— Je sortirai pas, parce que je suis en train de baiser, a-t-elle rétorqué.
— Sors, sale chienne.

Tradabordo a dit…

—[espace]Bon[nécessaire ?], en fait, elle a sorti la bouteille de mon sac à dos et on a bu quelques gorgées. Las accords cadencés et la voix sensuelle de Bowie résonnaient [bof] à un volume plus ou moins fort.
[ça va vraiment à la ligne ?]Je soupçonnais ses intentions, mais j’osais rien entreprendre. Elle a commencé à me caresser, très tendrement.
— C’est [un « c'est » évitable, non ? Je pense à tes futures relectures] vrai ?
— Ouais, et sans s’arrêter, elle m’a embrassé. Moi, je l’ai suivie [est-ce vraiment le sens ?] et, sans me [« que je m'en »] rendre compte, on s’est retrouvés sur son lit [virgule] qui sentait le talc malgré l’odeur de mes aisselles… Tout allait si bien [bof], jusqu’à ce qu’elle commence [« se mette » ?] à hurler comme une folle.
— Ahhhh, comme ça, comme [tu l'as déjà dans la phrase d'avant] ça, s’est-elle exclamée en s’accrochant [« agripper » ?] à moi avec ses mains [nécessaire ?], ahhh, ahhhh.
— Ouhhh, trop bien ! s’esclaffe Iosú.
— Pas tant que ça, parce que sa vieille était à la maison, répond Jualma.
— Tu déconnes !
— Tais-toi, lui ai-je murmuré à l’oreille à voix basse. Ne crie pas trop [naturel ?].
— Elle voulait se venger de sa daronne, dit Iosú.
— Je pense aussi qu’elle était en train de [nécessaire ? D'autant que tu en as un après] l’imiter, poursuit Jualma. Mais y’avait rien à faire, elle ne [nécessaire ?] m’écoutait pas. Je savais qu’elle faisait [tu l'as déjà dans la phrase d'avant] semblant, pour que sa mère entende. Elle gueulait et était de plus en plus grossière. Jusqu’à ce qu’on frappe à la porte.
— Aleh, sors immédiatement ! a demandé [bof] sa mère.
— Je sortirai pas, parce que je suis en train de baiser, a-t-elle rétorqué.
— Sors, sale chienne.

Mme B. a dit…

— En fait, elle a sorti la bouteille de mon sac à dos et on a bu quelques gorgées. Las accords cadencés et la voix sensuelle de Bowie jouaient à un volume plus ou moins fort. Je soupçonnais ses intentions, mais j’osais rien entreprendre. Elle a commencé à me caresser, très tendrement.
— Vraiment ?
— Ouais, et sans s’arrêter, elle m’a embrassé. Moi, je lui ai rendu son baiser et, sans que je m'en rende compte, on s’est retrouvés sur son lit, qui sentait le talc malgré l’odeur de mes aisselles… Tout allait pour le mieux, jusqu’à ce qu’elle se mette à hurler comme une folle.
— Ahhhh, vas-y, vas-y, s’est-elle exclamée en s’agrippant à moi, ahhh, ahhhh.
— Ouhhh, trop bien ! s’esclaffe Iosú.
— Pas tant que ça, parce que sa vieille était à la maison, répond Jualma.
— Tu déconnes !
— Tais-toi, lui ai-je murmuré à l’oreille à voix basse. Ne crie pas si fort.
— Elle voulait se venger de sa daronne, dit Iosú.
— Je pense aussi qu’elle l’imitait, poursuit Jualma. Mais que dalle, elle m’écoutait pas. Je savais qu’elle faisait semblant, pour que sa mère entende. Elle gueulait et était de plus en plus grossière. Jusqu’à ce qu’on frappe à la porte.
— Aleh, sors immédiatement ! a ordonné sa mère.
— Je sortirai pas, parce que je suis en train de baiser, a-t-elle rétorqué.
— Sors, sale chienne.

Tradabordo a dit…

— En fait, elle a sorti la bouteille de mon sac à dos et on a bu quelques gorgées. Las accords cadencés et la voix sensuelle de Bowie jouaient à un volume plus ou moins fort. Je soupçonnais ses intentions, mais j’osais rien entreprendre. Elle a commencé à me caresser, très tendrement.
— Vraiment ?
— Ouais, et sans s’arrêter, elle m’a embrassé. Moi, je lui ai rendu son baiser [« emboîté le pas » ? Comme tu préfères] et, sans que je m'en rende compte, on s’est retrouvés sur son lit, qui sentait le talc malgré l’odeur de mes aisselles… Tout allait pour le mieux, jusqu’à ce qu’elle se mette à hurler comme une folle.
— Ahhhh, vas-y, vas-y, s’est-elle exclamée en s’agrippant à moi, ahhh, ahhhh.
— Ouhhh, trop bien ! s’esclaffe Iosú.
— Pas tant que ça, parce que sa vieille était à la maison, répond Jualma.
— Tu déconnes !
— Tais-toi, lui ai-je murmuré à l’oreille à voix basse. Ne crie pas si fort.
— Elle voulait se venger de sa daronne, dit Iosú.
— Je pense aussi qu’elle l’imitait, poursuit Jualma. Mais que dalle, elle m’écoutait pas. Je savais qu’elle faisait semblant, pour que sa mère entende. Elle gueulait et était de plus en plus grossière. Jusqu’à ce qu’on frappe à la porte.
— Aleh, sors immédiatement ! a ordonné sa mère.
— Je sortirai pas, parce que je suis en train de baiser, a-t-elle rétorqué.
— Sors, sale chienne.

Mme B. a dit…

— En fait, elle a sorti la bouteille de mon sac à dos et on a bu quelques gorgées. Las accords cadencés et la voix sensuelle de Bowie jouaient à un volume plus ou moins fort. Je soupçonnais ses intentions, mais j’osais rien entreprendre. Elle a commencé à me caresser, très tendrement.
— Vraiment ?
— Ouais, et sans s’arrêter, elle m’a embrassé. Moi, je lui ai emboîté le pas et, sans que je m'en rende compte, on s’est retrouvés sur son lit, qui sentait le talc malgré l’odeur de mes aisselles… Tout allait pour le mieux, jusqu’à ce qu’elle se mette à hurler comme une folle.
— Ahhhh, vas-y, vas-y, s’est-elle exclamée en s’agrippant à moi, ahhh, ahhhh.
— Ouhhh, trop bien ! s’esclaffe Iosú.
— Pas tant que ça, parce que sa vieille était à la maison, répond Jualma.
— Tu déconnes !
— Tais-toi, lui ai-je murmuré à l’oreille à voix basse. Ne crie pas si fort.
— Elle voulait se venger de sa daronne, dit Iosú.
— Je pense aussi qu’elle l’imitait, poursuit Jualma. Mais que dalle, elle m’écoutait pas. Je savais qu’elle faisait semblant, pour que sa mère entende. Elle gueulait et était de plus en plus grossière. Jusqu’à ce qu’on frappe à la porte.
— Aleh, sors immédiatement ! a ordonné sa mère.
— Je sortirai pas, parce que je suis en train de baiser, a-t-elle rétorqué.
— Sors, sale chienne.

Tradabordo a dit…

— En fait, elle a sorti la bouteille de mon sac à dos et on a bu quelques gorgées. Las accords cadencés et la voix sensuelle de Bowie jouaient à un volume plus ou moins fort. Je soupçonnais ses intentions, mais j’osais rien entreprendre. Elle a commencé à me caresser, très tendrement.
— Vraiment ?
— Ouais, et sans s’arrêter, elle m’a embrassé. Moi, je lui ai emboîté le pas et, sans que je m'en rende compte, on s’est retrouvés sur son lit, qui sentait le talc malgré l’odeur de mes aisselles… Tout allait pour le mieux, jusqu’à ce qu’elle se mette à hurler comme une folle.
— Ahhhh, vas-y, vas-y, s’est-elle exclamée en s’agrippant à moi, ahhh, ahhhh.
— Ouhhh, trop bien ! s’esclaffe Iosú.
— Pas tant que ça, parce que sa vieille était à la maison, répond Jualma.
— Tu déconnes !
— Tais-toi, lui ai-je murmuré à l’oreille à voix basse. Ne crie pas si fort.
— Elle voulait se venger de sa daronne, dit Iosú.
— Je pense aussi qu’elle l’imitait, poursuit Jualma. Mais que dalle, elle m’écoutait pas. Je savais qu’elle faisait semblant, pour que sa mère entende. Elle gueulait et était de plus en plus grossière. Jusqu’à ce qu’on frappe à la porte.
— Aleh, sors immédiatement ! a ordonné sa mère.
— Je sortirai pas, parce que je suis en train de baiser, a-t-elle rétorqué.
— Sors, sale chienne.

OK.